Une exhortation écrite par Yannick NILA

Il est vrai qu’un bonheur intense vient rapidement effacer les années de dur labeur, et de souffrance. Prenons le cas de l’infertilité, ce sujet tristement populaire mais fort délicat, et dont la délivrance ne fait qu’émouvoir de nombreux couples en attente d’un enfant, par la foi, et ce, même lorsque la santé de la mère s’oppose la conception.
Nous sommes certains qu’une majorité d’entre vous, chers lecteurs, ne restèrent indifférents à notre article tout comme notre interview de la servante Sylvie Gaunet, qui avec son époux ont vaincu la stérilité et connurent le miracle de l’enfantement après 8 ans et 5 mois d’attente.

« Voici, des fils sont un héritage de l'Eternel, Le fruit des entrailles est une récompense » [Psaume 127 v.3 ]

Le cas qui suit s’avère encore plus glorieux. Certes, fort est de constater qu’aucune femme sur terre n’égala la patience, assez douloureuse, de l’épouse d’Abraham, père de la foi, Sarah. Qui campa dans l’attente de la promesse de Dieu, celle de la naissance d’un fils. Une promesse qui se réalisa... dans sa vieillesse. Son époux avait alors 100 ans.
Cependant semble-t-il que Dieu soit beaucoup plus tendre avec les Hommes de ce siècle, pour manifester sa toute puissance. Malgré leur réticence pour la foi et la personne même de Dieu.

Nous vous parlons d’un énième couple, qui après une dizaine d’années vécut le miracle de l’enfantement. Ce beau témoignage dénote particulièrement la manifestation de la main généreuse et gracieuse de l’Eternel. Les faits sont les suivants.
Un couple d’origine Africaine, émigré en Virginie, vécut ce que le corps médical de l’hôpital de Richmond, la capitale du Commonwealth en Virginie, aux État-Unis, qualifia de miracle.

« Je suis très excité par cette grossesse »

17 longues années de stérilité, de souffrance et de désespoir; une patience qui en valut la peine. Monsieur Adebayo et son épouse Ajibola Taiwo, eurent l’heureuse nouvelle en Janvier 2017, d’apprendre enfin la grossesse de Madame. Une grossesse à caractère exceptionnel. Car une question se pose, Dieu aurait-il eu marre d’entendre les cris de douleurs de ces enfants pour décider de les gaver de bénédictions? Bien que posée sur un ton de l’humour, cette question est légitime, car le couple voit ses années d’attente et de souffrances, effacées en un instant.

En effet, les nouveaux parents ont à la charge, non pas un ni deux mais six bébés. Des petits bouts, trois filles et trois garçons, nés entre 500 grammes et 1 kilogramme, d’après l’université VCU à Richmond.
Ces bébés-bénédictions sont en surveillance au service des prématurés, tandis que la mère put sortir de l’établissement le 18 mai dernier.
« J’espère que mes enfants grandiront normalement et pourront dire « J’étais si petit, regardez-moi maintenant ! », qu’ils viendront étudier dans cette incroyable université pour aider des familles comme la nôtre ».
Une naissance miraculeuse qui réjouit le centre hospitalier. Il est certain qu’un tel événement assoit la réputation d’un hôpital et de son université, en plus de le mettre en lumière.

« Ta femme est comme une vigne féconde Dans l'intérieur de ta maison; Tes fils sont comme des plants d'olivier, Autour de ta table. C'est ainsi qu'est béni L'homme qui craint l'Eternel. » [Psaume 128 v.3-4]

Nombreuses sont les familles, de par le monde, de toute origine et confession, qui vivent le miracle de la fertilité. Ainsi Dieu juste juge, récompense-t-il la ferveur de ceux qui lui sont agréables? En effet, la parole nous dit que l’Eternel accorde le soleil aux bons comme aux méchants [Matthieu 5 v.45]. Ses grâces pour l’humanité sont illimitées, lui qui ira jusqu’à sacrifier son seul fils afin de la racheter des griffes du diable. De ce fait, aucun homme n’est exempt ni privé de la miséricorde de Dieu. Afin que tous soient témoins de sa gloire et reviennent à lui.

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Wissa KOLOLO

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