Il n’est plus à prouver que bien souvent, le mal dont nous sommes victimes provient de
notre famille, notre entourage. Car malgré l’amour qu’ils peuvent nous porter, le coeur instable
de l’Homme ne lui permet d’être cent pour cent fidèle, bon et loyal. Malgré lui, il agit selon les circonstances de la vie.
Preuve vivante avec l’histoire de cet homme de 69 ans, qui a tué sa mère et tenta par la suite
de se suicider.
Un meurtrier malheureux
Sa mère âgée de 94 ans, malade, recevait des soins à domicile par une infirmière. Ce mardi 7 février 2017, son corps fut découvert. L’infirmière venant pour son intervention, découvre la nonagénaire sans vie. Prise de panique, elle alerta les secours. Une enquête a été ouverte. Selon les aveux du fils, celui-ci, s’est levé la nuit pour l’aider, et à ce moment-là, l’étrangla. Malheureux, par la suite il tenta de mettre fin à ses jours, en ingurgitant de la javel. Mais emmené au Centre Hospitalier de Montivilliers, dans la périphérie havraise, il survécut. Coupable d’homicide volontaire, c’est sur son lit d’hôpital qu’il fut placé en garde à vue. Mercredi 8 février, un juge a été saisi.
Coupable ou non coupable?
Serait-ce par amour que celui-ci aurait agi? Une source judiciaire révéla que le meurtrier a commis cet acte car «il n’en pouvait plus de voir sa mère dans cet état». Une raison justifiable? Malheureusement pour lui, cela est considéré comme un assassinat. Sûrement pensait-il bien faire, dans sa conscience, voyant la mort comme une solution pour sa mère. Mais cela n’exclut pas que son acte soit tout de même abominable. Un acte dont il n’en ressort rien d’humain. De cette pensée, cet homme n’en est pas la seule victime. Il est courant, devant des proches séniles ou en phase terminale d’une maladie, d’avoir tellement mal que l’on souhaiterait abréger leurs souffrances. Mais sommes-nous en droit de décider le sort d’une personne. Que nenni! Dieu lui-même condamne fermement le meurtre. Lui, le seul maître de notre souffle, de nos vies et même de la mort.
« L'homme n'est pas maître de son souffle pour pouvoir le retenir, et il n'a aucune puissance sur le jour de la mort; il n'y a point de délivrance dans ce combat, et la méchanceté ne saurait sauver les méchants » [Ecclésiaste 8 v.8]
Notons bien que la pensée même de tuer ne provient de Dieu. C’est le diable qui n’hésite
pas à nous la chuchoter dans l’oreille. Posant des arguments de taille défendant l’irréparable.
Mais la mort est un ennemi, la vie un précieux don divin. Ainsi quel que soit le degré de la
souffrance, seul Dieu détient le dernier mot d’une vie. Bien sûr la mort est un fait naturel,
mais c’est Dieu qui nous y conduit, au moment et à la manière qu’il aura décidés. Ne prétendons
pas en être maître. Car même dans la souffrance, Dieu peut tout à fait manifester sa gloire,
selon sa volonté. Rien n’est jamais perdu.
Ainsi, nous ne le répéterons jamais assez: aux désespérés il est un nom capable de restaurer
et de guérir; Jésus-Christ. Dans notre démarche, il nous est préférable de recommander notre
sort et celui de nos proches à l’Eternel, de qui seul provient la vie, quand bien même nous mourrions.
La Rédaction
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