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Beyoncé, une divinité vénérée par des millions de fidèles

Il est vrai que Beyoncé est une star planétaire, dotée d’une voix hors pair, et d’un don pour le show, en plus de ses talents d’actrice. Ayant de peu frôlé un oscar pour le film « DreamGirl » dont elle fut la vedette principale, l’artiste internationale peut se consoler avec ses multiples récompenses acquises dans le monde entier. Ses nombreux Grammy Awards – dont le nombre se rapproche dangereusement de celui d’Aretha Franklin, étant jusqu’à présent l’artiste ayant reçu le plus grand nombre de Grammy Awards dans le monde – ses millions de CD vendus à travers le monde, ses contrats publicitaires, sa marque de vêtements et tout autre produit portant la griffe de Beyoncé font d’elle l’une des femmes les plus influentes au monde, pesant plus de 400 millions de dollars, adorée et admirée par des millions de fans, prêts à tout pour la rencontrer et lui ressembler.

Une religion en l’honneur de la star

Cette info datant de trois ans déjà fit le tour du monde en seulement quelques jours ; à croire que cette situation plut à l’artiste concernée. Depuis la création d’une religion en son honneur, Beyoncé ne se serait toujours pas exprimée pour dissuader ses fans obnubilés par sa personne.
« The National Church of Bey » (L’église nationale de Bey) vit le jour durant l’été 2013. La dirigeante de cette congrégation se nomme Pauline John Andrews. C’est accompagnée de onze autres amis et disciples que naquit cette congrégation à Atlanta dans l’Etat de Georgie, dont la divinité adorée n’est autre que la chanteuse mondialement connue, Beyoncé Carter. Cette congrégation prendrait, depuis, de l’ampleur, en effet, elle se serait installée au Canada et en Angleterre. L’église de Beyoncé aurait d’ailleurs publié sa propre bible, la « Beyble » qui serait disponible gratuitement. Celle-ci englobe des versets qui sont certainement des phrases mythiques de la diva et ses paroles de chansons.

« Après avoir écouté les mots divins inscrits dans the Beyble, nous vous assurons que vous marcherez vers la vérité », déclare le leader des « Beyistes »

Prenant au sérieux leur croyance, les « Beyistes » se réunissent chaque dimanche pour des cultes en l’honneur de la chanteuse. D’ailleurs cette communauté affirme que leur idole a été envoyée sur terre pour répandre l’amour, la paix et la joie. Cependant une différence est faite entre la divinité et le Créateur, en effet ces fans à l’extrême n’affirmeraient pas que la chanteuse est Dieu, l’Eternel Tout-Puissant mais confirmeraient qu’elle aurait bel et bien un trône parmi les dieux.
Toutefois, Pauline John Andrews se serait plainte du manque de considération de la population envers leur foi « Nous sommes très déçus que la population ne reconnaisse pas l’existence d’une divinité qui marche parmi eux. Nous vous demandons de considérer ce qui est plus réel: Un esprit invisible en haut, ou un qui marche, parle, respire, une déesse qui vous montre sa vraie forme tous les jours? », poursuit Pauline John Andrews.

Cependant un drame remit en question cette croyance très surprenante. Au printemps 2014, Taniya Hattersfield, une idolâtre de la star âgée de 23 ans, se serait suicidée en sacrifice pour la célèbre chanteuse. Son corps fut retrouvé dans le sous-sol de la maison familiale, la jeune femme s’était entourée d’un sanctuaire réalisé par ses soins en l’honneur de son idole. Une lettre d’adieu a même été écrite par la jeune femme, dans laquelle elle justifia son geste. Elle se serait sacrifié pour son « Seigneur et Sauveur Beyoncé ».
Un paradoxe réside dans cet acte de folie. En effet celle-ci se tue pour s’offrir en sacrifice dans le but d’augmenter le succès de la chanteuse. Une triste désillusion pour cette jeune femme qui décida de mettre fin à ses jours pour un être humain qu’elle considérait être son Dieu. Mais un Dieu a-t-il besoin de sacrifice pour perdurer ou pour exister ? Non !
Plus triste encore, la diva ne s’est jamais exprimée sur cette tragédie qui s’opéra en son nom.

Beyoncé, une artiste aux pratiques douteuses

Utilisant son image de fervente croyante en chantant « When Jesus say yes » avec ses sœurs de cœur dans le dernier album de Michelle Williams, l’artiste tenterait certainement de sauver les apparences, suite aux critiques fusant du monde entier, la qualifiant de sorcière des temps modernes.
Danseuse dénudée aux tenues vestimentaires plus que dégradantes, pour une grande majorité de femmes réfractaires à son message et son image, qu’elle qualifie pourtant d’être l’image d’une femme émancipée. Séductrice en robe noire transparente devant une mer agitée, telle une sirène, se réjouissant de sa richesse, de son succès….Fervente représentante de la franc-maçonnerie, au même titre que son époux Jay-Z, et ventant son appartenance à cette confrérie. L’artiste ne cache plus son attirance pour des pratiques ésotériques, très visibles dans ses clips. La liste est longue.

Son succès explosa en 2001, lorsque le grand producteur, Jay-Z intervint pour appuyer le père Knowles dans le lancement de la carrière solo de sa fille, alors que Beyoncé brillait de mille feux dans le groupe Destiny’s Child, seul à avoir vendu le plus de disques dans le monde, jusqu’à nos jours.
Le succès fut mondial dès la sortie de son premier album solo en tant que Beyoncé Knowles.
C’est aussi à cette même période que la chanteuse Björk, elle aussi très mystique, reprocha publiquement à la diva Queen Bee, d’avoir « vendu son âme au Diable ».
Pratique très courante dans le milieu du show business.

Adorer un Homme est de l’idolâtrie, prendre les attributs du Tout Puissant pour le donner à un Homme et en faire son dieu, est un blasphème et de la pure folie.
Il est inconcevable pour beaucoup de personnes, croyantes ou non, de vénérer une célébrité qui aurait elle-même fait appel à une force ténébreuse pour garantir la pérennité de sa carrière. Adorer Beyoncé veut aussi dire adorer le dieu qu’elle sert et qu’elle révère. Vu les œuvres de l’artiste, nul doute que celle-ci travaille de manière efficace pour le camp adverse, pour le compte de Lucifer, le dieu de nombreuses célébrités mondaines.

« Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu‘à la troisième et la quatrième génération de ce qui me haïssent » Exode 20:5

Au moyen de son fils Jésus-Christ de Nazareth, l’Eternel racheta sa création du péché qui entraina la condamnation à la mort éternelle. En effet, Dieu sacrifia son propre fils, Jésus-Christ, pour sauver l’humanité de la géhenne et garantir la vie éternelle à tous ceux qui croiront en lui.
Des milliards d’âmes sont encore captives de nos jours, entre les mains du trompeur aussi surnommé le serpent ancien, ayant séduit cette génération pour l’aveugler, la dévier du droit chemin et la conduire vers le blasphème, l’irréparable, dans le but de se garantir un maximum d’âmes à ses côtés, en enfer, lors de son jugement. Ne nous voilons pas la face, le diable est tel un lion qui cherche sa prochaine proie à dévorer. Il ne veut le bien de personne, pas même de ces stars qui ont des fins de carrière très difficiles voire humiliantes malgré leur contrat leur gratifiant des années de succès. N’admirons donc pas ce genre d’artiste, de peur d’accepter de vivre dans l’illusion, le mensonge du diable et dans des rêveries inutiles. D’ailleurs l’apôtre Paul nous exhorte à rester vigilants dans le livre 1 Pierre 4: 7 : «La fin de toute chose est proche. Soyez sage et sobre pour vaquer à la prière ».

Pensée

La pluie a cessé, elle s'en est allée. Les fleurs paraissent sur la terre, elles résorbent les eaux du ciel en un filtre évitant de flétrir. Le temps alors de chanter la gloire du Seigneur est arrivé; un chant empreint d’une grâce opiniâtre et comme le figuier embaume ses fruits, et les vignes en fleur exhalent leur parfum, je fais entendre ma voix du haut des cieux; et d'un cœur plein de joie, je t’apporte tout ce que je suis sur le rocher de notre amour.



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