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Condamnée à mourir par avortement, il y a 38 ans, Gianna Jessen survit et raconte son histoire

Quel incroyable miracle qu’est l’histoire de Gianna Jessen !

A l’heure actuelle, Gianna Jessen ne devrait, conformément au plan des Hommes, être comptée parmi le commun des mortels. Car la jeune femme, il y a 38 ans de cela, était programmée à mourir suite à un avortement par solution saline, administrée alors qu’elle n’était qu’un bébé dans le ventre de sa mère. Soudainement intéressés par cette histoire ? On vous comprend… En voici le récit et le témoignage.

En 2008, le Comité chargé d’examiner les pratiques douteuses du Planning Familial, alors accusé de vendre des parties de corps de bébés avortés, écoute, médusé, l’histoire bouleversante de Gianna Jessen, appelée à témoigner.

En octobre 1977, la mère biologique de Gianna, alors enceinte de 7 mois, se rend à une des plus grandes cliniques d’avortement des Etats-Unis, « Planned Parenthood » (Planning Familial) pour y subir un avortement salin, pratique très réputée dans les années 70-80 mais obsolète de nos jours. Cette méthode meurtrière consiste à injecter dans le ventre de la mère une substance destinée à brûler le bébé à l’intérieur comme à l’extérieur, le rendant aveugle et l’étouffant. L’enfant naît mort-né, souvent dans les 24 heures. Quelle atrocité !

Les médecins de l’époque pensaient alors que le sort de Gianna, comme des millions de bébés avant elle, était scellé. Mais alors qu’elle resta brûlée dans le ventre maternel près de 18 heures, Gianna, contre toute attente, naît vivante et pousse son premier cri dans la matinée du 6 avril 1977. Son dossier médical indique d’ailleurs : « née vivante pendant un avortement par solution saline à 6 heures du matin ».

Mais voilà, dans le règlement du Planning Familial, le médecin avorteur ne doit pas laisser vivre le bébé, mais en toute impunité, l’étrangler ou l’étouffer ou le laisser tout simple mourir. Grâce sur grâce divine, le médecin chargé du cas de Gianna n’était pas encore arrivé, ainsi une infirmière présente prit en charge le nourrisson la conduisant en urgence à l’hôpital.

« Les docteurs ne pensaient pas que j’allais vivre. Et pourtant, j’ai survécu. Par la suite, on m’a diagnostiqué une paralysie cérébrale, causée par un manque d’oxygène dans mon cerveau pendant le processus d’avortement. On n’a jamais supposé que je puisse un jour tenir ma tête droite ou même marcher. Et pourtant, je le fais. La paralysie cérébrale est un grand cadeau pour moi », témoigne Gianna.

En lutte contre le Planning Familial

« La chose la plus miséricordieuse qu’une grande famille puisse faire à un de ses nourrissons est de le tuer », déclarait Margaret Sanger, fondatrice du Planning Familial dans son ouvrage « La femme et la nouvelle race ».

Une déclaration qui fait froid dans le dos et qui ne peut laisser insensible. Car au-delà de tuer des millions d’êtres innocents, le Planning Familial s’est lancé dans la vente de membres de ces pauvres nourrissons.

Le sang qui crie au Seigneur de la terre, comme celui d’Abel. Aucun d’entre eux n’est oublié par Lui. Si l’avortement est une question de droits de la femme, alors quels étaient mes droits ? Vous utilisez continuellement l’argument suivant : « si le bébé est handicapé, nous devons interrompre la grossesse », comme si vous pouviez déterminer la qualité de la vie de quelqu’un. Ma vie a-t-elle moins de valeur à cause de ma paralysie cérébrale ?

Et elle a bien raison. Qui peut avoir un mot et une emprise sur la vie d’un être, si ce n’est le Créateur ? Diagnostiquée d’une paralysie cérébrale, Gianna, sauvée par Jésus-Christ ne se porte que mieux, aujourd’hui, ne détenant aucune séquelle. Alors oui, le miracle est possible. Christ-Jésus est vivant ! Et par Gianna Jessen, Il nous le prouve encore.

C’est alors une lutte contre cette organisation que mène Gianna, dans le but de sauver d’autres vies. Au nom des droits de la femme, cette organisation meurtrière cache des profits financiers par la tromperie et la manipulation. Et le comble, elle recevrait chaque année, 500 millions de dollars venant de l’argent du contribuable, pour mener à bien sa mission satanique. Mais Gloire soit rendue à Dieu le Père qui, par sa fille miraculée, met en lumière cette tuerie.

L’avortement, un meurtre avec préméditation

La Bible nous prône de ne point tuer. Or nous le savons, l’avortement est bien un meurtre. Combien d’enfants sont privés de cette existence. Car un simple battement de cœur nous prouve la vie émanant du fœtus dans le ventre de sa mère. Et cette vie, Dieu l’a prédestiné. N’a-t-il pas dit au prophète Jérémie : « Avant que je t’eusse formé dans le ventre de ta mère, je te connaissais » [Jérémie 1 :5].
Nous savons, du reste que chaque vie est précieuse pour notre Dieu, et ce, alors même que nous n’existons encore que dans sa pensée.

Photographie

C’est toi qui a formé mes reins, Qui m’a tissé dans le sein de ma mère. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien. Mon corps n’était point caché devant toi, Lorsque j’ai été fait dans un lieu secret, tissé dans les profondeurs de la terre. Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient. Et sur ton livre étaient tous inscrits les jours qui m’étaient destinés. Avant qu’aucun d’eux existât [Psaume 139 : 13-16]

De même dans l’épisode relaté dans le livre de Luc 1 :34-44, la rencontre entre Elisabeth et Marie, mère de Jésus, toutes deux alors enceintes, il est écrit qu’alors remplie du Saint-Esprit, Elisabeth s’est écriée : « Comment m’est-il accordé que la mère de mon Seigneur vienne auprès de moi ? Car voici, aussitôt que la voix de ta salutation a frappé mon oreille, l’enfant a tressailli d’allégresse dans mon sein ».

Ainsi donc dans la pensée de Dieu, un fœtus, dès sa conception, représente une vie humaine. Exode 21 : 22-23 nous précise, par ailleurs, que l’avortement provoqué était assimilé à un meurtre, quel qu’ait été l’âge du fœtus dans le sein de sa mère.

Nos prières ne peuvent qu’accompagner la lutte honorable de Gianna Jessen, qui pour conclure son témoignage a fièrement déclaré : « Laissez-moi vous dire, je suis vivante par la seule puissance de Jésus-Christ, en qui je vis, je bouge et j’existe. Sans Lui, je n’aurais rien ; avec Lui, j’ai tout ».

Par Audrey WOLBER

Pensée

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