Un récit relaté par Yannick NILA & Rany KUTENDA

Béatrice Cabarrou, une actrice de 52 ans, naquit le 19 décembre 1964 à Brest, en France. Jadis, idole des jeunes en quête de repères et reconnaissance, elle fut convoitée par un grand nombre, en vue de sa plastique dite de « rêve ». Enchaînant des petits rôles, Béatrice Cabarrou, devenue Dalle suite à son union avec le peintre Jean-François Dalle, fut propulsée au sommet de sa notoriété.

Récemment, nous la retrouvions invitée de l’émission « Le Divan », diffusée sur France 3 et présentée par Marc-Olivier Fogiel. Face à ses invités, par un dialogue argumenté de questions, l’animateur dresse leur portrait psychologique tout en instaurant un climat propice à la confiance. Parfaitement à l’aise, Béatrice Dalle, s’est donc prêtée au jeu et conférée sur ses expérimentations très abracadabrantes. Chaque téléspectateur apprit d’ailleurs avec effroi, que l’actrice, durant sa jeunesse, accompagnée de ses amis, s’introduisait dans les morgues afin d’échancrer des parties de cadavres, pour les revendre. Un moyen, pour elle, de joindre les deux bouts, dit-elle. « C'est le seul travail que j'ai trouvé à ce moment-là. On ne va quand même pas me le reprocher ».

Elle poursuit. Embarquée dans cette affreuse aventure, la jeune Béatrice et ses amis, après avoir consommé de l’acide se retrouvèrent un jour, à se nourrir de quelques morceaux de cadavre. « On a goûté, c'était de l'oreille (rires), ho la la c'était pas grave. De toute façon le mec il n'est pas venu se plaindre, il savait même pas que j'ai mangé ses oreilles (éclat de rires) ».

Déconcertant, nous diriez-vous ! C’est tout de même d’une attitude totalement désinvolte que l’actrice expose les faits ! Avec le sourire, elle décrit cette folle expérience. Sa nonchalance et son audace laissent penser qu’aujourd’hui encore, elle ne mesure pas la gravité de ses actes.
Quel avis apporter à ces aveux non glorieux ?
Une chose est sûre, l’acte que commis Béatrice Dalle, sous l’effet, certes de substances illicites, est, sans débat, une abomination, dévoilant le degré impensable de la folie et l’atrocité humaine. Les soucis financiers ne sauraient même le défendre. Tant le cannibalisme que le trafic de corps humains.

Cela n'est plus un doute, il est bel et bien évident que ce monde tourne à la dérive. Similaire au temps de Sodome et Gomorrhe, où la perversité et le péché régnaient à flot.
Ce qui nous rappelle notre mission. Répandre la lumière et la saveur divine dans ce monde.
La Bible ne nous dit-elle pas que « nous sommes le sel de la terre » et « la lumière du monde » [Matthieu 5 : 13-14]. Nous devons ainsi nous atteler à répandre la lumière et la saveur divine dans ce monde. Que cette perdition n’emporte guère une multitude d’âmes. Une mission, non loin de tout repos, frôlant parfois d’immenses difficultés, mais bien possible.

Nous ne pouvions, en tant qu’enfant de la lumière, rester de marbre devant cette déclaration provenant d’une personnalité publique, tant cela nous rappelle le chaos dans lequel est plongé ce monde, si loin du Seigneur Jésus-Christ. Prions sans cesse pour ces âmes en perdition…

La Rédaction

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