La forêt de l’Amazonie en feu par la main de l’Homme

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Climat

Imaginons-nous un instant ce qu’un créateur peut ressentir lorsque l’on détruit sa création ou n’en prenons pas soin. Dieu créa la terre et tout ce qu’elle contient et prit soin de créer tout ce qui permit aux Hommes de se développer. Pourtant à la création de l’Homme, Dieu lui donna la responsabilité de s’occuper de la faune et la flore. La responsabilité de prendre soin de la nature. Prendre soin de sa création signifie veiller sur elle, s’occuper d’elle, avoir une attention particulière pour écarter tout ce qui peut la nuire. Malheureusement, fort est de constater que l’Homme est le bourreau de cette même nature. Son coeur avide l’a entrainé à malmener, gaspiller ou détruire la création de Dieu, pour des intérêts économiques. Toujours plus de pouvoir et de profit. À ce jour, notre monde est épuisé de ses richesses naturelles et n’a plus la possibilité de produire pour subvenir aux besoins de la planète. À tel point que notre alimentation future par exemple, se tourne à présent vers de la nourriture faite en laboratoire, dite nourriture synthétique, car notre écosystème est en péril. Alors que la situation de notre monde est déjà très critique, se rajoute une catastrophe qui aurait peut-être pu être évitée.

Il s’agit d’une catastrophe naturelle sans précédent et très préoccupante pour nos autorités. En effet, la forêt amazonienne, poumon de la planète, brûle. Des hectares d’arbres permettant d’absorber les poisons de l’air de notre monde partent à leur tour en fumée.
« Notre maison brûle. Littéralement. L’Amazonie, le poumon de notre planète qui produit 20% de notre oxygène, est en feu. C’est une crise internationale. », publie le président Emmanuel Macron en description d’une photo de la forêt en feu sur sa page Facebook, deux jours avant la grande réunion du G7, qui traita notamment du sujet du climat, et de cette catastrophe naturelle. « L’Amazonie c’est notre bien commun, nous sommes tous concernés, la France l’est sans doute encore plus que d’autres […] puisque nous sommes amazoniens, la Guyane est en Amazonie ». Investir dans la reforestation de l’Amazonie et venir en aide aux pays touchés par ces flammes, c’est le plan que le président tint à mettre en place, en lançant une mobilisation de toutes les puissances en partenariat avec les pays de l’Amazonie, annonça-t-il via une vidéo en direct, la veille du G7 ce 24 août 2019.

Les raisons des incendies, une concurrence économique

Alors que le président Brésilien avait créé la polémique en accusant les ONG environnementales d’avoir mis le feu à la forêt qu’elles tenteraient pourtant de préserver, pour exiger de l’argent, le ministre de l’environnement justifiait les nombreux départs de feu en Amazonie par le climat, un cocktail entre vent, feu et chaleur. En effet, l’Amazonie est sujette à de nombreux incendies et ce, depuis de nombreuses années. L’on parle de milliers de départs de feu. Ceux-ci étant toujours plus nombreux et gagnant en intensité, ce qui inquiète le monde scientifique. Cependant, la vérité sur ces incendies serait ailleurs, d’après les médias s’appuyant sur les révélations des chercheurs et scientifiques. Puisque selon leurs informations, les chercheurs attesteraient que ces incendies répétés sont provoqués par la main de l’Homme, dans le but de créer toujours plus de place à des cultures et pâturages.

En première ligne, la plantation de soja brésilien, prisé dans le monde entier; un soja aussi destiné au bétail. En terme de chiffres, le Brésil aurait exporté le nombre pharamineux de 83,6 millions de tonnes de soja rien qu’en 2018. Ce qui exige manifestement toujours plus de terres grignotées dans cette forêt, poumon du monde. Se rajoute à cela l’élevage de boeufs. Le Brésil frappe fort en se positionnant 1er exportateur mondial de boeufs, mais à quel prix ? La forêt amazonienne serait donc brûlée pour permettre davantage d’élevage, et les chiffres le confirmeraient. Le pays enregistra l’an dernier 1,64 million de tonnes de viandes exportées à l’international, le hissant au rang de premier exportateur de viande dans le monde. « L'élevage bovin extensif est le principal facteur de déforestation de l'Amazonie. Un peu plus de 65% des terres déboisées en Amazonie sont aujourd'hui occupées par des pâturages", explique Romulo Batista, chercheur chez Greenpeace. », rapporte Nice matin.

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Car l'amour de l'argent est une racine de tous les maux; [1 Timothée 6 v.10 Bible].

Et c’est le cas de le dire dans cette actualité. Notre écosystème crée parfait par le Créateur, fut détruit au fil des siècles pour assouvir le besoin et la soif inaltérable de l’Homme en quête de profit et de richesse. L’amour de l’argent amène dans le coeur des hommes une inhumanité qui leur permet de fermer les yeux sur le bien commun pour se concentrer sur leurs propres gains. Malheureusement, avoir une âme d’écologiste ne suffit pas pour s’intéresser à cette actualité. Car l’humanité est concernée par ces incendies, et les conséquences à long terme seraient probablement désastreuses pour notre génération et celles à venir. En effet, si les peuples en pâtissent grandement, le monde entier n’en sortirait pas indemne, à cause des entreprises produisant pour répondre aux exigences des multinationales.

La première des conséquences est évidemment la libération dans l’air d’une très grande quantité de dioxyde de carbone (CO2), principal gaz à effet de serre contribuant au réchauffement du climat terrestre. La destruction de forêts, d’autant plus de forêts primaires comme celle de l’Amazonie, la plus vaste et la plus riche de la planète, la prive de ce qu’on appelle un « puits de carbone », c’est-à-dire de la capacité des végétaux à absorber le carbone. En limitant la concentration du CO2 dans l’atmosphère, ces puits de carbone sont cruciaux pour lutter contre le réchauffement climatique. La destruction de la forêt amazonienne menace directement l’exceptionnelle biodiversité qu’elle héberge. Cet écosystème, qui représente seulement 1 % de la surface émergée du globe, abrite 10 % des espèces connues et, selon des estimations, jusqu’à 25 % de la biodiversité ; développe Le Monde.

Selon la Bible, les temps de la fin seront les plus durs qui soient, les temps dont les signes se sont accomplis pour une grande majorité. Des temps que confirme l’horloge de l’apocalypse, qui pointerait son aiguille à minuit moins deux. Notre monde se trouve donc au bord du précipice. Et les exactions des Hommes vont toujours de mal en pis. À ce stade, notre seul soutien est en Dieu. Car si la solution ne peut venir des Hommes, Dieu agit parmi nous, non pas comme nous pouvons l’imaginer, mais au travers des Hommes soucieux de notre écologie, en qui il ravive l’intelligence pour influencer nos politiques. Il agit également en protégeant l’humanité d’une catastrophe mondiale certaine, qui était d’autant plus imminente il y a déjà plusieurs années. Mais cela n’exclut pas la prière, car la prière des justes a une grande efficacité. Dès à présent, prions pour notre humanité, pour l’avenir des Hommes sur cette terre qui se meurent toujours plus vite. Car si la responsabilité des Hommes, de prendre soin de la terre pour permettre à tous de vivre dans de bonnes conditions n’a pas été prise ni appliquée, notre seule solution serait alors d’invoquer Dieu pour venir au secours de notre sort, tel qu’il est dit : « Recommande ton sort à l'Eternel, Mets en lui ta confiance, et il agira.» [Psaume 37 v.5 Bible]. Afin que la grâce de Dieu soit pleinement manifeste et agissante, dans l’espoir de ralentir le plus longtemps possible la fatalité qui nous guette, et sauver les Hommes des inspirations du mal qui les poussent à exécuter ses plans, hélas pour notre propre destruction.

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Wissa KOLOLO

Artistes Press

Journaliste, 🎶 Chantre, Auteur, Maquilleuse, Styliste/Modéliste & Couturière, Conseillère en Image👗📸 ~ Entrepreneuse

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