Une exhortation écrite par Yannick NILA

Alors que la diphtérie, le tétanos, et la poliomyélite étaient les trois vaccins obligatoires à effectuer, dorénavant les enfants de moins de deux ans vivant en France, devront recevoir 8 vaccins supplémentaires : coqueluche, hépatite B, rougeole, oreillons, rubéole, bactérie Haemophilus influenzae, pneumocoque, méningocoque C ; soient onze au total.
Une amende de 3750 euros et une peine de 6 mois d’emprisonnement seront appliqués à tout parent refusant de s’y conformer, d’après le code de la santé publique. Ces nouvelles injections seront obligatoires à partir de janvier 2018.

Pourquoi un tel changement ? Cette décision du ministère de la santé survint après que des parents refusèrent d’injecter à leurs enfants les trois vaccins obligatoires réunis en une seule prise. Une démarche rebelle, certes, approuvée par le conseil d’Etat. Cependant l’ancienne ministre s’opposa à la création de vaccins individuels ; un désaccord qui mena le tribunal à trouver un arrangement en accordant au nouveau gouvernement en place, un délai de six mois. Mais ce dernier surprend alors en allant à contre-sens de la volonté des parents, qui eux, souhaitent une meilleure alternative au calendrier de vaccination élaboré par l’État. Grande désillusion, les vaccins passent alors de trois à onze obligatoires.

Fake News, propagande mensongère de l’Etat en passe d’empoisonner la petite enfance ?

L’arrivée de ces onze vaccins obligatoires est clairement désapprouvée par une grande majorité des Français. D’ailleurs 41% des Français seraient convaincus du danger des vaccins et de leur inefficacité. Pire encore, il est prouvé que 4 des vaccins seulement peuvent suffire pour la protection des enfants.
« Dans une tribune sur le site Reporterre, la député européenne écologiste Michèle Rivasi écrit même que « le calendrier des 11 obligations vaccinales envisagées représenterait pas moins de 76 immunisations avant l’âge de 18 mois ! ». Pourtant ces informations sont largement exagérées. En effet, une même piqûre peut regrouper plusieurs vaccins, et 11 vaccins obligatoires ne correspondent donc pas à 11 injections. », rapporte le site Daily Geek Show.

Par exemple, selon Michèle Rivasi, l’eurodéputée écologiste, le vaccin contre l’hépatite B, serait inutile pour un nourrisson. Simplement parce que cette maladie se transmet principalement par voie sexuelle. Plus encore, la vaccination des masses à l’hépatite faisant suite à une campagne de sensibilisation aurait causé des cas de sclérose en plaques chez plus d’un millier de vaccinés, précise-t-elle.
Se rajoutent à cela les lobbies des industries pharmaceutiques, voyant en cette commercialisation un véritable business, très rentable. Car les ajouts de plusieurs molécules, qui plus est, obligatoires, permettraient à certains lobbies de renflouer leurs caisses. Pire encore, cette manigance serait approuvée par l’Etat, qui se laisse volontiers piloter par ces entreprises pharmaceutiques au pouvoir conséquent, via les recettes qu’elles génèrent. Une vidéo aurait d’ailleurs révélé l’avarice des leaders de l’industrie pharmaceutique, qui avouèrent commercialiser et associer leurs produits non pas à des fins sanitaires mais bien monétaires. La dangerosité des vaccins n’y est que peu évoquée.

Car si ces 8 vaccins supplémentaires sont à ce jour obligatoires, sachons qu’ils étaient déjà recommandés. Certains foyers Français ont d’ailleurs été victimes de leurs effets. Des faits encore méconnus furent révélés dans un documentaire, présentant le combat de familles en colère. Dont les enfants furent victimes de ces vaccinations ayant engendré de sérieux effets secondaires, une santé physique extrêmement dégradée. Par conséquent, est pointée du doigt, la propagande mensongère du gouvernement et des industries pharmaceutiques, assurant aux parents le risque 0 encouru, et l’immunisation efficace de leurs bambins contre toutes infections au cours de leur enfance. Cependant ils s’évertuent à dissimuler les réels risques encourus, de par les dangers contenus dans certains composants de leurs vaccins, tel que l’aluminium. Un agent causant de graves maladies selon les opposants.

Considérons à présent la grande propagande en faveur du vaccin Gardasil, un vaccin préventif contre le cancer des ovaires. Nous ne pouvons qu’adopter un regard beaucoup plus prudent en ce qui concerne les vaccins jugés indispensables par nos gouvernements. Le revers de la médaille de cette injection sauveuse des femmes, fut dramatique pour de nombreuses victimes. Il s’avère que ce vaccin causa bien des maladies, et des décès. Les médias ne manquèrent pas de faire de cette triste information, leur choux-gras.

« Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. » [Esaïe 53 v.5]

Nous ne pouvons, chers lecteurs, rester indifférents face à cette nouvelle législation du gouvernement. À cette sphère du pouvoir, rien n’est pris au hasard, et les films et les séries TV, fictives mais très proches de la réalité surent nous en révéler une, ignorée des masses. Celles des choix politiques non pas par amour du peuple mais de l’argent. Ce nouveau vaccin a-t-il donc pour fonction de préserver des vies et améliorer la santé publique ou cache-t-il des desseins purement financiers ? Nous ne connaîtrons leurs réelles motivations, cependant la prudence comme un serpent est requise. Car ce que le gouvernement sous des influences antéchrists, juge être bon pour le peuple, s’est très souvent soldé par des échecs à long terme. Verrons-nous apparaître de nouvelles maladies, dont certaines industries pharmaceutiques sont en connaissance s’ils n’en sont pas entièrement les créateurs ? Et qui bien évidemment sont en possession des molécules et composés censés y remédier. Un cercle vicieux mettant la vie d’une nation en danger, pour des intérêts financiers.

Bien que l’utilité des vaccins reste quelque peu prouvée, la frontière séparant le vice et les œuvres dites bienfaitrices est hélas infime dans notre ère. En cela, sachons que le véritable guérisseur, gardien de notre âme, de notre santé est Jésus-Christ. Le remède par excellence contre tous nos maux, même ceux dits incurables, la prévention par excellence. Alors obligatoires ou non, ces vaccins n’ont particulièrement aucun pouvoir sur les foyers qui s’appuient tout d’abord sur Christ, et se tournent vers la science ensuite, et non l’inverse. Car à travers le sacrifice de Jésus-Christ à la croix, le Père céleste nous racheta, contre tout coup du sort, ou conséquences liées aux décisions humaines et spirituelles, qui nous sont nuisibles.
Demeurons donc dans la prière pour qu’en tout temps, nos vies soient préservées entre les mains du Créateur. Pour échapper aux pièges tendus par le diable et afin de vivre des jours heureux, nous, nos proches et nos familles.

Wissa KOLOLO

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