Le sport comme traitement thérapeutique pour notre santé

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Santé
Ami très cher, je souhaite que tu te portes bien à tous points de vue. Ta vie chrétienne est bonne, je souhaite que ta santé soit aussi bonne. [3 Jean 1 v.2 – Bible]

Ainsi nous le souhaite le Christ.
Être en bonne santé physique est un atout, recommandé pour de nombreuses choses dans la vie courante, avoir une bonne ligne, porter tout type de vêtements, pouvoir manger de tout sans avoir à se priver et plus encore avoir une meilleure santé. Nous savions déjà qu’une bonne hygiène de vie, faire du sport permet de réguler l’humeur, avoir une meilleure qualité de sommeil, un meilleur transit, favorise la concentration, redonne de l’énergie. Mais n’oublions pas pour autant que tout excès nuit. Et pour cause, le sport pratiqué de manière intensive a été classé parmi la liste des drogues et dépendances. A travers de nombreux articles parus ces dernières années, nous avons été informés de cette nouvelle forme d’addiction. Effectivement, en excès, le sport devient une drogue diagnostiquée sous le nom de Bigorexie. « Ce comportement peut induire une perte de contrôle qui pousse à continuer, coûte que coûte, à faire plus de sport malgré la douleur physique, malgré les blessures. Aux conséquences physiques telles que les entorses et les fractures, peuvent se rajouter des conséquences psychologiques : dépression, troubles du sommeil, troubles alimentaires. Les rapports sociaux changent et la passion se transforme en obsession. », nous informe le site allodocteurs.fr

A contrario, le jeudi 14 février dernier, un rapport de plus de 820 pages a été rendu public, dans lequel l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (Inserm) y plaide l’usage d’activités sportives comme un véritable traitement thérapeutique à part entière des maladies chroniques. Selon son étude, fruit de 2 années de travail et d’analyses basées sur près de 1800 études scientifiques, l’Inserm répond à un grand enjeu de santé publique. A l’heure actuelle, 1 Français sur 4 souffrirait de maladies chroniques contre 3/4 pour les plus de 65 ans, un nombre qui augmenterait au vieillissement de la population estimant à 2,3 millions de personnes dépendantes alors qu’à ce jour ce nombre est établi à 1,2 millions.

« Les bénéfices l’emportent sans conteste sur les risques encourus, quels que soient l’âge et l’état de santé de la personne. », rapporte l’expertise. Sur prescription, la « Santé-sport » de son appellation, devrait être prescrit à hauteur de 3 séances par semaine. A introduire en premières intentions, soit avant tout traitement, ces activités sportives pourraient permettre aux personnes atteintes de diabète de type 2, d’obésité, d’artérites des jambes, souffrant de BPCO, de dépression légère à modéré, d’asthme et également d’insuffisance cardiaque quel que soit leur âge de réduire aggravations et complications de leur pathologie.
Bien que cette prescription ne soit pas encore acceptée de tous, ni même remboursée par la sécurité sociale, il ne s’agit en aucun cas de contraindre les patients mais de leur proposer une activité sportive adaptée à leurs goûts, leurs capacités ainsi que leurs pathologies. A plusieurs, individuellement, en plein air ou en salle, l’objectif est de favoriser le renforcement musculaire, l’endurance, la souplesse et la coordination. L’expert en psychologie, Gregory Nino, indique que « la plus grande difficulté est de maintenir l’activité physique dans le long terme», suite à cela, il sera préconisé de réaliser au préalable, auprès des patients un entretien afin d’évaluer leur capacités et leur motivations. Car la pratique sous la pression ne serait un facteur favorable au souhait escompté.
Ce traitement permettra ainsi d’apporter une nouvelle approche sur les idées préconçues du repos et d’apporter une nouvelle hygiène de vie. En cancérologie, l’activité sportive permettrait de réduire certaines douleurs de type neuropathie, et de réduire de 20 à 40% la fatigue. Démontrant sur ces premiers résultats une réduction de mortalité, mais également de récidives pour les patients atteints de cancer du sein et du côlon. De plus, le sport permet d’améliorer la force musculaire ce que favorisent les activités de la vie quotidienne.

Le corps humain regorge de bien des mystères, ce rapport doit nous rassurer physiquement, car notre créateur a donné à notre corps tout moyen pour défendre son système immunitaire, lorsqu’un germe extérieur entre dans notre organisme. Notre corps est en moyen de se défendre automatiquement, par les anticorps, antigènes qui se mettent en place et luttent contre le germe pathogène ; l’introduction de traitement chimique permet de renforcer, voire d’éradiquer la maladie. Dans d’autres cas, notre nature dispose de nombreuses plantes, des herbes, épices qui permettent également de nous préserver. Avoir une alimentation saine est favorable à la défense de notre organisme, à travers laquelle nous avons vu émerger bons nombres de remèdes naturels, et à cela s’ajoute également l’activité sportive. Un circuit naturel bon pour le corps. Le sport prévient l’apparition de maladies, empêche, ralentit, nous protège, participant au renforcement du système immunitaire.

A travers son amour, sa science, notre créateur nous a doté de nombreuses capacités en nous et tout autour de nous, afin que nous puissions vivre en bonne santé. Au fil des siècles, la science a évolué, les bénéfices des plantes, héritages de nos aïeux et l’évolution des techniques scientifiques nous ont permis d’en savoir plus, et d’en découvrir davantage sur de nouvelles plantes par exemple, développant aussi la médecine douce, phytothérapie, aromathérapie, homéopathie etc. Mais dans notre autonomie, l’Eternel Dieu nous a fait don naturellement d’une part de ses aptitudes, et nous recommande de nous rapprocher de lui afin de jouir de toutes bonnes choses. En effet, Christ fut envoyé pour nous sauver, nous guérir et en le reconnaissant comme notre Seigneur et Sauveur il nous donne accès à la bonne santé et une longue vie.

Chers lecteurs, si le sport favorise grandement notre santé physique, sachons aussi que celle-ci est entièrement dépendante de notre santé spirituelle, qui pour sa part, relève également d’un bon exercice. L’exercice de notre foi, par la méditation de la Parole de Dieu, l’application de ses commandements, soit l’intégrité, l’humilité, l’amour, la confiance en Dieu, etc. En tout cela, la Bible apparaît comme le guide d’une bonne hygiène de vie, regorgeant de précieuses prescriptions pour notre santé spirituelle, physique, mentale. Ainsi nous dit le Proverbe [3 v.1-8] : « Mon fils, n'oublie pas mes enseignements, Et que ton cœur garde mes préceptes; Car ils prolongeront les jours et les années de ta vie, Et ils augmenteront ta paix […] Confie-toi en l'Éternel de tout ton cœur, Et ne t'appuie pas sur ta sagesse; Reconnais-le dans toutes tes voies, Et il aplanira tes sentiers. Ne sois point sage à tes propres yeux, Crains l'Éternel, et détourne-toi du mal: Ce sera la santé pour tes muscles, Et un rafraîchissement pour tes os. ».

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Rosine Mankangila

Artistes Press

Artiste, Journaliste presentatrice, assistante de tournage, Perchwoman, Entrepreneuse

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