Lettre de réconfort J'ai une forme d'assurance
De gloire en gloire, de richesse en richesse, dans son sein je n'ai point connu la disette, je n'ai point vécu dans l'attente. J'ai tout reçu en lui, mon âme soupire légèrement un air nouveau de miracle. Je suis dans l'exploit dans l'explosion de magnificence d'une joie et paix abondante qu'aucun être sur cette terre ne pourrait expliquer ou définir avec des mots clairs.
Je m'en vais vers ce règne de victoire en vainqueur, entrer au sein de la vie d'éternité, proclamer et voir son repos, sillonner le hall de sa majesté.
J'ai une forme d'assurance, d'une miséricorde, affranchissement d'un don parfait, son monde, sa paix, son repos, une parfaite issue de secours que l'humain espère, qu'il ne pourra sans doute jamais se procurer, un abri invisible à l'infâme, où seul l'œil de la foi perce une partie de ce lieu hermétique, ce lieu ermite, désert et en même temps fleurissant de connaissance d'arbre de sagesse & d’étude.
J’ai une forme d'assurance mes frères et sœurs et je sais, ce n'est pas un sorcier ou un ange déchu, ou même le diable qui est descendu au milieu des
ténèbres de l'abîme, pour ravir avec force, la clé de la chaîne de mort qui nous condamnait.
Le sort qui nous pesait, le sort qui nous mettait en lien avec le malin le diable, ce sort
de la captivivé du péché de la mort, qui induit vers ce
lieu sans règne ni paix où l'espoir tarit, je sais que le divin nous en éloigne.
J'ai donc une forme d'assurance en mon être si profond. Ma foi me distingue & lui le maître voit & s'attire vers moi. Mes œuvres prennent aussi la parole comme un homme qui ne peut se taire. Sa voix se fait entendre, le maître tourne le regard, ô du haut des montagnes, le son de sa trompe se fait entendre, ciel nouveau, les nuages sombres se dissipent, sur ma ville, sur ma nation.
J'ai une forme d'assurance mes frères, que l'héritier sera secouru, nul ne l'achèvera & la pureté de l'Eternel recouvrira ses vêtements; il vivra, il chantera un chant de vie & un cantique nouveau auprès de son père celèste à jamais.
Pensée
La pluie a cessé, elle s'en est allée. Les fleurs paraissent sur la terre, elles résorbent les eaux du ciel en un filtre évitant de flétrir. Le temps alors de chanter la gloire du Seigneur est arrivé; un chant empreint d’une grâce opiniâtre et comme le figuier embaume ses fruits, et les vignes en fleur exhalent leur parfum, je fais entendre ma voix du haut des cieux; et d'un cœur plein de joie, je t’apporte tout ce que je suis sur le rocher de notre amour.
