Et Un et deux et Quatre à 2 ! La France, une nouvelle fois championne du monde !

Alors que l’équipe de France célébrait sa victoire à la coupe du monde en 1998, sur le terrain du Stade de France à la Pleine Saint-Denis, Didier Deschamps, capitaine, brandissait fièrement le St graal vers le haut. Et 1 et 2 et 3 zéros, chantait toute une France en furie. Et rebelote, cette fois en tant qu’entraîneur ! À croire que la bonne étoile du divin serait posée sur l’ancien capitaine de l’équipe de France au temps de Zinedine Zidane et Thierry Henry. 20 ans plus tard, l’entraîneur soulève une nouvelle fois la coupe de cette 58ème compétition mondiale, à Moscou.

En effet, nul ne pouvait manquer la finale ce dimanche 15 juillet 2018 au stade Loujniki. Ce match si décisif et rebondissant, entre la Croatie et ses joueurs déterminés à gagner et une France moins offensive que les matchs précédents mais toujours aussi sûre d’elle sur le terrain.
Entre un but Croate contre son camp qui ouvre précisément les hostilités, puis le manque de concentration du capitaine et gardien de but, Hugo Lloris, qui se fit voler le ballon par un jeu de jambes inattendu d’un joueur adverse devant ses filets, la France sut tout de même se démarquer avec 3 buts supplémentaires. De Griezmann, Pogba puis Mbappé, qui à tout juste 19 ans, est entré dans l’histoire en se classant troisième plus jeune buteur en Coupe du monde derrière le Roi Pelé et Michael Owen, et premier à réaliser un doublé en match (face à l’Argentine) à élimination directe depuis la légende Pelé en 1958.

Après avoir marqué contre son camp, la Croatie égalise, mais offre un pénalty qui permet à Antoine Griezmann de donner l’avantage aux Français. 2-1 pour les Bleus à la première mi-temps. De retour sur le terrain, Paul Pogba essuie un premier tir contré puis offre un troisième but à la France, d’un tir au but par un sacré pied gauche. Succédé par Mbappe qui clôturera le score Français par un quatrième but. Deux buts Français qui entrent dans les plus mémorables de cette compétition. Un avantage qui ne fera pas trembler les Bleus malgré le second but Croate, encaissé par le manque de vigilance du gardien Hugo Lloris, dont le ballon malgré récupération fut contré brusquement par un joueur croate qui le dirigea directement dans les filets Français. Qu’à cela ne tienne, la France sut mener ce match d’une main de maître.

Tout cela sous les regards attentifs et passionnés du président Emmanuel Macron et de la présidente Croate, Kolinda Grabar-Kitarović, très présente lors des matchs de cette compétition. Particulièrement émue lors de la remise des médailles et du trophée, celle-ci démontra un grand fairplay lors de son entrée sur le terrain, main dans la main avec le Chef d’état Français.
Mais avant d’en arriver à cette partie de l’histoire qui s’inscrit dans les annales footballistiques, nous ne pouvons manquer de souligner cet amour certain et très démonstratif du président Français, tout au long de cette finale comme lors de la demi-finale. Une présence inoubliable dans les gradins que captura en photos Le Figaro. Nous faisons allusion à ces images qui firent le tour de la toile et des médias, où l’on y voit un président fan de foot, exprimant sa joie points et bras levés. Des instants historiques qui demeureront très certainement dans l’histoire de notre génération. Et le président ne s’arrête pas là, il ira célébrer sa joie dans les bras des joueurs festoyant, et en direct sur leurs réseaux sociaux. Sacré Macron !

Et l'Eternel dit: Voici, ils forment un seul peuple et ont tous une même langue, et c'est là ce qu'ils ont entrepris; maintenant rien ne les empêcherait de faire tout ce qu'ils auraient projeté. [Genèse 6 v.11 - La Bible]

Enfin la France, grande supportrice de son équipe, retrouve ses couleurs, sa fraîcheur et sa fierté. Cette ferveur des derniers jours manquait à notre pays multiculturel. L’on retrouve cette unité internationale, qui rassemble les citoyens de toutes origines et différences sociales. Nos réseaux sociaux le témoignent. Une joie plus manifeste encore lors du retour des champions du monde à la maison. Grâce à Didier Deschamps, ou du moins grâce à Dieu, les joueurs sélectionnés ont su apporter une unité et une harmonie qui manquaient à l’équipe de France. Alors que certains y voyaient une erreur monumentale, d’autres ont approuvé ce risque à double tranchant. Les plus optimistes y ont vu une nouvelle espérance.

Qui peut donc s’opposer à l’unité d’un groupe, d’un peuple ou d’une équipe, mettant leur foi en avant pour saisir leur victoire ? Si Dieu ne s’y oppose, l’engagement d’un groupe portant un même sentiment, et une foi suffisante en lui-même, et en Dieu, le conduit sans l’ombre d’un doute vers le succès et la réussite. La foi déplace les montagnes c’est un fait ! Même à moindre échelle, elle permet à tous de bâtir, d’atteindre les objectifs. Mais rien de ces choses n’aurait effet si l’Eternel Dieu n’aurait implanté une part de lui dans notre être. Car croire à ce qui n’est pas comme si cela était déjà en notre possession, est un principe purement divin et céleste, offert à l’Homme. Afin que chacun s’épanouisse dans la grande miséricorde de Dieu. Jusqu’à ce que nous le rencontrions pour témoigner à tous les Hommes sa bienveillance éternelle et le besoin de le chercher pour vivre selon ses promesses et ses desseins parfaits pour chacun de nous, de notre vivant.

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