Les rescapés du dernier siècle
Une chronique de Yannick NILA
1ère Partie
Assis nous attendions, les bruits couraient et les cœurs s'enlisaient dans la peur, les signes annonciateurs du temps de la fin étaient dans nos locaux, l'iniquité atteignait les lieux censés être saints et rien à faire pour y remédier, ceux qui étaient censés être la voie de la justice étaient devenus les cultivateurs du conflit entre les Hommes censés être pieux.
Nous pouvons voir et sentir que notre fin à nous arrivait, livrés par notre propre sort, nous étions enfermés dans notre propre matérialisme.
Nous étions trop attachés à ce monde dans lequel nous fûmes, au préalable, venus comme des visiteurs, sa richesse et sa convoitise emportèrent les âmes de
plusieurs dans le tréfonds des ténèbres sombres, un grand nombre tombait dans la démence et montait comme des hameçons, attirés comme des poissons de mer
dans le filet, l'ignominie souillait la gloire des uns, la coupe de la droite de l'Eternel se détournait d'eux.
Une couverture brisée
Nous étions plus d'un à être choisis. Un choix difficile, pour agir et servir en plein jour comme les enfants de lumière, comme son choix, portant sur nous notre bois ; un signe de notre propre condamnation.
Affrontés indirectement et infligés par des images des scènes de ce siècle. Indigne, sans avenir, un monde voué et livré à l'échec.
Hélas ! Vous ne voulez pas des mets du prince de ce siècle mais pourtant vous êtes là.
Dans ce combat sans merci, vous refusez de mentir, le système s'impose et détourne le regard noble, mais comment détourner le regard, cependant le mal fait sa fiesta autour de vous. Beaucoup ont rouillé le bouclier de leur couverture, en se livrant au mensonge que le système leur imposait, prirent comme femmes celles des autres et se conformèrent aux plaisirs plus qu'aux ordonnances sacrées qui leur ont été domptées. Un grand nombre déserta, plusieurs émergèrent, aimèrent leur vie en voulant que la société les accepte, en faisant cela ils brisèrent leur couverture.
A suivre... !!!
Pensée
Dieu est Amour et c'est à cet Amour que vous devez vous agripper, à sa raison de nous aimer.
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