Nul n’aurait loupé aujourd’hui à quel point les récits bibliques sont de plus en plus inspirants pour
les scénarios hollywoodiens. Voyons “La Passion du Christ“, “Noé’, “Son of God”, “Exodus : Gods & Kings”,
“Risen”, “Last Days in the Desert” ou encore la série à succès “La Bible”.
En effet, Hollywood se plonge à nouveau dans les Saintes Ecritures pour exhumer des trésors. Et l’inspiration
ne tarit.
La Bible recèle de témoignages d’hommes et femmes, qui, depuis la création du monde, parcoururent montagnes
et vallées, déserts et prairies, expérimentant une histoire poignante avec Dieu. Avant, jusqu’à et bien
après la venue du Christ sur cette terre.
Une venue qui détermina même le calendrier que vous et moi, connaissons et suivons. Elle ne peut alors être
contestée d’aucune façon.
Il va donc de soi que l’on ne peut évoquer un récit biblique sans aborder le Christ. Car Jésus même nous le
dit : “en vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fut, je suis.” Ce qui prouve à nouveau,
qu’Il est avant toute création.
De même, la Bible déclare : “au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole
était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a
été fait n’a été fait sans elle.” [Jean 1 v.1-3]
Qu’y a-t-il à rajouter tant tout est dit et clair. Ceci étant, précisons tout de même que Christ est donc sa
Parole et qu’il est impossible de les dissocier, impossible d’en apprécier l’un sans l’autre, de croire à
l’un sans l’autre ou même d’aborder l’un sans l’autre.
Cependant, il ne fut pas rare de constater que parmi ces films suscités et bien d’autres, certains aspects
bibliques et véridiques furent écartés. D’autres s’éloignèrent même de la véracité des histoires racontées,
n’hésitant guère à les moduler, volontairement. Nous dirions, certainement comme l’apôtre Paul; “qu’importe?
De toute manière, que ce soit pour l’apparence, que ce soit sincèrement, Christ n’est pas moins annoncé.”
[Philippiens 1 v.18]. Certes !
Mais là encore, nous nous réjouirions si du moins Christ était mis en avant. Et malheureusement, ce n’est pas
toujours le cas.
Ce qui nous amène à notre sujet du jour.
Vous avez sûrement entendu parler ou même visionné au cinéma, entre amis, en famille, ou seul, le film
“Ben-Hur”. Sorti le 18 août 2016 au Brésil, pour la première fois, ce péplum américain réalisé
par Timur Bekmambetov et co-produit par Roma Downey [Sujet d’un de nos précédents articles, Ndlr], nous
plonge dans l’histoire de Judah Ben-Hur, un prince de Judée, du début du 1er siècle. Sautant le synopsis dans
ses détails, le prince Ben-Hur croisera, et ce, à différentes reprises, le chemin du Seigneur Jésus-Christ,
interprété à l’écran par l’acteur Rodrigo Santoro.
Une première fois, Ben-Hur rencontre le Seigneur qui lui donne à boire, alors que le prince, à ce moment prisonnier
et enchaîné, se dirige, encerclé de soldats romains, vers le port. A nouveau, sur le chemin de croix du Christ,
Ben-Hur tente de l’aider en voulant lui offrir de l’eau. Tentative échouée lorsque les soldats l’en empêchent
et le battent.
Mais une fois le Seigneur sur la croix, la pluie tombante fait déverser son sang jusque dans le cachot où se
trouvent prisonnières la mère et la soeur de notre héros. Et là, furent instantanément guéries de la lèpre,
par le sang de Jésus-Christ.
Des rencontres, en aucun cas dénuées de sens ou à négliger, jusqu’au miracle de la guérison.

Mais cela n’empêcha point certains pays, à l’instar de la Malaisie et la Chine de censurer volontairement
toutes les scènes montrant le Seigneur Jésus-Christ. Si bien, que le péplum, à l’origine, de 125 minutes, a
été raccourci de 11 minutes au total.
La raison : satisfaire la loi islamique voire bouddhiste. Pour les musulmans, ne considérant Jésus-Christ que
comme un simple prophète et non Dieu, il est intolérable qu’Il soit, à l’instar de Mahomet, représenté à l’écran.
De nombreux spectateurs, dernièrement en Chine, n’ont pas manqué d’exprimer leur regret. Rappelons que
“Ben-Hur” débarqua dans les salles chinoises le 10 octobre dernier.
“[…] c’est une histoire de foi. C’est parce que Judah Ben-Hur a fait une rencontre avec Jésus-Christ que
son coeur s’est ouvert. Là, au pied de la croix, nous voyons sa dureté s’évanouir”, déclarait Roma Downey.
Ce qui nous précise à quel point le rôle du Christ s’avère plus que majeur dans ce récit et dans tous les autres.
Il est alors d’une grande tristesse d’en priver ces peuples, qui ont plus que jamais besoin de l’Evangile
du Seigneur.
Savoir que son sang guérit et libère [Apocalypse 12 v.11], connaître qu’il offrit sa vie à la croix
pour chacun de nous, découvrir son infinie bonté et son Amour, pour l’Homme, pourtant ingrat, meurtrier,
haineux. Ainsi, ces scènes, malheureusement amputées, révèlent pourtant à chaque spectateur, les merveilles
du Seigneur Jésus-Christ.
Face à ce “boycottage“, l’Observateur chrétien, qui rapporte l’information, lance alors un appel à
la prière pour ces administrations et médias ignorants, afin que l’Evangile ne perde une occasion de pénétrer
ces populations, aux confins de la terre.
Les obstacles à l’évangélisation sont certes persistants, mais aucun effort n’est à relâcher.
Soyons fortifiés par cette parole : “Mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé. Cette
bonne nouvelle du royaume sera prêtée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations.”
La Rédaction
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