Gilets Jaunes, une mobilisation empreinte de violence et de haine

Le mouvement national « tous en gilet-jaune », un tant soit peu déteint par des dérapages inacceptables, s’est poursuivi ce lundi 19 novembre 2018. Les manifestants remontés contre la hausse continuelle du prix du carburant, comptent se mobiliser sur tout le territoire jusqu’à la fin de la semaine, rapporte l’Internaute. D’autant plus qu’une nouvelle et grande journée de mobilisation est prévue sur Paris, le samedi 24 Novembre 2018. Cet appel lancé sur Facebook nommé « Acte 2 Toute La France A Paris », par Éric Douet, ce chauffeur routier auteur du mouvement gilet-jaune, convie tous les chauffeurs routiers, chauffeurs de bus, taxis et VTC, ainsi que les agriculteurs récemment entrés dans la manif, à rejoindre la place de la concorde dès 8 heures du matin. Plus de 167 000 adhérents ont déjà répondu à son appel.

Selon le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, le mouvement enregistra plus de 287 710 mobilisants. Environ deux mille sites ont été occupés ce samedi 17 novembre. C’est donc un mouvement de grande ampleur qui perdure sur toute la France. À Paris, les manifestants ont fait savoir leur ras-le-bol à Portes de Bercy et Quai de Bercy, aux Champs Élysée, à place de l’Étoile, et ont envahi les rues adjacentes au Palais de l’Élysée. Plusieurs péages, ronds-points, autoroutes. Les blocus se poursuivent sur différents sites et plusieurs points en France, tels que des dépôts pétroliers, des plates-formes logistiques, Centre commerciaux…

‘La trajectoire carbone que nous avons fixée, nous allons la tenir… ' Edouard Phillipe

Mais que retiendrons-nous de ces premiers jours de manifestation ayant débuté ce samedi 17 novembre ? Si ce n’est la position ferme du gouvernement Macron, qui ne changera pas d’un iota sa politique sur la taxe carbone. En effet, le Premier ministre Edouard Philippe s’étant exprimé sur la chaîne France 2 déclara que « La taxe carbone sera maintenue. La trajectoire carbone que nous avons fixée, nous allons la tenir, pas pour le plaisir d’ennuyer les français, […]. Nous voulons que la fiscalité pèse plus sur le carbone que sur le travail. », rapporte l’Internaute. L’on se souviendra également des tristes faits de violence de certains manifestants à l’encontre d’automobilistes.

Alors que d’autres s’époumonent à faire entendre leur cri pour faire plier les politiques, certains a contrario, en profitent pour manifester leur haine. Insultes racistes, homophobes, dérapages et casses, sont hélas à déplorer sur ces trois jours de mobilisation. Les réseaux sociaux relayent l’agression de deux jeunes femmes noires, prises à partie par des gilets-jaunes déferlant sur elles des injures racistes. C’est la Charente libre qui est à l’origine de cette vidéo se déroulant à Cognac, ayant déjà plus de 510 000 vues. « Rentre dans ton pays », « L’histoire des noirs on ne veut plus en entendre parler », « sale poufiasse », reçoit la jeune femme et mère de famille devant ses enfants à l’arrière de sa voiture. Elle tint à se défendre mais s’est vu repoussée violemment par ces manifestants haineux.

 ‘Je le reconnais, c'est un pédé.' A partir de là, ils nous ont menacés.

À Besançon, c’est un reporter bénévole de la radio associative locale Bip qui aurait subi des injures racistes et reçu des coups au visage, dans un barrage de manifestants à la galerie Chateaufarine, le plus grand centre commercial de la Franche-Comté. « Agression raciste. Lors du blocage #GiletJaunes #17Novembre Chateaufarine #Besançon, notre photo reporter a été insulté (insultes xenophobes) et frappé au visage par un manifestant. Il est aux urgences pour un constat, mais va bien. La rédaction condamne cette agression abjecte ».
À Saint Quentin, une conductrice voilée a également reçu des injures haineuses, et s’est vue forcer de retirer son voile, au rond-point d’Auchan-Fayet. « Ils lui ont fait retirer son voile - Un autre témoin de la scène assure qu'il a vu plusieurs individus mettre leurs gilets jaunes sur leurs têtes "pour mimer le voile islamique, insulter l'automobiliste et lui faire des grimaces de singe », rapporte France Info.

Pire encore pour un conseiller municipal de Bourg-en-Bresse qui aurait été violemment agressé avec un ami. Homosexuel, l’élu était coincé dans un barrage de manifestants situé à l’entrée de l’hypermarché Leclerc de la ville où il se rendait avec son compagnon. « J'ai entendu certains manifestants dire : 'Je le reconnais, c'est un pédé.' A partir de là, ils nous ont menacés ».
Les manifestants auraient alors tenté de faire sortir les deux hommes de leur véhicule, lorsqu’ils tentèrent d’avancer. Puis les rouèrent de coups de pieds et coups de poing. Deux policiers ont dû intervenir pour stopper le guet-apens. « Ils ont dû m'accompagner pour me faire sortir du secteur en sécurité car j'ai reçu des menaces de mort », rapporte l’élu municipal sur son réseau social. Sa voiture dont les feux arrières, pare-brise, et rétroviseurs sont brisés, témoigne hélas de la violence des faits.

Alors que cette manifestation se devait être la plus significative et mémorable pour les automobilistes Français, celle-ci prend une tout autre tournure. Une tournure où l’Homme manifestement fait vivre ses pulsions haineuses à l’égard d’autrui. Celle où le mal se donne à coeur joie pour démontrer son existence et son besoin de régner à travers des coeurs aigris.
Hélas, ce qui devait être une action juste et efficace perd de sa vigueur et de son importance par ces points négatifs et regrettables.
De plus, cela laisse un point d’interrogation sur les ambitions de certains manifestants à se faire entendre des politiques ou à créer l’anarchie.

N’y a-t-il donc pas une autre solution applicable ? Se demandent les Français

Que Dieu leur soit témoin, sa volonté n’est pas que le peuple souffre, ni que le coeur des Hommes tombe dans l’amertume. Mais bien que ses créatures s’épanouissent dans un gouvernement qui gère les richesses avec équité, équilibre et justice. Cependant notre conjoncture actuelle poussant nos gouvernements à manier et appliquer des choix politiques toujours plus difficiles et critiquables, ne laisse que très peu de marge de manoeuvre. Ce qui sous-entend que nos politiques décidèrent d’appliquer des taxes qui hélas pénalisent les foyers aux paniers moyens face à ceux aux grands revenus, qui ne sentiront à peine le poids de cette taxe sur leur comptabilité. Pour la simple raison d’éviter de pénaliser ceux qui, selon les dires des hautes sphères, permettent à la France de garder la tête hors de l’eau.
N’y a-t-il donc pas une autre solution applicable ? Se demandent les Français aux revenus pauvres ou moyens. Sachons que le taux de pauvreté en France, bien qu’en baisse grâce à la prime d’activité, ne freine en rien l’augmentation du nombre de personnes pauvres. Soit, des personnes vivant avec un salaire inférieur à 1026 euros, seuil de pauvreté monétaire. La taxe carbone s’avère donc être un poids lourd sur le revenu d’une dizaine de millions de Français.

Ainsi donc chers lecteurs, l’aide de Dieu dans la gestion des biens et richesses, est primordial. Car l’Homme ayant rejeté Dieu perd hélas de ses nombreuses facultés, dédoublées par la puissance de Dieu pour l’intérêt du peuple. En effet, rappelez-vous du Roi Salomon qui demanda l’aide de Dieu et reçut une grande sagesse pour gérer le grand peuple d’Israël. Et que dire des gouverneurs et rois qui, d’après la Bible, dirigèrent leurs nations grâce à la crainte de l’Eternel. Toutefois Dieu attend-il que les rois l’invoquent pour intervenir ? Dans sa grande grande miséricorde, sachons qu’une poignée de croyants suffit pour changer les circonstances d’une nation, car « La prière fervente du juste a une grande efficacité. » [Jacques 5 v. 16 Bible]. De là, chers internautes, espérons en Dieu et en son règne afin qu’il daigne apporter dans l’esprit de nos leaders, un nouveau souffle inspirant leurs choix politiques ; dans l’intérêt du peuple, sans favoritisme.

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