Affaire Yannick Nila : La fille du défunt ministre Jean-Blaise Kololo, associée du Projet Artistes Press s’exprime

Associée du projet Artistes & Press, Wissa Kololo est avant tout la fille du défunt ministre Brazzavillois, Jean-Blaise Kololo et également de l’avocate et dite pasteur Danielle Babin. Et c’est dans une nouvelle vidéo, qu’elle a tenu à s’adresser précisément aux pasteurs de la communauté congolaise concernant l’affaire de notre ami, Yannick Nila Kalala (Adiy’El).
Car parmi eux, siègent les commanditaires de ce complot, François Tshibambe Kabamba et Danielle Babin et leur fonction doit les pousser à démêler le vrai du faux car ceci concerne l’Eglise !

Témoin de la conspiration de sa mère contre notre ami, Wissa dénonce une affaire mêlant manipulations, violences, mensonges, et qui n’a fait l’objet d’aucune enquête de la police ni de la justice au profit de prétendues « victimes ».
Des dires non étayés, non prouvés, des scénarios inventés de toute pièce, des propos détournés, aucune logique, aucune question, aucun interrogatoire, rien n’a été fait pour prouver l’innocence avérée de notre ami. Ni même pour prouver sa prétendue culpabilité !

Sous couvert d’une justice à demi-teinte qui n’a démontré aucune impartialité, qui a bafoué la présomption d’innocence, qui a dénigré notre ami, ses origines, son témoignage, son parcours, son entreprenariat, sa foi ; des « prétendues victimes » ont défilé et joué leur pièce de simulation, avec un scénario fictif qui n’a cessé d’évoluer au fil des ans. Rien d’étonnant car il est difficile de maintenir un mensonge intact sans modulation et dans une parfaite logique.
Bien heureusement, la vérité, elle, n’a pas besoin de tant d’artifices, mais hélas, le tribunal de Fontainebleau comme la Cour d’Appel de Paris, ne nous ont pas écouté et ont démontré que la vérité a peu de place au sein de leurs institutions.

Si le monde ne nous écoute pas, comment les pasteurs de la communauté congolaise, la pastorale dirigée par le Docteur Lévi Jackson, peut-elle laisser ces faux-chrétiens, ces faux pasteurs, François Tshibambe et Danielle Babin et leurs ouailles, jeter un frère, un serviteur de Dieu en pâture à une justice qui n’en a que faire de la foi mais prend plaisir à détruire et écraser ? Une justice qui n’en a que faire de la vérité tant qu’elle a un « coupable » à sacrifier. Et pourtant, Yannick Nila K. n’a jamais bafoué la loi de sa vie, a été élevé et enseigné dans l’église et a même développé un projet d’entreprenariat pour l’église !

Mais il n’a fallu qu’un mensonge pour qu’il soit traité de gourou meneur d’une secte évangélique. Une fausse plainte déposée par Danielle Babin en 2016. Depuis le début, elle n’est habitée que par le mensonge, elle est ses complices. Et pendant que la justice lui accorde du crédit, Danielle Babin a été reconnue coupable de violences conjugales à l’encontre de son ex-mari, Gaston Nitou Samba, qu’elle a violemment agressé et laissé pour mort. Comme le témoigne Wissa, elle a convaincu Papa Gaston de retirer sa plainte pour qu’elle échappe à la prison ferme et la radiation du barreau, ce qu’il a fait, mais elle a tout de même écopé d’un sursis de 4 ans par le tribunal de Meaux. Elle connaît les rouages de la justice. Et alors, qu’elle vient s’attaquer à notre ami, la justice donne raison à sa violence et ses mensonges.

Pendant que notre ami croupit entre les 4 murs d’une prison pour n’avoir rien fait, Danielle Babin, François Tshibambe et le collectif de faux-chrétiens du Plein Evangile, se pavanent et poursuivent leurs activités pour avoir menti intentionnellement et demandé des dommages et intérêts à hauteur de plus de 80 000€. Ils continuent de prêcher ! De chanter et louer ! Quel Dieu servent-ils en réalité ? Pasteurs ! Peut-on les laisser ainsi répandre Mamon au sein de la communauté, auprès des âmes du Seigneur, sans intervenir ?
Révoltée par cette injustice, Wissa Kololo appelle les pasteurs de la communauté congolaise à sortir de leur silence pour juger cette affaire, en tant qu’Hommes spirituels. Car cela porte atteinte, une fois de plus, à l’oeuvre évangélique en France.
« Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge. L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne. » [1 Corinthiens 2 v.14-15]

Nous vous laissons découvrir la vidéo actuellement disponible sur Youtube et partagée sur toutes nos plateformes sociales. N’hésitez pas à nous laisser un commentaire et à partager autour de vous pour interpeller la communauté. Puisse Dieu vous bénir abondamment.

La Rédaction