C’est un témoignage édifiant à ne pas négliger.
“Je suis un type qui ne peut pas prendre seulement un ou deux verres, je dois boire jusqu’à tomber par terre”.
Voici Cicinho, ou disons plutôt, l’ancien Cicinho; Cicero Joao de Cézare de son vrai nom. Car, cet ex-latéral droit brésilien
du Real et de la Roma, a rencontré Jésus-Christ. Une rencontre salutaire qu’il a témoignée dans un entretien accordé à ESPN Brésil.
Tout récemment, alors qu’il quittait le club de Sivasspor, en Turquie, pour cause de fin de contrat, Cicinho avait fait de
l’alcool et la cigarette ses plus fidèles compagnons. Les nuits étaient bien arrosées chez le joueur.
Disons qu’il n’est pas le seul, dans ce monde où la célébrité rend fou, à sombrer dans ce genre de vices. Une vie pourtant en
désaccord avec le sport de haut niveau.
Car, quoique excellent sportif, il en allait de sa santé, au point qu’il consommait pas moins de deux paquets de cigarettes
par jour ! Très vite, il déchantait.
“Plus ça allait mal, plus je buvais.”
Vivant un échec dans son métier, le Brésilien rentra à Sao Paulo, où il n’y trouva que plus de problèmes.
“Je suis allé voir les psychologues de Sao Paulo. Ils ont essayé de m’aider, mais moi je voulais tout arrêter”, poursuit-il.
“On me disait que j’allais mourir si je continuais cette vie”.
De retour à Rome en 2011, il y rencontra celle qui devint son épouse. Par amour, il se laissa transporter vers un chemin plus
sain. Bien qu’elle l’aidait à remettre sa vie en ordre, ce sera grâce à Jésus-Christ, que le footballeur parviendra à faire ses
adieux à l’alcool et la cigarette.
“J’ai rencontré Jésus après avoir pris 18 caipirinhas et 14 canettes de bières”.
Il faut dire que Christ sait faire son entrée à point. Il semble bien affectionner les situations “dos au mur”. Car c’est bien à cet instant que la personne, au bord du rouleau n’a plus d’autres choix que de l’accepter.
Voici, en Cicinho, un joueur de plus, dans les rangs du Seigneur. On ne connaît la suite des évènements quant à cette conversion
miraculeuse, mais nous nous réjouissons de sa confession publique et ne doutons des merveilles de Dieu à venir pour son enfant.
“[…] il leur dit: Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu
appeler des justes, mais des pécheurs” [Mars 2 v17]
Gloire au Seigneur ! Car “il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent…” [Luc 15 v7].
La Rédaction
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