Pendant qu'il se dirige vers l'urne, un octogénaire perd brusquement la vie

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Une exhortation écrite par Yannick NILA

Un choix si décisif, d'une importance capitale pour l'avenir de notre belle France. Une responsabilité lourde, qui réside sur les épaules de chaque citoyen Français. Des citoyens de toutes origines, classes sociales, confessions et âges confondus. S'étant rendus aux urnes de leurs communes, pour le changement de l'histoire politique, de l'histoire de la France. Un tournant historique entre plusieurs candidats plus ou moins farouches et combattifs, aux programmes électoraux assez prometteurs ou presque. Des temps d’élection, vécus avec beaucoup d'entrain, d'émois et de discorde absolus. En ce qui concerne le meilleur élément à mettre à la tête de notre nation. Qui aurait cru que ces enjeux si cruciaux, échauffant de nombreuses âmes, conduiraient ou du moins pousseraient un octogénaire vers sa dernière demeure. A l'instant le plus important de la procédure du vote. C’est-à-dire, à l'heure de glisser son choix dans la fameuse urne. Quelle ironie du sort.

Les faits se sont déroulés dans les Pyrénées-orientales, au bureau de vote de Font-Romeu, nous rapporte le Figaro. Agé de 87 ans, l'octogénaire vint ce dimanche dernier, faire son devoir de citoyen, en ce premier tour d'élection présidentielle. Cependant, le sort, la malchance, le destin, ou simplement Dieu notre créateur, ne permit pas un mouvement de plus au vieil homme. Il fut pris d'une crise cardiaque au moment de glisser son enveloppement et s'effondra. Un triste malaise qui interrompit sa procédure et stoppa la comptabilisation de son vote.
Malgré l'intervention rapide des urgences, l'octogénaire n'a pu être sauvé, par le SAMU ni les Sapeurs-pompiers.

« Pour tout il y a un temps fixé, oui un temps pour toute affaire sous les cieux: un temps pour la naissance et un temps pour mourir» [Ecclésiaste 3 v.1-2]

Nous ne connaissons ni l'heure, ni le jour, encore moins le mois et l'année du retour de notre corps notre dans la poussière. Faut-il encore que ce retour nous garantisse le Salut vers le Père Céleste, à l'origine de notre existence. En effet, réside dans cette enveloppe charnelle, un esprit, une âme qui demeure éternelle. Si notre corps prend bel et bien fin dans la nature, notre âme a une tout autre destinée. Ainsi, il est important de notre vivant de veiller sur nos pas, nos voies empruntées au cours de notre existence. Car celles-ci prises sans discernement, nous emmènent bien loin de la volonté de notre créateur et du bonheur qu'il accorde à toute sa créature. Sur terre premièrement, et dans son éternité. Car le salut de nos âmes réside en l'acceptation de la personne du Christ dans nos vies. Lui, le seul accès qui mène à la rencontre du Père Eternel [Jean 14 v.23].

« Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement, de même Christ, qui s'est offert une seule fois pour porter les péchés de plusieurs, apparaîtra sans péché une seconde fois à ceux qui l'attendent pour leur salut.» [Hébreu 9 v.27-28]

Ignorants de notre lendemain, assurons-nous présentement de mourir entre de bonnes mains. Sans Dieu, l'Homme n'est rien, son âme condamnée à jamais dans la géhenne.
La mort cherche inlassablement à précipiter la fin de ses proies. Le commencement et la fin de toute chose, Lui, nous accorde le souffle, puis le reprend en son temps. Sachons que nos jours sont comptés, confions notre avenir et celui de nos familles entre les mains de l’Eternel; afin de nous garantir une vie pleine de grâce, malgré les persécutions et les temps difficiles. En plus du Salut et de la réjouissance éternelle dans la nouvelle demeure des rachetés en Christ.

Wissa Kololo

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