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Le président Barack Obama est-il chrétien ou musulman ?

Accusé à maintes reprises d’être un enfant de l’Islam par les républicains conservateurs cherchant à nuire son image, Barack Hussein OBAMA, s’est vu obligé de défendre à nouveau son identité religieuse.
Depuis le début de sa campagne présidentielle le 4 novembre 2008, jusqu’à son deuxième mandat en cours, le président Américain subit des attaques féroces du parti adverse essayant de le discréditer aux yeux de l’Amérique, une Amérique aux valeurs profondément chrétiennes. Jouant sur ses origines, ses détracteurs s’amuseraient à créer la confusion au sein de la population américaine en mettant en avant la confession musulmane du père Kenyan, du 45ème président de la nation la plus puissante au monde. Impossible à tolérer ! Un président musulman à la tête d’une nation dont les fondations sont construites sur des valeurs chrétiennes depuis la naissance de cette grande puissance en 1776 à partir des colonies britanniques installées en Amérique du Nord, n’est pas concevable.

Les faits se sont passés le 5 février dernier, à Washington, durant un évènement annuel se tenant sous la forme d’un « petit déjeuner » pour traiter des sujets politico-religieux.
Lors de sa prise de parole, le président aurait tenu des propos blasphématoires à l’égard de la communauté chrétienne selon le parti le plus conservateur des Etats-Unis qui s’empressa de créer une polémique. En effet, M. Obama a commis l’erreur de comparer les actions criminelles de l’Islam radical à celle du Christianisme, n’étant pas en reste dans les crimes commis contre l’humanité, « Souvenez-vous des croisades et de l’Inquisition, ces gens qui commettaient de terribles choses au nom du Christ. Dans notre propre pays, l’esclavage a été trop souvent justifié au nom du Christ », a-t-il déclaré.

Les musulmans américains saisissent cette opportunité médiatique

Pour tirer leur épingle du jeu, une quinzaine de responsables d’associations musulmanes s’attribueraient indirectement le mérite d’avoir intégré le président dans leur « Lobby ». Créant une ambiguïté face aux doutes incessants de la communauté américaine. De plus, sur la toile, de nombreuses vidéos de ses discours politiques tenus dans des pays maghrébins tels que le Caire, l’Egypte le 4 juin 2009, sont interprétés de telle sorte à confirmer la croyance envers l’Islam du président nommé Hussein Obama.
D’ailleurs le projet de construction d’une mosquée près de Ground Zero a soulevé un vent de mécontentement dans le pays, empêchant la réalisation de ce site religieux. Face aux propos et actions mettant en valeur la communauté musulmane des Etats-Unis et du monde, à l’initiative du président, les républicains crient au scandale et aux mensonges, Barack Obama serait en réalité un musulman, certains prétendent que le président mentirait sur ses véritables origines l’accusant d’être un « arabe ».

La nation porte encore les blessures de l’attentat du 11 septembre 2001, orchestré par Oussama Ben Laden. La montée d’actes Islamophobes n’a donc cessé de croître depuis cette date fatidique, poussons les 2,6 millions de musulmans des Etats-Unis à dénoncer l’Intolérance qu’ils subissent. En effet, les autorités américaines ont révélé qu’il y aurait environ entre 120 et 150 actes islamophobes par an, et une progression de 14% en 2014, selon l’institut de recherche « Pew ».

Barack Obama laisse planer le doute…

Mettant en avant sa diversité culturelle, l’éminent orateur aime rappeler les origines Kenyane et musulmane de son géniteur et son enfance passé en Indonésie, un pays majoritairement musulman. Le représentant de la nation chercherait donc à apaiser cette minorité religieuse sur le sol U.S, en leur tendant la main et en rassurant le monde musulman de l’ouverture d’esprit de la nation américaine, au point de les caresser dans le sens du poil et d’enflammer la colère de l’Amérique conservatrice lorsqu’il déclare que « L’appel à la prière est le plus beau son sur terre » ou glorifiant le coran pour certains lorsqu’il introduit ses phrases par « Le Saint Coran… ». Nous pouvons rajouter ses propos l’Amérique profonde : « Les Etats Unis ont été enrichis par les musulmans Américains…» ou bien « Nous ne nous considérons pas comme une Nation Chrétienne… », mais encore « Qu’il n’y ait aucun doute, l’Islam est une composante de l’Amérique… », pour finir «Vous avez raison, John Mc Cain n’a jamais parlé de ma foi musulmane…».
Cela n’est plus à démontrer, l’habilité auquel veut faire preuve le président pour trouver des compromis, entre des enjeux importants peut paraitre impressionnant ou maladroit. L’éminent orateur ira jusqu’à s’incliner devant le Roi Saoudien en le saluant. Un acte repris par toute la presse américaine, et comparé à sa salutation moins distinguée envers la Reine d’Angleterre, ayant choqué l’opinion publique anglaise et fait les choux gras des médias du monde entier. Cette presse à scandale ira jusqu’à traduire son acte de politesse « un peu exagéré » comme un signe de soumission à l’Etat Islamique.

Toutefois, cette habilité qui lui est propre lasse davantage le parti républicain, ne supportant plus son manque de « Prise de Position » et ses discours ambigus.
Ce n’est une surprise pour personne, Obama est excellent lorsqu’il s’agit de séduire toute une population et les médias de la planète. Excellent orateur, sa nouvelle technique d’approche ouvrant les bras au monde Islamique va certainement au-delà des intérêts religieux. Cette séduction soudaine cacherait peut-être des intérêts purement financiers ou des alliances permettant à l’Amérique de garder la main mise et tisser des liens avec le monde islamique, un monde cherchant à s’affranchir des codes politiques occidentaux régis par les puissances multinationales dont le continent Américain fait partie.
Il se peut que cette nouvelle orientation de communication adoptée par la maison blanche soit qualifiée de « soudoiement ». Obama ferait-il des yeux doux aux leaders politiques et religieux islamiques?
Dans quel intérêt? Quand nous savons que celui-ci s’est engagé à lutter farouchement contre le terrorisme islamique, alimenté financièrement et matériellement par des dirigeants religieux et des grandes nations islamiques. Cette attention particulière n’est en aucun cas pour le seul but de prouver une confession musulmane semi cachée, trop simpliste comme conclusion !

Le président des U.S.A est bel et bien un Chrétien

L’adjoint porte-parole du Commandant en chef des Etats-Unis entre 2009 et 2011, Bill Burton, déclara en faveur du président, contre une énième accusation en 2010 que « Le président est évidemment chrétien. Il prie tous les jours. Il communique avec son conseiller religieux tous les jours. Il prend conseil auprès d’un groupe de façon régulière. La foi est très importante pour lui mais ce n'est pas quelque chose qui est un sujet de conversation tous les jours ».

Cependant, le Prix Nobel de la Paix ne s’est jamais caché au sujet sa foi en Jésus-Christ. Il la témoignera dans certains de ses ouvrages.
Il ne s’agit pas d’une simple déclaration pour calmer l’opinion politique du continent américain sur ses convictions religieuses, il vivrait profondément sa foi en Dieu, une foi qui structure sa vie professionnelle comme personnelle et joue un rôle de garde-fou. « Ma foi chrétienne me donne une perspective et une sécurité que je n'aurais pas par d'autres moyens : que je suis aimé et qu'à la fin de la journée, Dieu est aux commandes ». Selon une biographie écrite par Stephen Mansfield dont le sujet parle de la foi du Président, celui-ci déclare qu’elle influence véritablement sa manière de gouverner le pays.

Barack Obama est un Protestant Libéral, une branche du protestantisme née durant le XIXème siècle qui s’est éteinte au fil du temps. Ce libéralisme religieux fit naître des grands penseurs tels que Reinhold Niebuhr, père spirituel du président, né en 1892 et décédé en 1971. Ce dernier fut un grand théologien, un éthicien et intellectuel public ayant publié des ouvrages mémorables tels que « Homme moral et immoral société et de la nature et le destin de l’homme », un de ses bestseller durant le XXème siècle ou la célèbre « Prière de la sérénité ». La confession libérale d’Obama justifierait donc ses prises de position et ses choix politiques, très souvent anti-chrétien, bien évidemment critiqué par les conservateurs démocrates ou républicains et une partie de l’Amérique conservatrice.

Barack Obama, un oint de l’Eternel pour la présidentielle ?

« En m'agenouillant sous un crucifix dans le quartier South Side of Chicago, j'ai senti l'Esprit de Dieu me faire signe. Je me suis soumis à sa volonté et je me suis engagé à découvrir sa vérité » , a-t-il confessé lors d’un discours devant le congrès de Washington le 28 juin 2006.
Barack Hussein Obama a donné sa vie au Seigneur en 1988, dans la « Trinity United Church of Christ » ; une méga Church de la banlieue de Chicago. Trois ans auparavant, c’est sur la même rue où se situe l’église que le futur président commença sa carrière politique en tant qu’animateur social, fraichement diplômé de l’Université de Columbia, septique aux croyances religieuses et sans conviction profonde. Pure hasard ou destin divin ?

Malheureusement, suite aux propos tenus par le dirigeant de l’église Trinity United, Jeremiah Wright, déclarant ouvertement que l’attentat du 11 septembre était compréhensible, créant un tollé médiatique planétaire, Obama à l’époque en pleine campagne présidentielle fut dans l’obligation de prendre ses distances avec la paroisse qui le réconcilia avec Dieu. C’est d’ailleurs dans cette paroisse qu’il épousa la brillante avocate devenue la first Lady la plus populaire et la plus admirée du XXIème siècle, Michelle Obama. De plus, il y fit baptiser leurs deux jeunes filles Malia l’ainée et Natasha surnommée Sasha, la cadette.
Malgré cet incident politique et religieux très médiatisé pouvant le discréditer, et faire écrouler ses efforts fournis pour le mener à la maison Blanche, Lauric Henneton, historien et auteur du livre « Histoire religieuse des Etats-Unis » écrit qu’Il a gardé sa foi, qui est très intellectuelle. Il parle parfois comme un évangélique, en insistant sur sa rencontre personnelle avec Jésus, mais il n’a rien d’un born again.

Barack Obama se bat pour faire de sa présidence une image semblable à son métissage, celui d’allier plusieurs cultures, minorités sexuelles et bien d’autres, cherchant à créer un résultat harmonieux pour l’évolution et le bien de sa patrie. D’une mère chrétienne et d’un père musulman, il est évident que ce métissage social ne s’arrête pas à la couleur de la peau, ou aux orientations sexuelles mais intègre les différentes religions. Avec une certaine maitrise, il conduit le peuple des U.S.A à s’ouvrir à des dogmes religieux autres que ceux qui ont fondé la Nation des Etats-Unis d’Amérique, peut-être dans le but de moderniser sa politique.
Antéchrist ou Chrétien libertin ? Ces motivations sont traduites et interprétés de multiples façon, quoi qu’il en soit, son histoire personnelle et multiculturelle ont bâti ses convictions, des convictions qui guident son mandat présidentiel et qu’il juge être bon pour la Nation.

{Artistes Press}

Pensée

La pluie a cessé, elle s'en est allée. Les fleurs paraissent sur la terre, elles résorbent les eaux du ciel en un filtre évitant de flétrir. Le temps alors de chanter la gloire du Seigneur est arrivé; un chant empreint d’une grâce opiniâtre et comme le figuier embaume ses fruits, et les vignes en fleur exhalent leur parfum, je fais entendre ma voix du haut des cieux; et d'un cœur plein de joie, je t’apporte tout ce que je suis sur le rocher de notre amour.



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