Catastrophe sanitaire : Plus de la moitié de la population Française boit de l’eau contaminée

S’agit-il d’un nouveau scandale sanitaire ? Les faits sont alarmants. Un grand nombre de Français consommerait de l’eau potable non conforme à la règlementation. L’eau potable serait contaminée par un pesticide commercialisé par l’entreprise Allemande Syngeta, et pourtant interdite depuis 2019 car jugé potentiellement cancérigène par l’Autorité Européenne de sécurité des Aliments (Efsa). Il s’agit de résidus de Chlorothalonil qui serait « l’un des pesticides les plus répandus dans le monde. Il est principalement utilisé pour ses propriétés fongicides, sur les cultures de céréales, la vigne ou certains tubercules, comme les pommes de terre et betteraves sucrières. En France, en 2016, près de 1 710 tonnes de chlorothalonil ont été vendues aux professionnels », rapporte notamment Ouest France qui a pu consulter le rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, avant sa publication officielle le jeudi 6 avril 2023.

« Priez sans cesse. Rendez grâces en toutes choses, »[1 Thessaloniciens 5 v. 17-18 Bible]. Dans ce contexte, il est bon de rappeler l’importance de prier pour tout ce que nous consommons. Car ce monde regorge de maladies incurables dont l’origine est parfois inconnue du corps médical.

« Plus de la moitié de la population Française est concernée »

Selon ANSES, 34 % de l’eau potable serait concernée par cette contamination. Une affirmation qui ne serait que la partie visible de l’iceberg selon un responsable technique d’un gros opérateur ayant tenu à garder son anonymat. Ce dernier aurait affirmé que « plus de la moitié de la population française est concernée », rapporte TF1 Info. Mickaël Dérangeon, vice-président d’un des services de distribution de l’eau potable dans la Loire-Atlantique, Atlantic’Eau, appuie que de nombreuses personnes boivent « un peu partout une eau qui n’est pas conforme aux normes de qualité depuis longtemps », rapporte le site L’Alsace.
En réalité, le taux de contamination publié par l’ANSES ne se baserait que sur une sélection d’échantillons faite par ses experts. En janvier 2022, l’Agence aurait classé comme « Pertinent » soit potentiellement problématique ce résidu. Selon ses normes, 0,5 microgramme par litre est le seuil que ne doit dépasser tous les pesticides et métabolites dits pertinents. Toutefois, « le dépassement de ces seuils de qualité n'entraîne pas automatiquement de restriction des usages de l’eau. Les fournisseurs ont en réalité jusqu'à six ans pour corriger le tir une fois la non-conformité constatée. » explique le site L’Alsace.

Cette catastrophe sanitaire engendre des conséquences tout aussi néfastes sur le plan économique. En effet, l’on parle de milliards d’euros, ce qui risque de mettre à mal les producteurs d’eau potable, précise Le Monde.
Pour cause, le seuil de ce métabolite serait fixé par la réglementation à 0,1 microgramme par litre. Sa consommation serait à l’heure largement dépassée, voire presque généralisée. Le résidu se trouverait dans les eaux de surface mais aussi souterraines. Et les outils pour en venir à bout sont non seulement très chers mais demandent énormément d’énergie. Les consommateurs risqueraient d’en pâtir s’ils sont mis en place chez les fournisseurs d’eau potable dans les zones rurales par exemple, a expliqué le chef du département cycle de l’eau à la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR), Régis Taisne.

La France manque-t-elle de moyens pour surveiller son eau ?

Comment en est-on arrivé là ? Le R471811 est passé à travers la surveillance de nos laboratoires, n’étant simplement pas enregistré dans les plans de recherche des polluants à surveiller. D’autant plus que tous les laboratoires agréés ne seraient capables de mesurer l’ampleur de la contamination. Pire encore, les filières de traitements conventionnels n’arriveraient malheureusement pas à se débarrasser de ce polluant dans l’eau potable. Néanmoins, l’ANSES rappelle qu’il n’y aurait aucun risque pour la santé des consommateurs. Plusieurs études seraient en cours pour étudier les conséquences d’une telle contamination sur le long terme.

La France s’est d’ailleurs fait taper sur les doigts pas plus tard qu’en début d’année par la commission Européenne. Le 15 février, la France fut rappelée à l’ordre car elle ne respecterait pas la législation sur l’eau potable en vigueur dans l’Union Européenne.
En effet, l’on décela une trop grande quantité de Nitrate dans l’eau consommée par les Français, soit, plus de 50 mg par litre en tenue maximale, rapporte TF1 Info. Pourtant ce n’est pas la première fois. En octobre 2020, un premier rappel à l’ordre sous forme de lettre de mise en demeure avait été fait. « La France a pris des mesures adéquates concernant certaines unités de distribution d'eau potable, mais l'eau potable actuellement distribuée à plusieurs milliers de personnes dans le pays ne respecte toujours pas la valeur limite applicable aux nitrates, en violation de la directive sur l'eau potable », pouvons-nous lire sur le site de la commission, détail TF1 Info. Quels sont les effets sur la santé ? Les nitrates sont bel et bien naturellement présents dans l’eau que nous buvons. Cependant les activités humaines auraient pour effet d’accroître leur taux. En grande quantité, ces nitrates se transforment en nitrite et présentent un risque pour la santé, soit cancérigène et génotoxique. Les plus sensibles étant les femmes enceintes et les nourrissons.

En ces temps difficiles, nous devons remettre notre sort à l’Éternel. Lui seul est en mesure de nous garantir une bonne santé. Et si la maladie vient à frapper, nous pouvons compter sur l’Éternel Dieu qui guérit et sauve. Alors quoi que nous mangions, nous buvions ou nous fassions, faisons tout pour la gloire de Dieu et au Nom du Seigneur. Afin de rendre nul et sans effet toute particule nocive pour la santé.
Croyons également au pouvoir de la prière, car la prière des justes a une grande efficacité. Alors sans hésiter, prions pour notre pays et ceux qui nous dirigent afin qu’ils possèdent la sagesse nécessaire pour gérer et éviter ce genre de catastrophe pour notre bien-être.

La Rédaction