La mère de la petite Vanille, 1 an, a avoué avoir tué sa fille

Voici, des fils sont un héritage de l'Éternel, Le fruit des entrailles est une récompense.[Psaumes 127 v.3 Bible]. Les enfants sont un don de Dieu, voilà pourquoi il nous est difficile de concevoir l’image d’une mère qui tue son propre enfant, après avoir supporté les mois de grossesse et les douleurs de l’enfantement. Ce qui est source de joie devient dans ce monde aux valeurs morales perverties, source de malheur et de tristesse. C’est un contexte dans lequel se cache l’esprit du mal.

Et nous sommes face à une réalité sociale dramatique dans notre pays. Où les familles sont disloquées, car elles ne peuvent assurer l’éducation de leurs enfants pour des raisons financières, psychologiques, physiques ou autres.
Nous avons tous été tenus en haleine suite à l’enlèvement d’une petite fille appelée Vanille à Angers. Sa mère, nommée Nathalie Stephan, âgée de 39 ans, atteinte de sérieux troubles psychologiques était recherchée avec sa fille qu’elle aurait enlevée. Pourtant, les autorités mettent la main sur la mère ce dimanche 9 février 2020, dans un hôtel à Nantes, mais sans sa fille. Un avis de recherche est alors lancé pour retrouver l’enfant. Malheureusement, les médias nous informèrent que la mère aurait avoué le meurtre de sa fille. Son corps a été retrouvé ce dimanche 9 février 2020, non loin du domicile de la mère.

Nathalie Stephan était hébergée dans un foyer pour femmes enceintes et mères isolées d’Angers depuis un an, rapporte le Figaro. Sous jugement, la petite Vanille avait été placée à l’Aide Sociale à l’Enfance puis en famille d’accueil. Cependant, la mère avait le droit de voir sa fille au cours des heures qui lui étaient imparties durant la semaine. Ce vendredi dernier, la jeune femme et sa fille passaient donc un temps ensemble. Attendues à 17h30, elles n’étaient toujours pas de retour ce qui inquiéta les personnes chargées de récupérer Vanille.
« Le temps que les personnes qui devaient récupérer l'enfant se manifestent, recherchent eux même localement l'enfant», qu'on «étudie toutes les pistes de l'environnement de la maman, qu'on vérifie de manière physique tous les endroits où l'enfant serait susceptible d'être, tout ce temps s'écoule et puis ensuite on décide que c'est inquiétant véritablement », expliqua au Figaro, Catherine Vandier, substitut du procureur général d’Angers. Hélas, ce temps d’inquiétude avant la sonnette d’alarme aura été fatal pour la petite fille, car sa mère n’aurait eu nullement l’intention de la ramener.

Interrogée par les autorités, Nathalie Stephan avoua son crime ainsi que l’endroit où elle abandonna le corps de sa fille, qui trouva la mort le vendredi. Vanille fut retrouvée dans une benne à vêtements. Tuée entre 13h et 15h d’après le procureur. « Le moment où la maman a donné la mort à son enfant, elle le situe à vendredi. Vendredi en tout début d'après-midi elle est effectivement encore accompagnée de son enfant et à partir du milieu d'après-midi, elle ne l'est plus »

En garde à vue jusqu’à ce mardi, la jeune femme aurait apporté peu de raisons justifiant son geste. Elle aurait déclaré avoir d’abord laissé sa fille chez une amie, puis l’avoir tuée par « étouffement ou strangulation ». Fut-ce un geste de désespoir ou un véritable acte délibéré pour se débarrasser de son enfant ? Etait-ce son choix ou un coup monté avec une tierce personne, cette amie qu’elle a rendue visite par exemple ? Aucune information pour le moment, cependant, ce dont il est certain, est que ce monde souffre. Les âmes se perdent dans la folie que le mal instaure dans les cœurs, qui hélas, ont fait le choix de vivre loin de Dieu.
Le prouvent tous les actes des Hommes malades ayant perdu tout bon sens, toute espérance, aveuglés par la souffrance, et conduits par l’esprit du mal. Si donc vous portez en vous la lumière restauratrice que l’évangile fait naître dans les cœurs, nous vous invitons à prier pour notre société en décadence. Afin que la lumière du Christ vienne apporter sa vie. Prions également pour cette mère, prise au piège dans les griffes du mal qui pensait trouver la solution à ses problèmes en tuant son enfant, afin qu’elle obtienne, le salut, la paix et la guérison que Dieu promet par Jésus-Christ.