Le monde en déclin; ce n’est plus une révélation. Le règne de l’anti-christ vient corrompre les codes
socioculturels, politiques et médiatiques. Et les médias pour enfants sont, semble-t-il, les premières
cibles de choix. Entre alcool, sexe, meurtres à gogos, orgueil démesuré, les valeurs négatives se retrouvent
de manière féérique, subtile et drôle dans les programmes des bouts de chou. Toutefois ne vous méprenez
pas. Ces divertissements, outre leurs apports positifs, dissimuleraient également un autre intérêt, pour
le coup désastreux; l’initiation des enfants aux pouvoirs et idéologies occultes. Et ce, via des dessins
animés légendaires. Entre autres depuis les années 20 avec le règne de Mickey Mouse.
Un programme aujourd’hui décrié par plusieurs analystes chrétiens, certains attestant par ailleurs que
Mickey Mouse serait tout aussi satanique que le tristement célèbre Harry Potter.
Fort est de constater l’augmentation et l’outrance de la violence dans certains grands classiques
anciens et actuels. Sang, assassinats, complots, combats meurtriers, moqueries, idéologies de la beauté
et de la réussite, glorification du corps humain… etc. Tout un cocktail malsain, dénoncé par les
parents nostalgiques des bons vieux dessins animés des années 80 et par des chercheurs ou pseudos
analystes envahissant le web.
Les oeuvres pour enfants se sont modernisées au fil des années, s’adaptant à la culture et à la
société (B. Obama 1er président noir à la tête des USA et la princesse Afro-américaine voit le jour).
Cependant, ces programmes créent davantage l’étonnement et la confusion, par leur contenu, de moins
en moins destinés à un public en bas âge.
« Au lieu d'être des alternatives inoffensives et plus douces aux films d'horreur et aux drames,
les dessins animés pour enfants sont, en fait, un foyer de meurtre et de désordre », affirment
Ian Colman et James Kirkbride, dans un article relatant les résultats de la British Medical Journal
concernant la violence présente dans les animations pour enfants. Un article publié en 2014 et
intitulé « Les dessins animés, plus violents que les autres films ». Censés être vecteurs de
messages éducatifs et constructeurs, ils abrutissent plus qu’autre chose.
Ainsi, cette recherche alarmante démontra la montée de la violence et du meurtre. Soit un risque 2,5 fois plus élevé sur la mort des personnages principaux , qui ont d’ailleurs 3 fois plus de chance de « se faire tuer », comparé aux films destinés à un public plus âgé. Plus déroutants encore, les parents des héros ont cinq fois plus de chance de mourir.
« Pour réaliser cette étude, ils se sont appuyés sur des dessins animés à succès, de Blanche Neige et les sept nains (1937) à La Reine des neiges (2013). Ils ont ensuite comparé les morts des personnages principaux avec ceux des films pour adultes, qui sont sortis la même année et qui ont conquis le box-office. […] Certaines morts paraissent anodines dans les dessins animés. Pourtant, elles résultent d'une énorme violence: morts par balles dans Bambi, Pocahontas et Peter Pan, à l'arme blanche dans La Petite sirène et La Belle au bois dormant, ou encore attaques d'animaux dans Le Monde de Nemo et Tarzan.»
« La pire brutalité, c’est d’abandonner sa progéniture devant la télé »
Dr. Justin Lewis, journaliste, professeur des Media&Culture à l’Université de Cardiff et doyen de la recherche de l'Ordre des arts, des lettres et des sciences sociales, dénonce le pouvoir négatif que véhiculent les médias pour enfants, influant de manière dévastatrice leur imaginaire collectif et leur perception du monde. Par ailleurs, machisme, sexisme, domination et manipulation, attitude d’une grande majorité des personnages héroïques de dessins animés de grandes productions, Dysney, Pixar, Warner Bros…et chaînes pour enfants, sont par la suite déversés dans le psychisme des petits êtres à la fleur de l’âge.

« Il est établi qu’avant 7 ans, les enfants peuvent être traumatisés par des événements
qu’ils ont vus dans un film, même irréalistes ou impossibles, et développer par la suite des
stratégies d’évitement », dénonce l’article « Violence animée : les enfants exposés dès
le plus jeune âge? » publié sur Causeur.
Considérons à présent le taux élevé de violence dans les programmes pour enfants. Que devons-nous
en conclure? Les dessins animés seraient-ils la cause de multiples traumatismes chez l’enfant?
Une étude sur ce fait n’a pas encore été entreprise, cependant nous pouvons d’ores et déjà
déduire qu’ils ont un réel impact, à long terme. Une petite parenthèse, certains jeux vidéos
de combats, de guerre ou de courses en voiture ont bien entrainé des drames dans des foyers.
Lorsque que l’enfant, désorienté, décide de conduire une voiture, ou de se battre à arme réelle.
« Les cartoons de maintenant; vulgarité! […] le dessin animé pour enfants est mort. […]. Mais, chez les enfants, non seulement c'est marrant, mais à cause de leur naïveté, cela peut enclencher des catastrophes (tel celui au Texas à cause de Beavis&Butt-Head)] »
Ainsi voulant brouiller les pistes, existent à présent des dessins animés pour adultes. Ce
qui n’empêche en rien leur programmation sur des chaînes pour enfants. Pure hypocrisie.
« Prenons un dessin animé qui passe souvent: Sanjay&Craig.
Ce cartoon, relatant l'amitié entre Sanjay (un humain) et Craig (un serpent anthropomorphe).
Ici, la vulgarité en personne (prouts, fesses, vomis, crotte de nez, caca) est présente. Ce
dessin animé est mauvais […]. Cela m'arrange qu'il passe sur une chaîne adulte mais, sur une
chaîne pour les enfants... (et donc, vous avez compris pourquoi je n'ai pas parlé de South
Park et Les Simpson). » … Et American Dad au passage…
Bien que les dessins animés les plus populaires restent des productions américaines et
asiatiques, la France n’est guère innocente. Des parents dénoncent la manipulation de l’esprit
de certains divertissements bien connus.
« En ce qui concerne les dessins animés je fais attention à titre personnel de choisir
des dessins animés avec une histoire et des valeurs que j'apprécie et j'interdis à mes enfants
les lobotomisants du style "bob l'éponge" ou "les zinzins de l’espace" », publie une
internaute sur le forum Meljiss.
« Le dessin animé de maintenant est (probablement) bien mais, inapproprié pour les enfants.
Avant les dessins animés avaient de bonnes morales pour les enfants. Des bons anciens
dessins animés se sont arrêtés, ils auraient pu prendre la relève mais, non. », déplore un autre sur Forum.Fr.
L’initiation à la débauche, au satanisme via les messages subliminaux des dessins animés
Se rajoute à ce triste constat, l’apologie de la sorcellerie, du pouvoir de l’illusion, du mensonge, de la séduction et du sexe. Déjà très présente dans les grands classiques, tels que Cendrillon, Blanche Neige et bien d’autres. À noter, La petite Sirène, adulée par toutes les petites filles, serait en réalité une porte pour conduire les fillettes à l’adoration de l’esprit de la sirène des eaux, comme l’affirment plusieurs Ministres de Dieu dans le but de prévenir le peuple en Christ, des méfaits de ces oeuvres soi-disant fantaisistes et féeriques. Car elles envoutent bien plus qu’elles divertissent.

Différents sites se sont amusés à regrouper des images de scènes plutôt suggestives dans les mangas et dessins animés. Nous le savons, le trophée de la manipulation et de la promotion de la sorcellerie est remise à Disney, grand diffuseur de messages subliminaux. Néanmoins, ne sous-estimons point les mangas. La Palme d’or leur revient. Fort nombreuses sont les productions asiatiques, adulées par les tous petits véhiculant pourtant des messages purement sataniques. Familiarisant les jeunes spectateurs aux démons animés, aux pouvoirs occultes, des arts martiaux, de la magie… et cela depuis des lustres. Un simple exemple, Pokémon (Attrapez-les tous). Ce phénomène des années 2000, qui ressurgit actuellement sous une forme plus réaliste, conduit le monde dans une grande distraction. Créant le chaos dans les rues. Sans oublier, le sexe. Subtilement glissé dans les oeuvres pour enfants dites occidentales, il est plus explicite dans les Mangas, univers asiatique. Certaines images parlent d’elles-mêmes. Et que dire des images subjectives dans les grandes productions américaines ? Entre représentation d’un pénis sur le château de Disney, image d’une femme nue dans une scène de Bernard et Bianca ou encore, le mot Sex écrit par des milliers d’étoiles scintillantes dans Le Roi Lion… Interprétation ou réel message de perversion, il en est que les résultats de leurs oeuvres sont bien distincts.
L’on compte en nombre les jeunes tombant dans les filets de la perte de l’innocence avant
l’heure, de la pornographie, de la violence et de l’alcoolisme. Il n’est bien entendu pas
démontré que ces programmes en seraient la cause directe mais nous pouvons à présent penser
qu’ils en sont les facteurs.
Nous savons que le monde de l’enfance et de la jeunesse est la cible première de l’ennemi.
Utilisant tous supports médiatiques pour inculquer des idéologies anti-christs, incitant les
jeunes gens à la rébellion, la désobéissance envers leurs parents, envers Dieu. Tout cela de
manière fun et divertissante.
Toutefois, notre Dieu n’est point injuste, les protagonistes de ces oeuvres d’inspirations
diaboliques recevront leur salaire et leur jugement. L’égarement des jeunes enfants au travers
de la télé ne restera pas impuni. Ne l’oublions pas. À chaque génération, Dieu se réserve des
serviteurs pour rétablir son ordre et sa vérité. Et délivrer les âmes captives dès l’enfance
des griffes du mal.
« Et quiconque reçoit en mon nom un petit enfant comme celui-ci, me reçoit moi-même. Mais,
si quelqu'un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui
qu'on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu'on le jetât au fond de la mer. » [Matthieu 18 v.5].
Des voies minoritaires se lèvent et défendent l’idée que ces programmes disposent les
enfants à affronter la réalité de ce monde. Affronter? Ou hélas, les intègre au système de
ce monde, ses valeurs et ses vices? Car, les médias dits pour enfants sont les premiers
« pourvoyeurs de culture », en d’autres termes, ils façonnent leur devenir et leur
environnement. Il est donc impératif de prêter attention et veiller sur ce que nos enfants
regardent, assimilent et à ce qu’ils s’identifient. « Et vous, pères, n'irritez pas vos
enfants, mais élevez-les en les corrigeant et en les instruisant selon le Seigneur. » [Éphésiens 6 v. 4]
Ainsi, incitons à notre tour nos enfants à s’identifier en la personne de Jésus-Christ,
seul héros véritable de tous les temps.
Pourtant toujours incompris par un grand nombre, Il poursuit sa route, visitant les
chemins et foyers pour se révéler aux opprimés, de manière spectaculaire, ou à contrario,
dans l’anonymat total. Petit clin d’oeil. Pour accepter l’idée qu’un tel homme existe,
Marvel créa Superman. Un dieu parmi les hommes, portant
pourtant les caractéristiques du Christ. Mais bien entendu n’égalant en rien sa suprématie,
son histoire et la raison de sa venue sur terre.
La Rédaction
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