Une exhortation écrite par Yannick NILA

Alors qu’il surfait sur Facebook, un citoyen du Pays de Galles découvre que sa tendre épouse venait de se marier secrètement à son amant.

Sous le choc, Elliott Everard, vendeur, âgé de 38 ans, découvre plusieurs photos de la cérémonie publiées sur Facebook. Sur ces images on peut distinguer l’épouse vêtue d’une robe de mariée. Mais selon la concernée, Lisa Everard, aide-soignante, âgé de 35 ans, elle était demoiselle d’honneur au mariage d’une amie. Le doute éveillé, Mr. Everard souhaitait en avoir le coeur net. Il entreprit alors de vérifier le registre de la municipalité. Une quête payante, puisque le malheureux vit ses soupçons confirmés en découvrant que son épouse s’était bel et bien unie secrètement et illégalement depuis juillet à son amant. Elle qui pourtant avait déjà essuyé deux divorces dans le passé.
Bouleversé par cette nouvelle choquante, Elliott, ulcéré, victime de cette infidélité, porta plainte contre son épouse. Le cocu a eu l’impression que le ciel lui tombait sur la tête, comme l’a rapporté son avocat au Daily Telegraph.

Après l’étude de ce cas pour le moins commun, le tribunal de Cardiff reconnut Lise Everard coupable de tromperie et d’égoïsme envers son conjoint, et l’a condamné à 150 heures de travaux d’intérêt général. Le monde suit les traces bibliques, qui réprimandent de manière ferme l’adultère et l’infidélité.
“Si un homme commet un adultère avec une femme mariée, s'il commet un adultère avec la femme de son prochain, l'homme et la femme adultères seront punis de mort.” [Lévitique 20 v.10]. Par-là, l’Ancien Testament stipule clairement une châtiment physique, le plus connu, par lapidation à mort. L’infidélité étant détestable aux yeux de Dieu, allant même à nous séparer de lui.

Le mariage reste l’institution sacrée établie par le Seigneur. Un cadre qu’il chérit au plus au point. “Que le mariage soit honoré de tous, et le lit conjugal exempt de souillure, car Dieu jugera les impudiques et les adultères.” [Hébreux 13 v.4]
L’infidélité demeure alors intolérable à ses yeux, et passible de jugement; Car, il y a là, rupture de voeu solennel devant Dieu. Un péché allant même à autoriser le divorce [Matthieu 19 v.9].
Disons qu’Elliott Everard est dans son bon droit face à son ex-femme bigame, mère de quatre enfants donc deux avec Elliott et deux de son précédent mariage. Un triste dénouement pour cette femme qui fut contrainte de quitter le domicile conjugal pour vivre chez son nouvel époux dans un logement social.

Certes le divorce s’avère permis en cas d’adultère, mais n’oublions pas, chers lecteurs, que Christ est pardon, mais sous réserve d’une réelle repentance. A cette femme adultère il dit : “Femme, où sont ceux qui t’accusaient ? Personne ne t’a-t-il condamnée ? […] Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus: va, et ne pèche plus.” [Jean 8 v.10-11].
Ce, après avoir lancé aux accusateurs : “Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle” [v.7]. Ceux-ci ont déguerpi.
A nouveau nous insistons, sous réserve d’un réel repenti ! Car qui demande sincèrement pardon l’obtient favorablement. A ce titre, ne jugeons point [Matthieu 7 v.1].

“Car tu es bon, Seigneur, tu pardonnes, Tu es plein d'amour pour tous ceux qui t’invoquent.” [Psaumes 86 v.5].

La Rédaction

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