Sommes-nous entrés dans l’ère où les scénarios de science-fiction deviennent hélas des présages ? Le contrôle de l’esprit semble-t-il, est ce que notre gouvernement tente d’instaurer en renforçant des programmes et faisant voter des lois de manière précipitée pour arriver à ses fins. Croyant ou non, les sujets touchant aux valeurs, à la liberté et à la morale semblent toujours autant impacter la nation. D’autant plus, lorsque l’avis du peuple n’est pas sollicité au sujet des lois qui le concernent. Une politique en fait les frais à ce jour, Marlène Schiappa, la secrétaire d’État chargée de l’Egalité Homme-Femme avec sa proposition de loi pour lutter efficacement contre les violences sexistes et sexuelles qui ne fait pas du tout l’unanimité.
Cette fameuse loi votée le 3 août 2018, touche en effet un sujet sensible. Pour résumer, la volonté de la secrétaire d’État était de faire d’une pierre deux coups, afin de prévenir des agressions à caractère sexuel. La politique et son gouvernement jugèrent bon d’être plus ferme sur la sensibilisation des crimes sexuels et sexistes. Comment ? Par le renforcement de la découverte de la sexualité et l’instauration de l’apprentissage des rapports entre les hommes et les femmes. L’ambiguïté qui en ressort est sur le point fâcheux de l’éducation sexuelle délivrée dès la maternelle en guise de prévention, renforcée cette rentrée prochaine.
Tous ceux qui aiment leurs enfants, tous ceux qui ont conscience de ce qui va leur arriver, tous ceux qui ont conscience du mal qui va être fait sur eux, ne les mettez pas à l’école le 3 septembre prochain. […] Le viol que ce soit sur un homme que ce soit sur une femme que ce soit sur un enfant, il est interdit. Là, c’est la porte ouverte à tous les pédophiles du monde entier. D’accord ? Donc le 3 septembre […] l’école, c’est mort, on oublie !
Bon nombre de Français s’offusquent jugeant que l’éducation sexuelle est un domaine réservé à la famille, et non aux écoles, encore moins à des organismes extérieurs à l’éducation nationale.
La France révoltée règle donc ses comptes avec Marlène Schiappa, via des vidéos d’avertissements et de sensibilisation pour inciter les parents d’élèves à déscolariser leurs enfants. Nombreux en effet, voient dans cette législation, une façon subliminale de légiférer la pédophilie. En d’autres termes, d’introniser un modèle de penser où l’enfant tout petit assimilera une approche à sa sexualité, qui l’empêchera de discerner les intentions malveillantes d’un adulte.
« Les rectorats vont imposer l'éducation sexuelle dès la maternelle… sans doute "Tous à poil" voire plus si affinités. Qui pourra dire qu'il n'y a pas eu consentement mutuel si un adulte vient faire joujou avec une gamine qui a déjà été polluée par des cours sur le sujet et se laisse tenter par la mise en pratique ? L'éducation Nationale = perversion généralisée… », dénonce une internaute.
L’éducation sexuelle en vigueur bien avant la loi Schiappa
En rappel, l’application des cours sexuels à l’école fut mise en place depuis 2001 déjà. Elle préconise qu’il incombe aux professeurs d’établir et d’intégrer des cours d’éducation sexuelle dans leurs programmes, mais à partir de l’école primaire. Il n’y a donc pas à proprement dit une loi qui incite la promulgation de cours sexuels dès l’âge de 4 ans, ce qui toutefois ne remet pas en question sa pratique obligatoire en petite section entre autres, imposée par le ministère de l’Éducation. Marlène Schiappa souhaite donc que cette règle soit davantage appliquée, car très peu d’établissements dans les faits, organisent des heures à ce sujet.
Pour ce faire, Marlène Schiappa envoya une circulaire à tous les rectorats, leur demandant que soit appliquées « trois séances d’éducation à la vie affective et sexuelle » par an qui seront délivrées par… « des associations qui ont des agréments ». Ces quelques mots de la secrétaire d’Etat créèrent une vague d’indignation presque nationale.
Le choix du gouvernement est donc clair: plutôt que de protéger de façon globale et sans ambiguïté les enfants des pédocriminels par des lois claires, ils préfèrent leur fournir une éducation sexuelle. Là où cela devient douteux c'est que ces cours pourront être dispensés par des "partenaires extérieurs ayant un agrément national ou académique". Autant dire que les dérives sont au tournant.
L’éducation sexuelle à l’école dès l’âge de 4 ans, les psychologues sonnent l’alerte !
En juin 2017, Dr. Maurice Berger, pédopsychiatre et professeur associé de psychiatrie de l’enfant à l’université de St Etienne, interpella la société Française via une vidéo choc; au sujet de l’éducation sexuelle dans notre pays. C’est au nom d’un groupe de professionnels de l’enfance dit-il « très inquiet », qu’il mobilisa l’opinion publique sous forme d’une pétition. Il y dénonce entre autres l’éducation sexuelle prodiguée dès la maternelle, les démonstrations des pratiques sexuelles, l’utilisation des préservatifs, et bien d’autres, enseignées de la petite section à la classe moyenne, puis au collège. Plus heurtant, sous couvert de la tutelle du ministère de la santé, le site On s’exprime, destiné à la sexualité des jeunes gens à partir de la 5ème soit à 12 ans, ressemblerait à un site découverte de la pornographie; « On décrit six positions de pénétrations vaginales, pénétration à l’appui, et comment se pratique la sodomie. On explique pourquoi les acteurs de films pornographiques éjaculent hors du vagin de leur partenaire; et on propose aux mineurs de raconter leurs premières relations sexuelles », relate le docteur.
Sachons qu’en amont, une ministre prédisposa le terrain pour le vote de la loi Schiappa. La ministre de la santé qui annonça en mars 2017 « la généralisation d’un programme d’éducation à la sexualité dès octobre 2017». Certains points de ce programme sont très fortement décriés car, en plus d’être obligatoires et imposés par les instances Européennes, ils mettraient sévèrement en danger le développement affectif d’un enfant. Pour cause, sont pris en référence les textes internationaux de l’organisation mondiale de la santé. Ces textes stipulent que l’éducation sexuelle doit impérativement débuter entre 0 et 4 ans. À cet âge, ils apprendront l’éjaculation infantile précoce et joueront au docteur. Entre 6 et 9 ans; les petits découvriront l’éjaculation, « il faut donner ces explications à l’enfant, avant qu’il soit en âge de poser des questions à ce propos », mentionnent les standards européens de l’éducation à la sexualité. En effet, leur but serait d’initier les enfants à une sexualité synonyme d’épanouissement et de plaisir, apportée « avec tact ». Ce qui ne semble être le cas selon le docteur, qui témoigne recevoir des témoignages d’élèves traumatisés.
Cela importe d'autant plus que vous savez en quel temps nous sommes: c'est l'heure de vous réveiller enfin du sommeil, car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru. [Romains 13 v.11 La Bible]
Si les grands films ont prédit une humanité en perte… d’humanité, la parole de Dieu est la première à mettre en garde contre les affres des vices et de l’appétence des Hommes à la perversité, plus accrue en ces temps difficiles. Chrétiens ou non, superstitieux ou pas, ils sont nombreux à faire entendre leur opinion, via les vidéos YouTube, sites ou blogs. Dénonçant une unité gouvernementale mondiale œuvrant dans le secret; pour renverser les bases et fondements ayant jusqu’alors pérennisé l’évolution de nos sociétés. En s’attaquant à la psychologie des Hommes, au siège de leurs sentiments; par de multiples moyens. Et bien entendu, à la morale et aux valeurs. Les uns parlent du règne arrivant de l’Antéchrist annoncé dans la Bible, d’autres, de la préparation du nouvel ordre mondial où des règles communes à toutes les nations de la terre seront établies. À ce sujet, sachez qu’en 2016, le Canada fit voter la loi pour légaliser l’éducation sexuelle dans les écoles, à partir de 5 ans.
L’éducation des enfants s’avère donc un champ à exploiter pour y semer les premières graines qui définiront leur nature, et même leur avenir. D’après la parole de Dieu, « Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre; Et quand il sera vieux, il ne s'en détournera pas. » [Proverbes 22 v.6 La Bible]. Si ce verset biblique est écrit de manière salvatrice, celui-ci s’applique hélas dans l’inculcation de mauvaises instructions. Et les agents du destructeur si l’on peut dire, l’ont bien compris. Libre à nous d’extrapoler ! Les gouvernements sont-ils en train de formater des enfants pour les transformer en objets sexuels à long terme ? Nous savons combien l’industrie du sexe fait vendre, et comment les réseaux pédocriminels croissent en puissance en toute impunité. Car derrière ces vices les plus exécrables, se cachent des leaders de haut rang, pervertis jusqu’à la moelle épinière. Qui prédisposent les enfants à une hypersexualité, par des messages véhiculés dans des livres pour enfants. « Tous à poil », par exemple, destiné aux 6-8 ans, illustre des figures d’autorité, tels que les grands-parents, ou un policier, complètement dénudé dans l’intérêt de « bousculer les stéréotypes ». Ou encore, un autre ouvrage illustre une scène de masturbation d’une petite fille assise sur son lit.
C’est à l’Eglise de se battre pour réinstaurer les valeurs du Père
Pourquoi ce sujet de l’éducation sexuelle concerne-t-il l’Église ? Sous un regard évangélique premièrement la situation de perversion de notre système social, juridique et éducatif n’est que le fruit du règne du mal; qui tente de corrompre les mœurs, l’éthique, la morale et les valeurs de tous dans un but bien précis, défier Dieu. Par l’ébranlement des valeurs humaines qu’il instaura depuis la création des Hommes. Cependant nous assistons à un acharnement contre ces fondements, bases des civilisations et des sociétés. Et ceux qui s’y attellent sont des illustres personnages du monde satanique. Notons Alfred Kinsley, un scientifique qui fit de l’homosexualité, l’adultère et la pédophilie ses sujets d’étude. De lui, sont sorties des œuvres d’étude concernant la sexualité des hommes et des femmes qui servirent notamment à mener des combats tels que la libération sexuelle et le féminisme. Pire encore, ses recherches très poussées, iront jusqu’à former des pédophiles à proprement dit, pour étudier et noter point par point leur propre orgasme, ainsi que les différentes phases d’un enfant, contraint à l’acte sexuel avec ces derniers.
Pour conclure, l’éducation de nos enfants est livrée à la décision de leaders qui ont pour but de conduire tous les Hommes à renier Dieu, son autorité et sa suprématie. Dans le seul intérêt de remodeler ce monde selon les desseins du Père du mensonge, Satan; qui en veut à la terre entière depuis sa chute humiliante [Apocalypse 12 v.12 La Bible]. Plus que jamais, c’est à l’Église de se lever et contester ces lois abominables. Elle seule est en possession du Pouvoir des écritures, de la volonté pure de Dieu pour les Hommes. La seule à pouvoir rétablir l’ordre et la vérité pour le bien-être des Hommes, des foyers et des familles. Évangélistes, intercesseurs, faites entendre votre voix, par la prière et par des messages de sensibilisation évangélique pour que ce débat ne soit pas simplement de l’ordre de la morale.
Chers lecteurs, la société de demain est assurée par l’éducation d’aujourd’hui. L’éducation scolaire qui prend en charge nos enfants pendant plusieurs heures de la semaine, a une responsabilité vis-à-vis de chaque enfant encadré. A contrario, leur désintérêt manifeste à l’égard de cette loi, les rend complices du broiement psychologique de la génération future, et de leur mort spirituelle puis physique. Car nous ne pouvons l’ignorer, la sexualité est la cause de dérives voire de suicides. Alors, devons-nous déscolariser nos enfants, les inscrire en écoles privées ou évangéliques ? Faire école à la maison ? Certainement ! Mais il va s’en dire que les familles qui soustrairont leurs enfants à ces programmes scolaires encourront des poursuites judiciaires. Cela fut le cas pour un couple de parents en Allemagne, condamné à une amende et un jour d’emprisonnement.
« Certainement mon peuple est fou, il ne me connaît pas; Ce sont des enfants insensés, dépourvus d'intelligence; Ils sont habiles pour faire le mal, Mais ils ne savent pas faire le bien. » [Jérémie 4 v.22 La Bible]
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