Vivre près de la mer et loin du bitume serait meilleur pour la santé mentale

À l’origine, était le jardin d’Éden, ce jardin dont l’imaginaire ne suffirait à en décrire la beauté et la splendeur. Ce jardin où Dieu façonna et laissa librement le premier couple de l’humanité, jouir d’un espace pur, d’une faune terrestre et maritime, et d’une flore vivante.
Que s’est-il passé des siècles plus tard ? Notre façon de vivre, nos espaces barbelés de ciment et de pierre, sur les sols et en hauteur, sont-ils la résultante de la désobéissance d’Adam et Ève provoquant leur chute [Genèse 3 v.1-24 la Bible] ?

La suite, nous la connaissons. Les générations passèrent et l’Homme toujours plus égoïste et capitaliste trouva un système d’habitation permettant d’encastrer les populations afin de rendre toujours plus rentable l’immobilier. Mais voilà, la rentabilité est une chose et le bien-être dans la rentabilité en est une autre. En effet, alors que nos politiques luttent depuis quelques années pour redorer notre environnement en y incluant plus d’espaces verts, une étude vint remettre une nouvelle fois en question nos conditions de vie.

L’espace vert n’a pas le même effet sur votre cerveau quand il est rempli de structures construites par l’homme.

Pour cause, il faut croire que vivre dans des espaces telles des petites étagères superposées, ne serait nullement agréable, pour personne ! Pire encore, notre moral en pâtit. Ils sont nombreux les citadins et banlieusards quittant l’environnement du bitume pour s’installer dans des zones plus rurales ou proches de mer.
En effet, TSanté rapporte les résultats de plusieurs études qui attestent que vivre à côté de la mer serait très favorable pour notre santé mentale. Il s’agit d’études menées par des chercheurs à l’université de Canterbury en Nouvelle-Zélande et à l’Université de l’État du Michigan. Ces scientifiques relevèrent la différence existant entre les espaces dits bleus, c’est-à-dire recouverts d’eau, les plages; et les espaces verts, parcs et forêts. Leur objectif : évaluer l’anxiété et les troubles de l’humeur émanant de nos lieux de vie.

Ils ont tenu compte des facteurs comme l’âge et le genre pour trouver une éventuelle corrélation entre les personnes qui avaient une vision pertinente de la nature et une bonne santé mentale. Cette étude est particulièrement intéressante, car elle révèle que les espaces bleus s’en sortent beaucoup mieux que les espaces verts, étant donné que beaucoup de nos espaces verts sont situés dans les villes et ont des structures en béton qui y sont enchevêtrées. L’espace vert n’a pas le même effet sur votre cerveau quand il est rempli de structures construites par l’homme.

De cela, vivre en bord de mer ou en espace vert, loin des constructions envahissantes serait l’idéal pour l’Homme. Qui, tout comme Adam et Ève, vivrait plus libre, en harmonie avec la nature, la terre, dont il est lui-même issu. Loin de nous l’idée de revenir dans un cadre de vie primitif, cependant l’intelligence des Hommes ayant grandement accru dans cette ère à la pointe de la technologie et de la science, il serait tout à fait possible pour nos politiques de remodeler nos espaces de bitumes pour y inclure des espaces vivants plus vastes, et permettre de respirer de l’air plus pur.

« Cette étude peut nous aider à avoir un meilleur aperçu sur la conception des villes, en nous indiquant qu’il est impératif d’intégrer la nature dans le monde des humains. Fondamentalement, nous avons besoin de changer la conception de la société afin de pouvoir changer complètement la façon dont nous interagissons avec le monde qui nous entoure et les autres. »
Cela n’est plus un scoop, notre société et ses normes capitalistes puisent dans les richesses de la terre pour construire toujours plus rapidement en absorbant davantage les espaces de terrains qui sont pourtant bénéfiques pour le bien-être de l’Homme.
Que devons-nous conclure ? L’Homme s’est-il fourvoyé dans sa quête de bénéfices, en laissant son avidité l’éloigner de la réalité de Dieu pour lui ?

« Dieu vit tout ce qu'il avait fait et voici, cela était très bon. »

Tout ce que Dieu créa est bon , nous dit également [1 Timothée 4 v.4-5 La Bible]. Le Dieu de l’univers dans son immensité créa notre planète, sortit la terre de l’étendue d’eau l’environnant. Puis, créa toutes sortes d’espèces vivantes, la faune et la flore. Il y plaça Adam et Ève, premiers êtres humains qu’il éleva au-dessus de la création. Mais aussi, il les établit responsables de toute sa création et de son développement. Une véritable entreprise ! Qu’en est-il à ce jour ? Les Hommes ayant décidé de cavaler sans Dieu, se retrouvent dans des situations si chaotiques, que le sort de l’humanité semble être scellé. Loin de Dieu son créateur, l’Homme s’est perdu. Pire encore, il se voit inspiré et guidé par un autre, l’ennemi de la création de Dieu, le destructeur. Le diable ruse à convaincre l’Homme, et ce depuis le commencement, à suivre son orientation pour se détourner des desseins de l’Éternel.

Mais il n’est jamais trop tard. Car dans son infinie bonté, Dieu n’a encore déclaré son dernier mot sur le sort des Hommes. Tant que sa lumière brillera sur tous les Hommes, un meilleur avenir est toujours possible. Car croyants ou non, c’est Dieu qui insuffle aux Hommes la volonté de se battre pour ce qui est juste et nécessaire pour sa survie et l’équilibre de l’humanité.

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