La puce électronique, marque de la bête?

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Une exhortation écrite par Yannick NILA

Les dernières heures sont à notre porte. Et c’est si affolant. Si vous lisez attentivement le chapitre 13 de l’Apocalypse, vous comprendrez certainement le monde qui nous entoure à l’heure actuelle. Et le danger qui plane sur ceux dont le nom n’a point été inscrit dans le livre de vie de l’agneau de Dieu, dès la fondation du monde.

Un peu flou tout ça? Que celui qui a des yeux puisse voir ! Et de la sagesse, puisse comprendre ! L’Eglise ne cesse de s’alarmer sur les nouvelles inventions et technologies qui voient le jour. Au fil du temps, la science nous embrigade dans un système de pensée, qu’elle prend soin de distiller dans la conscience collective de notre société.
Les séries télévisées nous en illustrent une grande majorité. Les robots, les puces électroniques, les médias, les smartphones, etc. La série par excellence, Black Mirror qui analyse les effets de ces nouvelles technologies sur l’humanité. Des effets pour les moins catastrophiques. Hé bien, en réalité, ces nouvelles inventions se sont déjà infiltrées parmi nous. Réjouissant certains et affolant d’autres.

La puce électronique s’installe

Prenons la problématique de la puce électronique qui suscite depuis plusieurs années de nombreuses divergences. Présentée comme un atout scientifique, elle est pourtant dénoncée comme un contrôle exclusif des personnes, par diverses associations, chrétiennes ou non. Sans oublier la Bible qui la dépeint implicitement comme la marque de la bête. En effet, le livre saint nous précise que cette marque sera reçue sur la main ou sur le front; voire selon certaines traductions, dans la main ou dans le front; nous distinguons la puce sous-cutanée, implantée dans la main et la puce cérébrale, implantée au niveau du cerveau. De plus, elle sera le ticket pour chacun, d’acheter et de vendre. Or nous ne sommes pas sans savoir que l’ambition des entreprises à l’origine de ces puces, est en premier lieu financière. Celles-ci tendant vers un monde sans argent cash, où la monnaie unique ne serait plus que virtuelle. De ce fait, qui n’a pas la puce ne pourra ni acheter ni vendre.
Le monde viendra à adorer cette bête aux prodiges époustouflants. Mais il n’est là encore qu’ignorance humaine.

Nous vous alertons alors, chers lecteurs, après une nouvelle actualité assez déroutante.
L’Express nous rapporte qu’une société belge, du nom de Newfusion, basée à Malines, vient d’implanter sous la peau de huit de ses salariés, une puce électronique. Pour ces salariés volontaires, l’implant vient remplacer les badges, en renfermant leurs données personnelles. Son coût s’élève à 100 euros.

Presque imperceptible, la puce leur a été intégrée entre le pouce et l’index. Grâce à elle, ils passent les portiques de l’entrée, déverrouillent leurs ordinateurs ou encore payent leur repas à la cantine. Tout cela d’un simple mouvement de la main. Faites-vous le lien?
La société défend son intention. “L’idée a germé après que plusieurs employés ont perdu leurs badges”, explique Tim Pauwels, l’un des dirigeants.

Une porte ouverte au contrôle

Est-ce peu convenant de parler d’espionnage? En tout cas, pas pour la ligue des Droits de l’Homme. “C’est un réel danger. On flique dorénavant les employés au plus profond de leur chair. C’est un outil de contrôle total”, s’inquiète Alexis Deswaef, président de la ligue. “On peut savoir à quelle heure l’employé a commencé son service, quand celui-ci a pris sa pause cigarette. On analysera ensuite s’il est assez productif? Que fera-t-on de cette collecte de données? Dans le futur, braderons-nous un peu plus nos droits à la vie privée pour plus de sécurité ou de confort?”, poursuit-il.

Comme nous, M. Deswaef, n’exclut pas la volonté des initiateurs de cette puce, de franchir les limites de l’éthique, de la vie privée des citoyens, et que savons-nous encore? Et cela inquiète, lorsqu’on apprend que d’autres entreprises avant, ont déjà opté pour cette technologie, défendant, bien évidemment, les intérêts de l’entreprise. Le Suédois Epicenter, en 2015 et le Français Sanofi, avec des puces géo localisatrices éclipsées sur les badges.

Aujourd’hui, le numérique s’est largement installé dans notre société, devenant indispensable dans la vie de la majorité. Nous vivons avec les codes-barre, les cartes bleues en paiement sans contact, les paiements et transactions par voie électronique, les passeports biométriques, les passes Navigo, les smartphones plus perfectionnant les uns que les autres, etc. Tout est donné pour nous épier.
Et le contexte est d’autant plus alarmant qu’en plus de menacer nos libertés et droits, ces puces peuvent s’attaquer à la santé du porteur, pouvant être cancérigènes. Sans oublier la menace spirituelle qu’elles incarnent.

En connaissance du danger, d’un point de vue tant médical, humain que biblique, la question de M. Deswaef nous amène à la nôtre: préférerions-nous vendre notre âme au diable, perdre notre liberté, nous livrer à ce système financier, économique et commercial dominant, à son maître, mourir en esclave décérébré, ou au contraire résister, vivre selon les principes chers de notre Dieu et nous battre afin de quitter cette terre en étant libres, conscients et en paix en Jésus-Christ?

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La Rédaction

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