Une exhortation écrite par Yannick NILA

Une avancée extraordinaire pour la science et la santé. En effet l’université Berkeley située en Californie créé des émois et un élan d’espérance dans l’univers de la science et de la technologie. “Je pense que les perspectives à long terme pour ce dispositif ne concernent pas seulement les nerfs et le cerveau, mais également d'autres organes. Surveiller à distance certains paramètres biologiques n'était pas possible jusqu'à maintenant car on ne disposait pas d'interface miniature. Désormais, nous avons ce capteur de la taille d'un grain de sable, que l'on peut implanter près d'un nerf, d'un organe ou d'un muscle, et obtenir des données en retour”, se félicite un des deux protagonistes de l'étude, Michel Maharbiz, qui est aussi professeur en génie électrique. Une information rapportée par Le Figaro.

A été conçu dans les locaux de leur établissement californien un capteur sans cable, nouvelle génération. D’une taille se rapprochant d’un grain sable, celui-ci peut être implanté dans l’Homme afin “d’enregistrer et de transmettre l'activité des neurones en temps réel grâce aux ultrasons.”
Cette invention se caractérise par ce tube en crystal, piézoélectrique. “Les matériaux piézoélectriques présentent l'avantage de fonctionner sans batterie, puisqu'ils sont, par nature, porteurs de charges électriques mobiles”, explique Nicolas Chaban, non-membre de l’équipe universitaire américaine mais ingénieur de recherche dans l’entreprise française Piezotech. En effet, d’une longueur d’un millimètre, ce mini-tube contient dans son sein un circuit électronique classique. En cela, ce capteur a la particularité de transformer une énergie mécanique en électrique et vice-versa. “Des ultrasons sont émis par un système externe, comme lorsqu'on réalise une échographie. Ces ondes sonores vont alors se réfléchir sur la partie sollicitée: un muscle ou un nerf. Le capteur va ensuite recueillir les ondes avant de les traduire en tension électrique, dont l'analyse fournit des informations sur l'état du corps.” Encore en voie de développement, les scientifiques de Berkeley envisagent de nombreuses améliorations du futur produit pour lui offrir davantage de possibilité. Et ainsi permettre un premier essai chez l’Homme dans deux ans.

En 2012 eut lieu une première expérience prodromique menée à l’Université de Pittsburg en Pennsylvanie. Par cette première recherche annonciatrice, une femme tétraplégique, sujet de leur expérience, réussit à se nourrir grâce à l’implant de deux capteurs qui envoyèrent des signaux déclenchés par sa pensée, pour faire agir un bras robotique. Une révolution.

L’évolution de la science et de la technologie peuvent-elles se faire sans Dieu ?

“Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. Dieu les bénit, et Dieu leur dit: Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez” [Génèse 1 v.27]. Malheureusement l’Homme, avec son orgueil démesuré et sa volonté de dominer, le conduisant à blasphémer son Créateur par des actes et paroles, oublia ou omit volontairement de considérer ce principe divin, pourtant à l’origine de toute civilisation. Ressemblant de près à notre créateur, il est tout naturel que l’Homme veuille utiliser tout son potentiel et ses facultés humaines, mais aussi spirituelles. Ayant anticipé et pourvu à nos besoins dès la genèse, nous utilisons des matériaux créés par la toute autorité du Père Créateur sur tout ce qui existe. De surcroît, il planta en tout Homme une part de sa nature divine, en lui donnant le pouvoir de réfléchir, de raisonner, d’entreprendre, d’organiser, de créer, etc. Caractéristiques purement divines. “En vérité, Dieu étant notre propriétaire, Il est aussi l’artiste de tout ce que nous sommes, Il est tout ce que nous ne sommes pas et que nous devons devenir. Nous devenons ses Projets, entretenus par ses soins [Jérémie 29]. Il vint Fournir, procurer, faire, constituer, produire, créer, fonder, être, tel que le livre de Luc 4 v.18 le révèle”, enseigna le frère Yannick NILA, fondateur d’Artistespress, dans une de ses prédications sur le thème Le propriétaire.

Cependant portant des coeurs enflés d’orgueil et mauvais par-dessus tout, tels que les versets Marc 7 v.21-22 et Jérémie 17 v.9 nous l’enseignent; la partie spirituelle, soit, n’intéresserait guère le monde de la science et de la technologie, ou, n’est utilisée qu’à mauvais escient.
Pourtant l’être humain composé du corps, de l’âme et de l’esprit ne peut être épanoui et opérationnel dans l’excellence de son Créateur, sans que tout ce qui le définit ne soit développé au préalable. Voici que des oeuvres censées être bonnes pour l’Homme s’avéreraient être néfastes au fil du temps. Quelle en est la raison ?
Le site Organisation pour la connaissance s’est étendu sur le sujet. Insistant sur ce fait, Dieu serait favorable au développement de la science et de la technologie, les protagonistes de cet enseignement évangélico-scientifique apportèrent leur définition de la science, de la technologie et de la spiritualité au regard de l’évangile.

La science est l’étude de la Création de DIEU. Elle permet de découvrir ce que DIEU a créé, comment cela fonctionne et les possibilités que l’Homme peut en tirer. Il peut mieux appréhender la richesse, la complexité et l’harmonie de la Création. La technologie est l’utilisation et la mise en œuvre de connaissances acquises par la science afin de créer de nouvelles choses. Elle permet par exemple à l’homme de créer des machines en vue de nouvelles activités ou pour se faciliter la vie. Elle peut aussi permettre de développer des traitements pour soigner les maux et maladies, ou encore des procédés pour fabriquer de nouveaux produits. DIEU demande à l’homme de vivre mieux sa vie. Si la technologie peut y contribuer, alors DIEU y est favorable.

C’est alors que la spiritualité entre en jeu. Dieu étant esprit il est tout naturel qu'il faut que ceux qui le cherchent, l’adorent, le réclament; le fasse en esprit et en toute vérité [Jean 4 v. 24]. “La spiritualité concerne tout ce qui touche à l’esprit, c’est-à-dire à l’essence même de l’homme. La spiritualité permet à l’homme de savoir qui il est, d’où il vient et où il va. La spiritualité permet à l’homme de comprendre le sens de sa vie et de ce qu’il fait. Si la science et la technologie sont développées sans la spiritualité, alors l’homme peut les utiliser de façon inappropriée, voire néfaste pour lui et le reste de la Création. Par exemple, la découverte du phénomène de la radioactivité a permis de développer la radiographie et rend de grands services en médecine. Mais cette découverte a aussi conduit l’homme à développer des armements nucléaires extrêmement dangereux et destructeurs”. Notons que cette même radioactivité génère des cellules cancérigènes, détruisant l’homme à petit feu dans notre quotidien. Le serpent qui se mord la queue.

Il va donc de soi que, se refuser à entrer dans la quête du mystère du Dieu Vivant en développant une relation spirituelle, une relation qu’il désira tant au point où il éleva son Fils et fit de lui un intermédiaire entre Lui et l’Homme, après qu’il eut donné pour mission de porter et effacer à la croix les péchés du monde; n’est point une erreur, ou une déconsidération. Mais une faute grave. Car par sa mort et sa résurrection et surtout par son sang - “Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu” [1 Corinthien 6 v. 20]; l’Homme détient, non seulement la clé de l’immortalité par le salut de nos âmes mais aussi le pouvoir de la guérison par la foi et la parole, le pouvoir de la connaissance absolue et pleins d’autres trésors à découvrir dans l’héritage que tous ceux morts et ressuscités avec lui possèdent, illico-presto. Ainsi user des matériaux, créés par le Divin, être spirituel, en omettant de l’inclure lors des recherches et expériences seraient vraisemblablement, une aberration. Cela s’image à un homme utilisant un outil, ou produit sans en connaitre le mode d’emploi. Il se trouve alors dans l’incapacité de mesurer les risques encourus en cas de mauvaises utilisations ou encore, de ne point connaitre toutes les richesses contenues dans ce qu’il possède entre ses mains. Un danger. Malheureusement l’humanité, innocente des oeuvres de scientifiques têtus et arrogants, récolte les fruits de leurs exactions.

L’homme peut ainsi devenir dépendant de la technologie et se trouver en grande difficulté quand celle-ci devient défaillante. Pour éviter de se trouver dans des situations difficiles, dangereuses ou non maîtrisées, il est essentiel que l’homme comprenne bien le sens de ce qu’il fait. Pour cela, il est impératif que l’homme développe aussi la spiritualité. Car c’est la spiritualité qui peut donner à l’homme les moyens de juger du bien-fondé et de la bonne orientation de ses actes.

Bien que la science tende à montrer des signaux de faiblesses, reconnaissant à demi-mot ses limites, avouant par certains de ses éminents chercheurs et leaders, l’existence d’un Dieu Créateur, Pourvoyeur et Concepteur, elle campe néanmoins et farouchement sur ses positions. S’obstinant à reconnaître et mettre en exergue ce qu’elle voit et ce qu’elle est en mesure d’envisager et de créer, dans la limite humaine. Il est ainsi du devoir de tout enfant du Seigneur, soumis à l’autorité de Dieu et indirectement dépendant de cette science humaine, d’intercéder pour que se révèle enfin dans cet univers complexe et essentiel, la nature divine du Christ. Par cela, sera-t-elle capable de juger ce qui est bon et mauvais ? Assurément. Encore mieux, les chercheurs profiteront d’une réserve illimitée en connaissances, en richesses et bénédictions. Uniquement disponibles en la personne de Jésus-Christ, pour l’évolution, l’épanouissement et la survie de l’humanité.

La Rédaction

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