Il était une fois, sur la belle planète bleue, un homme et une femme.
“Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre,[…]” [Genèse 1:27-28].
Depuis le commencement, Dieu a tout prévu: Il classifie sa création en deux
catégories de vivants, les mâles et les femelles. De l’humain à l’animal, en passant
par les plantes, tout est ordonné dans ces deux types de genres afin de permettre la
reproduction de toute espèce.
Cependant, avec la modernisation, plus rien n’est comme jadis. Sur la planète bleue,
les hommes s’unissent avec d’autres hommes, et vice versa. Cette “crise” identitaire
ne s’arrête pas là, elle va plus loin: en effet, le progrès technologique permet
qu’aujourd’hui l’on puisse choisir de changer son sexe, ce fameux phénomène que l’on
appelle communément “transsexualité”.
Bien qu’il fut déjà difficile aux puritaines de supporter le mariage entre les personnes
de même appartenance sexuelle, l’excès atteint son paroxysme quand, dans plusieurs pays
du monde libre, ce légendaire groupe LGBT (Lesbienne—Gay-Bissexuel-Trans) reçoit
l’approbation d’adopter des enfants. La scission est déclarée! Au milieu des protestations
des deux camps, les enfants désemparés se retrouvent mêlés à un phénomène qu’ils ne
comprennent pas et prennent partie.
A l’instar des parents, les gouvernements vont droit au but et décident de modifier
l’enseignement apporté aux enfants. En effet, les lobbys catholiques et évangéliques,
partout dans le monde, se plaignent que dans les écoles est enseigné ce que l’on qualifie
de “théorie du genre ”.
Cette idée, paraît-il, prône une sexualité neutre, c’est-à-dire sans distinction de
genre masculin ou féminin. L’on peut choisir d’être soit l’un ou soit l’autre, il n’y a
pas de différence.
Les réactions sont immédiates: un tollé de rage et de désapprobation des croyants,
confessions confondues, car cela va à l’encontre de ce qui est considéré comme étant ordinaire depuis la nuit des temps.
Dernière réaction en date, celle du pape François. Le souverain pontife accuse l’Etat
français, après qu’un parent lui ait rapporté que son fils désirait devenir une fille,
d’intégrer cette théorie dans les manuels scolaires. Le gouvernement, en la personne du
ministre de l’Education, s’en est défendu en affirmant que ces propos étaient »légers"
et “infondés”. De la même manière, plusieurs argumentent et nous informent qu’en
réalité, la théorie du genre n’existe pas, mais c’est plutôt “le concept de genre” qui est abordé.
“Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine; mais, ayant la démangeaison d'entendre des choses agréables, ils se donneront une foule de docteurs selon leurs propres désirs” [2 Timothée 4:3]
Le “concept” de genre, Quid ?
Le concept de genre est un outil d’analyse, dit-on. Il permet aux chercheurs d’étudier divers phénomènes sociaux, et à tout le monde de mieux comprendre l’articulation des identités d’homme et de femme. Le concept de genre permet par exemple d’étudier les comportements individuels ou collectifs et des expressions culturelles qui ne sont pas imputables au sexe biologique. Ces études ont été menées pendant les années 1960/1970 aux États-Unis. Leur but ? Démontrer que le “genre” se distingue du sexe biologique, que tout comportement catégorisé ne s’associe en rien à une appartenance sexuelle (homme ou femme).
Force est de constater le caractère aberrant de cette réflexion! N’est-ce-pas la catégorie
sexuelle qui détermine le genre lui-même ? On ne peut être un genre sans être avant tout un homme ou une femme !
Allons dans le sens des scientifiques : le concept de genre se dissocie de l’appartenance
sexuelle. Par conséquent, cela maintiendrait que tout choix sexuel ne serait en rien un trouble,
mais plutôt un fait ordinaire de la nature. Cette idée conforte donc l’homosexualité et toutes
les autres tendances qui lui sont liées. Une abomination !
Le fait de réfuter le terme “théorie” n’est bel et bien qu’une forme de fuite car
l’admettre stipulerait ouvertement que le genre n’existe pas. Tout est forgé
afin d'affranchir l'identité sexuelle du sexe biologique. Au commencement de tout est la neutralité,
de ce fait, on peut choisir qui l’on veut devenir: soit un homme, soit une femme.
Ce stratagème du diable est remarquable ! Nous voilà donc dans une société où changer de sexe
n’est plus un tabou, c’est un fait retentissant dans les médias: souvenez-vous de la transformation
de Bruce Jenner, le beau-père Kardashian, en Caitlyn. Mieux encore, les “trans-genre” sont
loués pour leur courage et leur détermination, pas étonnant que leur nombre ne fasse qu’augmenter.
Le bas blesse encore plus. En effet, aujourd’hui, les enfants, incapables de mesurer le poids de leur
choix et la gravité de leur geste, peuvent décider de leur préférence sexuelle très tôt.
Le Christian Post nous relate deux cas hors du commun: deux enfants, un petit garçon australien
de quatre ans et une petite fille norvégienne de six ans ont officiellement changé leur appartenance
sexuelle, et cela après que leur demande ait été validée dans leur pays respectif.
Voici comment la génération future du monde est détruite dès le berceau. L’ennemi veut s’assurer que
le monde sombre totalement dans la décadence des moeurs et coutumes, et que l’abomination batte son plein.
Heureusement qu’il y a encore des personnes droites et dignes qui s’élèvent contre ce genre de pratique à l’image de Jason Benham. Notre protagoniste est d’une part, l’un des chefs (avec son frère jumeau) d’un empire financier regroupant plusieurs entreprises spécialisées dans l’immobilier, et d’autre part, un Serviteur du Seigneur aux Etats-Unis. Dernièrement, il s’est insurgé contre une vidéo trans-genre en ligne enseignant aux enfants “qu’il y a certaines personnes qui ne sont nées ni garçons ni filles”. Il réfute ces allégations dont l’objectif est “de laver les cerveaux de nos enfants” et recommande à tous les responsables spirituels, pasteurs et autres, de communiquer de ce fait avec leurs fidèles. Car, cette idéologie apprend aux enfants en fin de compte que ce n’est pas Dieu qui définit le genre et donc la sexualité, c’est l’Homme lui-même. De ce fait, en quoi nous servirait-il de croire qu’Il existe.
“Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre; Et quand il sera vieux, il ne s'en détournera pas.” [Proverbes 22:6]
Notre devoir, en tant que disciple de Christ est de rétablir la vérité et cette dernière se retrouve dans Sa Parole, la Bible. Dieu est le Créateur de toutes choses et Il a établi un mâle et une femelle dans chaque espèce vivante. Nous nous devons de le marteler à chaque instant afin de détruire l’effet dévastateur de ce “concept” dans nos familles et dans notre entourage. Puis, devons “prendre garde que personne ne fasse de nous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s’appuyant sur la tradition des hommes, sur les principes élémentaires du monde, et non sur Christ.”[Colossiens 2:8]
La Rédaction
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