Une exhortation écrite par Yannick NILA

Connu dans le milieu du football, il s’agit là d’un international français occupant le poste de milieu de terrain au Crystal Palace. Nous parlons bel et bien du populaire Yohan Cabaye.

Focus sur son parcours

Né à Tourcoing dans le nord de la France le 14 janvier 1986, dès tout petit il s'acclimate avec le monde du football, fils de Didier Cabaye, ancien stagiaire RC Lens.
Mais malheureusement ce dernier vit sa carrière s’arrêter suite à une blessure, et par conséquent devint entraîneur du Tourcoing FC. C'est dans ce milieu que notre cher prodige ainsi que son frère intègrent le club de leur père afin d'y être sculpté par celui-ci.
Très évolué en ce qui concerne le football et doué, Yohan Cabaye se voit repéré par le Lille OSC et intègre l'équipe des moins de 13 ans là où il réalisera toute sa formation.
En 2009, il s'affirme en tant que joueur clé du LOSC en formant le triangle magique du milieu lillois avec ses partenaires Rio Mavuba et Florent Balmont.
L'année 2011 se voit être marquée par le doublé Coupe-championnat du LOSC.
Le 10 juin, il signe un contrat d'une durée de 5 ans au sein du Club anglais NewCastle United à une hauteur de 5 millions d'euros et durant la 9ème journée de Première League, sous les couleurs des Magpies, il marqua son premier but face à Wigan (1-0).

Le 19 août 2013, notre athlète se voit proposer 10 millions de £ par Arsenal; une proposition qu’il décline. Il laisse une marque dans l'histoire du NewCastle United après son but victorieux contre Manchester United à Old Trafford (1-0) le 7 décembre 2013. Une victoire spectaculaire, la première dans ce stade depuis 41 ans. Toujours dans cet élan de victoire et de gloire, il s'engage avec le Paris Saint-Germain pour une durée de 3 ans et demi sous le numéro 4, pour un montant de 25 millions d'euros incluant les bonus. Cette nouvelle aventure au sein du Paris Saint-Germain s'avère tout de même houleuse pour notre talentueux joueur. N’y jouant pas assez, il se met en juin 2015 à la quête d'un nouveau club.
Après d’innombrables recherches, il signe finalement un contrat de 3 ans au Crystal Palace, le 10 juillet 2015. Il y retrouve son ancien entraîneur de NewCastle, Alan Pardew qui suppute les possibilités de pouvoir renchérir le célèbre joueur. Grâce à sa renommée, ce transfert lui valut la coquette somme de 14 millions d'euros ainsi que quatre bonus, le transfert le plus cher du sud de Londres, devançant celui de Wigan James McArthur et ses 10 millions d'euros.
Là encore une fois, notre joueur fait jaillir sa lumière en marquant son premier but lors de la première journée de Première League sur le terrain promu.
Mais outre ses exploits sur le terrain, c’est bien un autre sujet que nous souhaitons évoquer.

Une foi vécue en toute sincérité de cœur

Enfant de Dieu, notre athlète croit en notre Seigneur et Sauveur, Jésus-Christ, et brandit sa foi au monde entier en expliquant à quel point cela a chamboulé sa vie, tant intellectuellement mais surtout de manière générale. « Ma foi occupe une très grande place dans ma vie», déclarait-il. Lors du Mondial, au Brésil, Yohan Cabaye s’était livré au Parisien et La Croix.
Sans honte, il s’était exprimé sur l'importance que Dieu a pris dans sa vie. « Je pris tous les jours, dès que j'ai cinq minutes. J'essaie aussi de lire la Bible quotidiennement. Sa lecture apaise et remet sur le chemin dont tu ne veux pas t'égarer, même si parfois tu perds un peu le fil à cause de ton métier ou de ta journée de travail ».

Le sportif ne manqua pas d’accentuer sur sa foi vécue de manière sincère et du plus profond de son âme, car il ne suffit pas seulement de croire en un Dieu mais il faut davantage suivre ses commandements et vivre selon ses voies. « Croire en lui me guide. Je recherche la sagesse. Cela ne sert à rien de faire l'hypocrite, de dire que tu pries ceci ou cela si ton comportement ne convient pas. Lorsqu'on comprend certaines choses, notre comportement et notre mentalité changent. Le quotidien devient plus facile », confiait-il.
Depuis qu’il a connu le Seigneur, Yohan Cabaye ne cesse de s’accrocher à lui, ce qui est tout à fait légitime, lui qui réalisa que sans Dieu il ne pouvait rien, la source où il puise cette eau vive. Une eau dont il est impossible de s'en lasser. Et le désir de se rapprocher d’El Elyon brûle en son âme tel un feu dévorant. La Parole de Dieu nous dit dans Jean 15: 4 : « Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s'il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous demeurez en moi. Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire ».

Cet amour le poussa même à se faire tatouer le nom de Jésus sur son bras droit, afin que tous remarquent le choix qu'il a fait de suivre Jésus-Christ.
Ce père de famille béni avec 3 merveilleuses filles, s'avère être un homme discret, « Je privilégie les coins tranquilles ou m'isole dans ma chambre; je prie chaque jour pour que ma femme se convertisse à l’Évangile ». Mais n’en oubliant pas son créateur, il conclut « J'ai tout ce dont j'ai envie sur les plans sportif, humain et familial. Mais je sais que tout peut s'arrêter du jour au lendemain. Je remercie donc Dieu pour la très belle vie qu'il me donne ».

La Rédaction

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