Un carnage prémédité par un terroriste évité dans le Thalys Amsterdam-Paris, grâce à la main de Dieu ?
Il s’agit de l’actualité du moment. L’attentat terroriste perpétré dans le train reliant Amsterdam-Paris, par un jeune djihadiste de 25 ans, fiché par les services de renseignements de quatre pays d’Europe, l’Espagne, la France, l’Allemagne et la Belgique. Un profil inquiétant selon les autorités. Arrivé à Algerisas, en Espagne en 2007, il est arrêté plusieurs fois pour trafic de drogue en 2010, et se fait remarquer par les autorités pour ses discours radicaux dans les mosquées de la ville. C’est en 2014 qu’il arrive en France, séjourne sur le territoire pendant sept mois à Aubervilliers et travaille chez Lycamobile comme promoteur durant trois mois seulement car ses papiers « ne lui permettraient pas de travailler en France » selon l’opérateur mobile. C’est le 10 mai dernier que celui-ci est remarqué à Berlin, d’où il prend un vol pour la Turquie. Les autorités le soupçonnent d’être allé en Syrie et d’avoir ensuite regagné le continent Européen le 4 juin dernier.
Trois mois plus tard, voici que le jeune homme refait surface. En effet ce vendredi 21 août, cet homme d’origine marocaine, est monté dans le fameux Thalys à la ville de Bruxelles vers 17h13, selon le procureur de la République de Paris. Prétendant être un sans domicile fixe dans la ville de Bruxelles, après son arrestation, l’assaillant aurait pourtant payé son billet de train en liquide, 149 euros pour une place en première classe tout de même. Il se serait ensuite enfermé dans les toilettes de son wagon, avec un sac à dos rempli d’armes d’après le procureur de la République, cachant un fusil d’assaut AKM et neuf chargeurs, des chargeurs de trente cartouches « chargées à bloc ». Le forcené aurait d’ailleurs au total emporté avec lui 270 balles, en plus d’un pistolet automatique de marque Luger M80, un chargeur d’arme de poing 9mm, un cutter et une recharge de lame et pour finir, une bouteille de cinquante centilitres d’essence. Une arme d’assaut que le jeune homme SDF certifie avoir trouvé dans un jardin public où il dormait souvent, à côté de la gare de Bruxelles. Vraiment très difficile à croire. Pourtant celui-ci nie encore aujourd’hui toute appartenance à un groupe islamiste et affirme que son seul but était de dépouiller les passagers du train.
Un carnage, voilà ce qu’Ayoub El Khazzani avait prévu pour les passagers du Thalys 9364. Interrompu dans la préparation de ses armes dans les toilettes par en français de 28 ans, un simple passager devenu héros malgré lui, se rendant pourtant aux toilettes sans s’attendre à devoir empêcher un attentat. Sorti El Khazzani, vers 17h50, torse nu tel Rambo, muni de son sac à dos et d’un fusil d’assaut un AK-47 pour accomplir sa mission. Cependant, il est rapidement plaqué contre le porte-bagages durant quinze secondes, par ce jeune français souhaitant rester anonyme. Un contrôleur de train arriva par la suite mais Ayoub profita pour se dégager et tirer en direction des passagers du wagon 12. Par la grâce de Dieu, le forcené est vite maîtrisé par d’autres passagers, un Britannique de 62 ans nommé Chris Norman, ainsi que ces trois héroïques Américains, deux soldats et leur ami. Des soldats n’ayant pas hésité à se jeter sur l’homme armé pour l’immobiliser, arracher son arme et le ruer de coups pour le faire perdre connaissance. Dans ce combat violent, un des militaires s’est vu entaillé de plusieurs graves coups de cutter par le terroriste. De plus, une balle perdue blessa un passager franco-Américain, mais le pronostic vital des deux hommes n’est pas engagé.
Deux soldats américains pour désarmer un terroriste, coup de chance ou signe divin ?
Il a fallu la présence de deux soldats américains, Aleksander Skarlatos, 22 ans, de retour d’une mission en Afghanistan, Spencer Stone, 23 ans, spécialiste des arts martiaux, accompagnés de leur ami Anthony Sadler, jeune étudiant, tous les trois en vacances en Europe, pour définitivement stopper le carnage prémédité du jeune marocain. «Un gars rentre d’Afganistan et doit livrer bataille en vacances dans un train en France », s’exclame un des membres de la famille. Certains appelleraient cela un concours de circonstances. D’autres diront une grâce et un miracle de Dieu. « Sans Spencer, nous serions tous morts », affirme le sexagénaire Britannique. En effet, Spencer sauta sur le tireur, vite rejoint par ses deux camarades. « C’est notre ami, alors lorsque nous l’avons vu se lever, nous devions le suivre et l’aider ». Une dévotion sans pareil, un acte louable d’ailleurs distingué par le président François Hollande qui décerna la Légion d’honneur aux trois Américains et au Britannique. Barack Obama, a par ailleurs félicité ses militaires étant extrêmement fier de leur courage. Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve salua à son tour la bravoure des deux soldats américains.
Des hommes prêts à mettre leur vie en danger pour sauver des centaines d’autres.
Toutefois retenons que dans tous les cas, « Dieu donne le courage et la force de faire le bien », affirme Yannick Nila, poète chrétien ayant suivi de près cette affaire digne d’un film hollywoodien comme beaucoup d’entre nous. Des propos pouvant être confirmés par le père d’Anthony Sadler, pasteur interviewé par téléphone ; « Nous sommes reconnaissants envers Dieu qu’il n’ait été ni touché ni tué ».
En effet, nous sommes en bonne santé grâce à Dieu, et c’est au moyen de cette santé et cette force renouvelées chaque jour que nous sommes en moyen de faire le bien. Le monde a entendu des histoires de personnes agressées violemment, publiquement et vu des vidéos montrant l’insensibilité des passants ou des personnes présentes à des scènes de violence, sans intervenir et sauver l’individu en danger. Pourtant, tel le plus grand héros de tous les temps, Jésus-Christ, tout homme est doté de capacités et a reçu du créateur suffisamment de bon sens pour faire le bien et intervenir dans des situations difficiles. Un jour ou l’autre le héros qui dort en nous, devra faire surface. Par la force que Dieu donne, nous devons donc dépenser notre énergie à agir avec bonté, et ne pas en avoir peur, à l’instar de ces six héros.
En résumé chers lecteurs, reconnaissons donc la bonté de Dieu dans cette histoire censée être au préalable un grand drame. Un terroriste s’apprêtant à éliminer plusieurs passagers dans un train, voit son attentat complètement échouer grâce à des soldats américains se trouvant sur les lieux et qui plus est, ayant de l’expérience dans ce genre de situation, ironie du sort ou signe de Dieu montrant au monde qu’il est bien présent, et observe en silence les plans les plus machiavéliques des hommes ? Nous pouvons affirmer que c’est Dieu qui est intervenu au travers de ces deux hommes déjà dévoués à leur nation, de leur ami, de l’agent de la SNCF, de ce jeune Français, de ce sexagénaire britannique ainsi que ce passager franco-américain. Il n’y a que l’Eternel qui peut mettre en place une telle organisation pour déjouer une œuvre assurant la mort probable de 554 passagers et ne permettre que deux blessés. Gloire à Dieu. Ce n’est pas la première fois que Dieu intervient dans ce genre de situation, si seulement le monde pouvait le reconnaitre et comprendre que l’humanité évite de très grandes catastrophes, tous les jours.
par Wissa KOLOLO
Pensée
Dieu est Amour et c'est à cet Amour que vous devez vous agripper, à sa raison de nous aimer.
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