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Témoignage d’une guérison miraculeuse par la foi d’une petite fille

« Et Jésus dit : Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi; car le royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent. » [ Matthieu 19:14]
Ce verset illustre bien le sujet du jour. Grâce à l’innocence et la foi d’un enfant, un miracle s’est produit au sein d’une famille dont nous ne connaitrons l’identité. Le pasteur Jema Taboyan s’est chargée de narrer cette histoire, publiée sur le site  « A toi de voir ». A la lecture, nul ne peut rester indifférent devant la puissance du pouvoir de guérison associé à la foi que nous avons en Jésus-Christ, une foi aussi petite qu’elle soit.

« Les miracles existent-ils encore ? Je me suis souvent posée cette question. Oui, je crois que Dieu est tout puissant, que rien ne lui est impossible. Je crois également que le plus grand miracle est bien d’être aimé d’un Dieu si grand ; accepter cet amour non seulement avec ma pensée, mais également dans mon cœur, et en vivre chaque jour. Mais qu’en est-il des autres miracles, comme la guérison, qui nous sont rapportés dans les évangiles ? Etaient-ils des signes pour ses contemporains ? Et aujourd’hui ? J’aimerais juste vous raconter un épisode de notre vie familiale. Un événement tout simple, et si vrai ! », introduit la mère de famille.

Cette mère de deux petits enfants, une fille ainée de trois ans, et un petit garçon de dix mois, sortait d’une longue maladie éprouvante. Celle-ci donnait le bain au dernier lorsque l’enfant lui échappa des bras et alla droit se cogner contre le mitigeur de la salle de bain : « Quand je l’ai relevé, son œil était tout rouge et il hurlait de douleur ! », raconte-elle.
Un accident qui s’est révélé être assez grave, une fois arrivés aux urgences. Les médecins décident en effet de garder le bébé quelques jours en observation. Les parents passèrent donc un coup de fil à leur fille ainée, restée chez ses grands-parents, pour la rassurer sur le cas de son petit frère. C’est alors que l’histoire prend une tournure miraculeuse, grâce au conseil que prodigue la petite demoiselle toute innocente et pleine de foi, à sa mère : « Maman, tu n’as qu’à faire comme Jésus a fait pour Bartimée : tu mets ta main sur son oeil et tu pries ! ».

Une piqure de rappel s’impose. Dans l’histoire de Bartimée qui nous est contée dans le livre de Marc 10:46-52, le Seigneur n’a pas imposé ses mains sur l’homme, qui assis sur le bord du chemin, entendit Christ passer et cria son nom, tellement fort que cela dérangeait certaines personnes de la foule, essayant alors de le faire taire. Jésus s’arrêta, lui ordonna de se lever et lui demanda ce qu’il désirait. L’homme demanda au Seigneur de le guérir. « Va, ta foi t’a sauvé », répondit le Christ. Cet homme fut guérit, à l’instant.
Bien qu’il n’y eut imposition des mains, la déclaration de cette petite fille n’en perdait en rien sa valeur prophétique.

« Ah, si cela pouvait être aussi simple… », s’est dit la mère désemparée, avouant avoir douté de la parole de foi si simple de sa progéniture. Un doute qui ne manqua pas de s’accroitre lorsque les médecins annoncèrent à la famille que l’enfant avait perdu la vue car la rétine de son oeil s’était décollée.
Un choc total. « Vous imaginez notre douleur… ».
Un drame, un malheureux incident dans la baignoire, qui engendra une infirmité, à vie. Un fardeau insupportable. Après avoir pris plusieurs rendez-vous pour entamer des examens sur anesthésie générale et suivi régulier, la famille rentra et récupéra leur fille au passage, chez ses grands-parents. C’est alors que celle-ci convaincue que le Seigneur guérira son frère instantanément accourut pour imposer ses mains sur son oeil et déclara : « Jésus, guéris l’œil de mon frère !». Mais rien ne se produit. Déboussolée et ne comprenant pas pourquoi sa prière ne fut exaucée à l’instant même, elle dit à sa maman : « Jésus n’a pas guéri mon frère ».

Nous étions très surpris de voir qu’elle pensait vraiment qu’en enlevant sa main, l’œil allait être de nouveau comme avant ! Nous avons dû expliquer à notre fille que oui Jésus est tout puissant, il est capable de guérir tout de suite mais qu’Il a seul le droit de décider ce qu’il doit faire. »

Pourtant, la prière fut belle et bien exaucée mais le miracle ne s’est produit que plus tard, pas au temps souhaité par la petite fille, mais au temps convenable, un temps idéal, car par cette guérison c’est tout le corps médical qui fut confondu.
De retour à l’hôpital le lendemain, pour le premier contrôle du petit garçon, le chirurgien en charge du bébé de dix mois ne fut présent. Un interne prit sa place pour examiner l’oeil atteint. Et là, après plusieurs essais, « Madame, pourquoi avez-vous amené votre fils ? », demanda l’interne, la mère s’empressa alors de relater toute son histoire rocambolesque. Une infirmière lui présenta le dossier mais pourtant celui-ci confirma ne rien voir. « Je ne vois rien. Votre fils n’a rien. »
En colère, l’infirmière alla chercher le chirurgien. « En costume cravate, il est venu examiner l’œil à son tour. C’est alors qu’il a reconnu : en effet, la tache observée la veille avait disparu ! Notre fils n’avait plus rien ! », raconte la mère de famille qui finit par conclure son témoignage en ces termes :
« Certes, nous n’avions pas besoin de ce signe pour croire en la puissance de Dieu, en son amour envers nous. Pourtant, nous avons été mis face à la simplicité de foi d’un enfant de trois ans, pour qui non seulement rien n’était impossible à Dieu, mais qui s’attendait surtout à voir concrètement l’action de Dieu. Et nous adultes ? Sommes-nous prêts à voir Dieu agir ou l’empêchons-nous par notre incrédulité ? »

Pourquoi considérons-nous que Dieu tarde à exaucer nos prières ?

« Jésus vit, en passant, un homme aveugle de naissance. Ses disciples lui firent cette question: Rabbi, qui a péché, cet homme ou ses parents, pour qu'il soit né aveugle? Jésus répondit: Ce n'est pas que lui ou ses parents aient péché; mais c'est afin que les oeuvres de Dieu soient manifestées en lui. »[ Jean 9 : 1-3 ]
Dieu utiliserait donc les miracles pour que son nom soit glorifié ? Certainement la raison pour laquelle la guérison du petit garçon n’eut lieu à l’instant, mais devant des spécialistes de la médecine pour confondre leur science. Beaucoup ont reçu des guérisons après de longs temps d’attente, des prières de foi interminables, des années de souffrance, ou un rétablissement progressif. Le témoignage de l’aveugle-né relaté dans le livre de Jean 9 : 1 à 7; exprime bien cela. Jesus fit de la boue avec sa salive, l’appliqua sur ses yeux et ordonna à l’homme malade d’aller au réservoir de Siloé pour se laver les yeux. Ce qu’il fit « et s’en retourna voyant clair ». Cependant un détail nous échappe. Le Christ aurait pu lui accorder un miracle à l’instant ou ôter partiellement son aveuglement le temps qu’il trouve le chemin vers Siloé… cela n’est pas précisé. C’est encore aveugle, avec de la boue sur les yeux, que l’homme alla jusqu’à la fontaine pour l’exaucement de sa guérison. A méditer !

Il est vrai qu’avec les nombreux témoignages de la Bible et ceux de notre temps, nous pouvons affirmer que le miracle de Dieu ne vient pas dans nos vies selon nos désirs et nos mises en scène, comme la jeune demoiselle qui pensait qu’imposer les mains Tout de suite, serait égal à guérison Tout de suite !
A nouveau, la Bible nous le prouve dans l’histoire de la guérison de Naaman, ce général en chef du Roi de l’armée de Syrie, décrite dans 2 Rois 5 : 1 à 19. Cette histoire nous enseigne la patience et l’humilité à adopter, car Dieu fait toute chose en son temps et selon son fonctionnement. Tenu en haute estime, celui-ci reçut l’ordonnance de guérison du prophète Elisée par son serviteur, non par l’homme de Dieu en personne, comme il l’espérait. De plus, la pratique médicinale à exécuter ne lui convint. S’attendant à une imposition des mains et des hautes prières, lui, chef d’une armée redoutable, reçut l’ordre de « se jeter sept fois dans le Jourdain. » Se sentant méprisé, Naaman voulut faire demi-tour mais fut très vite dissuadé par ses serviteurs. Il obéit. Apres s’être jeté sept fois, il fut guéri. Je vous invite à lire l’intégralité de ce témoignage.

Nous pouvons rajouter l’histoire de l’aveugle de Bethsaïda qui fut guérit à la deuxième imposition des mains du Seigneur dans Marc 8 : 22 à 25
« (…) puis il lui mit de la salive sur les yeux, lui imposa les mains, et lui demanda s'il voyait quelque chose. Il regarda, et dit: J'aperçois les hommes, mais j'en vois comme des arbres, et qui marchent. Jésus lui mit de nouveau les mains sur les yeux; et, quand l'aveugle regarda fixement, il fut guéri, et vit tout distinctement »

Cependant la parole qui témoigne bien qu’il existerait un temps de « processus de guérison » ou « d’exécution des paroles de foi » est l’histoire du Figuier maudit par Jésus dans Marc 11: 12 à 21.
Jésus eut faim mais ne trouva pas de fruit sur le figuier présent sur son chemin, ce qui est tout à fait normal car ce n’était sa saison : « Prenant alors la parole, il lui dit: Que jamais personne ne mange de ton fruit ! Et ses disciples l’entendirent. » Mais c’est le lendemain, à leur retour que les disciples constatèrent que l’arbre maudit la veille était complètement séché.
« Le matin, en passant, les disciples virent le figuier séché jusqu'aux racines. Pierre, se rappelant ce qui s'était passé, dit à Jésus: Rabbi, regarde, le figuier que tu as maudit a séché. »

Il est important de garder la foi en tout temps, car même si selon nous Dieu tarde à venir nous exaucer, il nous exauce toujours. A nous de nous tenir à notre poste et voir ses promesses s’accomplir.
« Puisqu'il m'aime, je le délivrerai; Je le protégerai, puisqu'il connaît mon nom. Il m'invoquera, et je lui répondrai; Je serai avec lui dans la détresse, Je le délivrerai et je le glorifierai. » [Psaume 91: 14-15]

Par Wissa Kololo

Pensée

Dieu est Amour et c'est à cet Amour que vous devez vous agripper, à sa raison de nous aimer.

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