Porteur du VIH ou l’Hépatite; un signe d’exclusion sociale ?

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Une exhortation écrite par Yannick NILA

Vivre avec les virus du VIH et de l’hépatite, est encore très difficile pour beaucoup de porteurs. Bien que la science ne cesse d’évoluer, où les moeurs se relâchent, résident encore dans la perception sociale, une grande crainte à l’égard des malades.
Selon les chiffres, 6000 personnes auraient appris leur séropositivité en 2015, 1600, le nombre de sidatiques en cette même année. Vivent en France, 150 000 personnes atteintes du VIH dont 30 000 ignorent encore en être porteurs.

« C'est compliqué de dire qu'on est séropositif. Au début, je le disais facilement, mais au fil des années, j'ai arrêté de le dire. Je pensais que les gens allaient l'accepter, que le regard de la société allait changer, mais non. Du coup, je préfère me taire pour me préserver », avoue Dominique, diagnostiqué en 1994.

En société ou en intimité, les préjugés persistent, mais cela s’avère davantage inquiétant lorsque ceux-ci s’invitent dans le corps médical.
« Paradoxalement, il arrive que des médecins, infirmiers ou aides-soignants refusent de prendre en charge des patients séropositifs. Une précédente enquête de Aides montrait ainsi qu'un dentiste sur trois refusait «de manière directe ou déguisée» de les soigner ».
De nombreux patients témoignent avoir été victime de discrimination lors d’une prise de rendez-vous médical, ou dans un centre de soins, ou de repos…
Cependant très peu de ces médecins fourbes reçoivent des sanctions. Pour cause, une procédure longue et compliquée entrainant le découragement des victimes puis leur désistement.

Selon une enquête de l’association AIDES, révélée ce mercredi 30 novembre, les discriminations envers des personnes atteintes de VIH ou d’hépatite, seraient très élevées.
En effet, le rapport indique que sur un échantillon de 1080 personnes ayant fréquenté l’association, 30 % des séropositifs auraient déclaré avoir été victimes de discrimination. Deux fois plus que la population générale d’après Le Figaro. Un constat déconcertant lorsque l’on considère les avancées des soins médicaux permettant la non-transmission des maladies et le non-développement du virus dans le sang du patient.
Il est vrai que le progrès des soins thérapeutiques apporte à l’Homme de l’espérance. Mais, il est une espérance que le monde ne peut avoir ; Celle du Salut éternel. En sus des bienfaits exceptionnels et inespérés apportés en la personne de Jésus-Christ.

« Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. » [Esaie 53 v.5]

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En effet, le sang de Jésus est le remède par excellence contre toute maladie. Quand la science ne croît au miracle, des témoignages de par le monde inondent les réseaux sociaux de guérisons miraculeuses grâce à l’intervention du Seigneur Jésus.
Si seulement la nation française renoncerait à persister dans son choix d’athéisme! Elle se prive par là, des richesses et des bienfaits incarnés en Christ, ressuscité parmi les morts et vivant. Faut-il le rappeler, qu’il fut un temps, jadis, où le protestantisme était synonyme de miracles, délivrances et guérisons dans ce beau pays ?
Jésus-Christ est vivant ! Il le restera pour celui qui croit en lui, qui s’attend à sa visite. Son parcours, sur cette terre, témoigne de sa volonté première de sauver les Hommes.

« Le soir, on amena auprès de Jésus plusieurs démoniaques. Il chassa les esprits par sa parole, et il guérit tous les malades, afin que s’accomplît ce qui avait été annoncé par Ésaïe, le prophète : Il a pris nos infirmités, et il s’est chargé de nos maladies » [Matthieu 8 v.16-17]

En effet, Christ s’adonna à l’évangélisation, la guérison des malades, la délivrance d’âmes sous emprise démoniaque. Cependant ses puissants dons ne se limitèrent guère à sa divine personne. Par son pouvoir, il fit des hommes qui acceptèrent son appel et reçurent sa Parole, des dieux [Jean 10 v.34-36]. Les 12 apôtres premièrement, accomplirent de grands miracles, avant et après la résurrection du Christ. Puis les nombreux disciples envoyés deux à deux pour prêcher la bonne nouvelle, par exemple. Plus tard après sa glorieuse élévation vers le trône, ces dons gratuits furent accordés « par la puissance des miracles et des prodiges, par la puissance de l’esprit de Dieu » [Romain 15 v.19], envoyé sur terre pour oeuvrer avec nous et en nous pour rendre témoignage de l’existence du Christ et de son ministère, qui perdure encore à ce jour [Jean 15 v.26].

« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au Père; et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. » [Jean 14 v.12-13]

Ainsi, en Jésus-Christ, nous trouvons l’espoir de vivre des miracles et des prodigues par la foi. Car, nul doute, la prière d’un ou des justes, sanctifiés en Christ, aura un impact certain sur le malade.; sa pleine guérison et une restauration totale du corps, de l’âme et de l’esprit. [Jacques 5 v.16].

Aux malades, rejetés certes par le monde, Christ dit alors : “ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs.” [Marc 2 v.17].

La Rédaction

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