Seconde fois champion d’Europe, le Real Madrid signe un exploit footballistique

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Une exhortation écrite par Yannick NILA

1,5 million d’euros pour chaque joueur, 2 millions d’euros de prime pour l’entraineur d’exception, Zinedine Zidane, qui vient d’asseoir sa légende en gravant sa performance dans l'histoire du FootBall.
En effet, ayant déjà remporté le titre tant convoité de champion d’Europe au temps où il portait le maillot de l’équipe Madrilène la plus redoutée, l’ancien joueur aujourd’hui entraîneur de la prestigieuse équipe du Real Madrid, composée de prestigieux joueurs tels que le ballon d’or Cristiano Ronaldo, vient de réitérer l’exploit. C’est donc deux fois consécutives, que le champion du monde conduit l’équipe espagnole vers une nouvelle victoire écrasante, 4-1, face à la Juventus Turin.

Certainement cette information n’échappa au regard ni à l’ouïe de bon nombre de lecteurs. Telle la ferveur et la joie des amoureux de ce sport national sont sans égales dans notre pays. Critiqué pour ses performances jugées peu élogieuses en tant qu’entraineur, Zinedine Zidane n’en démord pas moins. Combattant depuis le début de sa carrière, l’homme aux pieds bénis, sut transmettre son art indéniable du jeu de ballon, qui au passage, rapporte des recettes dépassant le milliard.
Un homme humble, tel que nous conseille le Christ, la tête sur les épaules, maîtrisant son art, et possédant des qualités humaines indiscutables selon ses proches, sut dompter les meilleurs joueurs du monde, tout de même, afin de les conduire à la gloire.
Un parcours qui semble parfait, mais hélas, semé d’embuches et de déceptions. À en croire les médias qui l’élèvent à ce jour, tandis qu’il y a quelques mois encore, décriaient ses talents et compétences de meneur et de pédagogue.

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« Ne vous y trompez pas, mes frères bien-aimés: toute grâce excellente et tout don parfait descendent d'en haut, du Père des lumières, chez lequel il n'y a ni changement ni ombre de variation. » [Jacques 1v.16-17]

Que le monde nous enseigne alors. Pour la quête de l’exploit, certains s’acharnent à faire croître leurs oeuvres; une démonstration de foi. Cette graine plantée en tout ambitieux, cultivée par beaucoup, parfois sans même le savoir. Ils se dirigent vers une excellence pourtant accordée par le consommateur de notre foi, Jésus-Christ.
Est-ce alors le fruit de l’Homme ou la grâce et la miséricorde de Dieu ? Qui fait lever le soleil sur tout être, bon ou mauvais, paresseux et perfectionniste, et honorer l’effort dans le sacrifice que beaucoup cultivent. Car sa parole est sans appel, « C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière » [Genèse 3 v.19].

Tandis que les enfants de Dieu s’attendent à la miséricorde du Divin sans fournir le moindre effort, montrant leur détermination, ni en s’exerçant à mettre leur foi en pratique, à l’exemple des grands Hommes de la Bible et ceux d’aujourd’hui témoins de la fidélité parfaite du Père. Lui qui arrose nos activités afin de faire germer beaucoup de fruits, pour son unique gloire.
La question se pose; ne voient-ils pas le dévouement et l’acharnement de ceux qui battent malgré l’adversité, utilisant même des caractères et préceptes évangéliques, sans pour autant revendiquer une quelconque croyance, récolter des fruits excellents?

Cependant, prospérer dans ses projets sans invoquer le nom de Jésus-Christ, est-ce là une solution pour le bonheur parfait des Hommes? Notre monde pullulent d’incroyants qui affirment réussir par une grâce particulière, un miracle, des circonstances favorables. Mais encore, par leur propre volonté ou pire encore, par un bon coup de pouce occulte. Or à quoi sert-il de se battre si la fin du chemin nous conduit à la mort éternelle? Car le bonheur matériel prendra fin.

Sans Christ, l’Homme n'est rien, excellent dans son domaine ou pas. Cela est une grâce que Dieu accorde à tous les Hommes qui exploitent la force et l’intelligence qu’Il renouvelle chaque jour en sa créature. Rien de nouveau sous le soleil, la rigueur et l’amour de son travail conduisent tout artiste, sportifs, entrepreneurs, etc., vers la route des opportunités et de la réussite. Hélas, loin du salut de son âme, s’il n’œuvre dans le Seigneur. Encore là une poursuite du vent, pour des Hommes aux témoignages édifiants, mais dont l’essentiel, soit l’obtention du salut en Jésus-Christ, leur échappe. À quoi bon chercher la gloire s’il faut y perdre son âme ?

« Je devins grand, plus grand que tous ceux qui étaient avant moi dans Jérusalem. Et même ma sagesse demeura avec moi. Tout ce que mes yeux avaient désiré, je ne les en ai point privés; je n'ai refusé à mon coeur aucune joie; car mon coeur prenait plaisir à tout mon travail, et c'est la part qui m'en est revenue. Puis, j'ai considéré tous les ouvrages que mes mains avaient faits, et la peine que j'avais prise à les exécuter; et voici, tout est vanité et poursuite du vent, et il n'y a aucun avantage à tirer de ce qu'on fait sous le soleil ». [Ecclésiaste 2 v.9-11]

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Wissa KOLOLO

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