Jonas fuit. Devant son appel et sa mission, la responsabilité était trop grande. Bien que le prophète
ne renonça à sa foi, il y en a pour qui, la foi en elle-même s’avère trop lourde à accepter.
Ce fut le cas de l’artiste Zach Williams.
Mais David, le psalmiste, lui-même le dit clairement : “où irais-je loin de ton esprit, Et où
fuirais-je loin de ta face ? Si je monte aux cieux, tu y es, Si je me couche au séjour des morts, t’y
voilà.” [Psaume 139 v.7-8].
En somme, comme l’histoire de Jonas même nous le prouve, il est impossible de fuir devant le Seigneur.
Et Zach Williams en témoigne aujourd’hui.
Aux origines
Nous sommes en Arkansas, Zach Williams, un jeune garçon, sans histoire, grandit auprès de ses
parents, tous deux chrétiens, servant fidèlement dans leur église locale. Le rythme ecclésiastique,
le jeune garçon en maîtrise les codes à la perfection. Est-ce cela l’origine de ses frayeurs ? Car
l’adolescence arrivée, Zach s’est peu à peu éloigné des valeurs que lui inculquèrent ses parents. Si
loin, qu’au lycée, il préféra goûter à la liberté juvénile. Bien que ses parents, n’aient cessé de
fléchir les genoux pour que revienne à Dieu, leur fils bien-aimé.
Comme quoi, le salut est bien personnel. La foi de ses parents, certes ferme, n’aura suffi au salut de l’âme du jeune Zach.
“Ne vous y trompez pas: les mauvaises compagnies corrompent les bonnes moeurs” [1 Corinthiens 15 v.33]
Zach Williams le reconnaît. Il commença à fréquenter des personnes qui vivaient aux antipodes
des valeurs divines. Se tournant alors vers la facilité contre les sacrifices et concessions
qu’impliquent la vie chrétienne, contre la charge qu’incombe la tâche des élus de Dieu. Vivre au
jour le jour sans qu’inquiéter des répercussions sur l’avenir. La liberté, quoi…
Mais voilà, très vite, Zach fut séduit par la drogue et l’alcool. Des choix qui malheureusement
ruinèrent ses rêves. Lui, qui désirait être basketteur professionnel, par ses addictions, tout
s’envola. Lorsqu’il se brisa la cheville, voir sa carrière définitivement réduite à néant, le
plongea davantage dans le trou noir de la drogue.
Il se tourna alors vers la musique.
A l’âge de 20 ans, loin de ses parents, après avoir abandonné l’école, divorcé de sa première
épouse, Zach se mit à la guitare. Le rock ’n’ roll devint pour lui, un exutoire. Pendant plus
de quatre ans, il évolua dans un groupe et vécut une vie de rockstar. Mais rien ne cessait
d’échouer autour de lui. Comme la majorité des humains, il remettait sans cesse la faute sur
quelqu’un d’autre, sans réellement reconnaître son problème. Tout était sa faute.

Le retour de l’enfant prodigue
2012. Zach Williams revint à Dieu. Une réjouissance certaine pour ses parents après plus
de 20 ans de prière et d’intercession. L’enfant prodigue, de retour de ce qui sera son
ultime tournée avec son groupe, dans un état profondément déchu, rencontra véritablement
Jésus-Christ et fut sauvé. Il n’en fallut pas longtemps pour qu’il sente ce vide en lui,
comblé par le Seigneur. Pour la première fois, il s’abandonna entre ses mains et ne recula
devant son appel. La frayeur laissa place au repos véritable, au soulagement, à l’amour du Christ.
Avec sa nouvelle épouse, à qui, il s’était uni, alors encore en pleine tournée, et leurs
enfants, Zach foula à nouveau le sol d’une église, son église en Arkansas. Pour son plus grand bonheur.
Aujourd’hui, serviteur affirmé, Zach, sans grande surprise, pose sa pierre à l’édifice
divin au moyen de la musique. Artiste contemporain, auteur-compositeur, leader de louange,
il vient de dévoiler, le 23 septembre dernier son tout nouvel EP intitulé “Chain Breaker”.
Un titre dans lequel il expose, de son timbre pop-rock, la vraie liberté dont il jouit en Christ.
Un témoignage, son témoignage, une bonne nouvelle remplie d’espoir et de grâce qu’il partage au monde.
Disponible sur Itunes, l’artiste nous régale également d’autres titres, “Old Church
Choir”, “Song of Deliverance”, “Revival” et “To the Table”.
Un bijou qu’il offre au grand public, via une tournée actuelle aux Etats-Unis, où l’artiste
parcourra l’Illinois, l’Iowa et le Texas.
La Rédaction
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