Yuka, la nouvelle application mobile alimentaire qui nous veut du bien !

Avez-vous entendu parler de Yuka ? Cette application mobile révolutionnant notre quotidien alimentaire. Elle a pour but de prévenir les consommateurs contre tous produits dont l’impact sur la santé serait bon ou mauvais. Il s’agit du projet de trois jeunes startupers, travaillant en toute indépendance. Julie 30 ans, spécialiste du digital, Benoit Martin, diplômé d’une école de commerce, et son frère François Martin, développeur informatique. L’aventure est lancée en janvier 2016, lorsque les deux frères tombent sur un bouquin recensant les bons et mauvais produits pour la santé vendus en supermarché. Trouvant le principe génial, les deux frères décident de rendre plus accessible le principe de ce livre. Un an plus tard l’application voit le jour.

[…] on a créé Yuka pour aider les consommateurs à mieux manger et arrêter de se faire avoir par les industriels. Yuka c’est une démarche positive dans la mesure où chaque consommateur va grâce à l’application avoir tout l’éclairage nécessaire pour faire des choix de consommation qui correspondent au monde dans lequel il a envie de vivre.

En effet, il faut dire que les trois entrepreneurs créèrent leur entreprise dans un timing parfait. Leur firme surfe sur la tendance toujours plus grande des consommateurs, de plus en plus attentifs à ce qu’ils ingurgitent. Et très rapidement la société gagne en notoriété, leurs objectifs en terme de chiffres sont plus que prometteurs. Alors qu’elle visait l’inscription de 20 000 utilisateurs, Yuka en enregistre 1 000 000 en seulement un an. Sans surprise en effet, l’application enregistrerait 15 000 inscriptions par jour. Cette année 2018, elle compte 2 000 000 utilisateurs. Pour cause, si le concept plaît, le mode d’emploi est tout aussi attractif. Il vous suffit de télécharger l’application sur votre smartphone. Puis de scanner le produit souhaité. De là, une échelle de qualité se présente à vous, en vous signalant si le produit est Bon, Moyen, ou Médiocre. Plus encore, des données à propos de sa composition, la qualité nutritionnelle, la présence d’additifs dans le produit, et la dimension biologique du produit, sont présentées, comme l’explique Julie, co-fondatrice, au quotidien l’Express. Une note sur 100 est notifiée sur le produit. Ainsi, lorsque le produit désiré s’avère mauvais, l’application propose des produits similaires et bien meilleurs pour notre santé.

Actuellement c’est plus de la moitié d’un supermarché qui a des produits qui sont notés médiocres ou mauvais par Yuka.

Leurs ambitions premières, que les produits de demain vendus en grande surface, soient à 80% bons pour la santé. Il faut croire que l’objectif de cette démarche politico-alimentaire est sur le point d’être atteint. Car lorsque de nombreux consommateurs s’unissent pour ne plus acheter un produit, c’est l’industrie concernée qui se voit contrainte de proposer une nouvelle gamme de produits, meilleurs pour la santé. Et davantage, lorsque plusieurs consommateurs décident de se plaindre directement auprès des industriels.
Fort d’un succès florissant, la firme se développe et compte s’attaquer à l’univers du cosmétique en proposant cette fois, une application payante. Mieux encore, les trois entrepreneurs comptent instaurer leur propre label de qualité ! Les industriels n’auront qu’à bien se tenir !

Si je mange avec actions de grâces, pourquoi serais-je blâmé au sujet d'une chose dont je rends grâces? Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu. [1 Corinthien 10 v.30-31 La Bible]

L’alimentation des Hommes est d’une grande importance au regard de la Bible. Maintes fois, sont mentionnés des faits de la miséricorde de Dieu, venant nourrir son peuple. S’il y a bien eu des aliments à proscrire selon les demandes de Dieu dans l’Ancien Testament, le Nouveau Testament vint nous révéler son regard concernant notre jugement sur ce qui est bon ou pas. Ainsi, voulez-vous être sûrs de sortir indemne d’une industrie alimentaire corrompue, bio ou pas? Ce n’est pas une blague chers lecteurs, demandons à Dieu de nous orienter vers de bons aliments. Demandons sa sagesse concernant la préparation de nos plats et les produits que nous achetons. Et si nous sommes dans une situation qui nous oblige à être dépendants de certains industriels, la dernière solution s’avère la plus salvatrice ; prions avant de manger !

À en croire les écritures, ce n’est le désir de Dieu, de voir périr sa créature et toute sa création à cause de l’initiative d’Hommes remplis d’avidité. Bien qu’à ce jour les famines et autres troubles alimentaires frappent le monde, nul doute que ces troubles servent d’intérêts à des puissances que nous ignorons. Des puissances qui éteignent volontairement la charité des cœurs, et empêchent ou ralentissent le travail des bons samaritains bel et bien nombreux.
De ce fait chers lecteurs, quand le pilier de l’agroalimentaire s’avère être un outil de destruction massive, en privant certains d’aliments ou en surplombant d’autres avec des produits toxiques pour répondre à notre société de consommation ; Dieu suscite ses héros. Loin des politiques ou des grandes sphères du pouvoir parfois. Des hommes et femmes pour qui le bien-être de l’autre est une réelle préoccupation. Animé par une bonne volonté au départ, c’est l’intelligence que Dieu augmente dans l’esprit de l’Homme qui conduit tout projet à son développement, pour le bon-vivre et la prospérité de notre société.

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