Netflix, la plateforme cinématographique qui décrédibilise Hollywood !

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Cinéma & Séries

Hollywood, devenu has been ou presque, suite à l’offensive Netflix. Personne n’échappe à sa vague déferlante. Encore moins l’industrie du cinéma, dont la plateforme s’accapare le monopole. En effet, avant-gardiste de films et séries créés par Reed Hastings, Netflix s’évertue avec succès à désacraliser le système du septième art. En passe de devenir le premier producteur et diffuseur de contenus cinématographiques dans le monde. Son leitmotiv, promouvoir la créativité, la diversité, en favorisant la production d'œuvres cinématographiques, et ce, à l’international.
La plateforme met ainsi au tapis toute l’hyperpuissance élitiste d’Hollywood. Pour cause, l’entreprise excelle dans son principal objectif, « transformer les habitudes des spectateurs ». Et ce, dans cette ère d’Internet en continuelle expansion.

Qui aurait cru que Netflix serait né suite à un ras-le-bol de son auteur ? Après avoir loué un DVD rendu plus tard que prévu, Reed Hastings dut débourser 40 dollars de plus. Suite à cela, le chef d’entreprise en herbe décide à l’aide d’un certain Marc Randolph, de créer sa propre entreprise de location de DVD. Il y apporte un regard plus neuf, une approche plus accessible que ses concurrents. Sa détermination lui vaut en 2017, d’avoir une fortune estimée à 2,2 milliards de dollars. Professionnellement parlant, Reed Hastings, ancien professeur des mathématiques, reprend ses études à l’Université Stanford. Il obtient son diplôme d’intelligence artificielle, puis fonde Pure Software. L’entreprise est très vite rachetée à 75 000 000 d’euros. Netflix voit alors le jour.

Une petite rétrospective s’impose. La plateforme en ligne créée en 1997, sut profiter à cette époque déjà de l’ampleur d’Internet. Elle débute comme géant de la location de DVD en ligne, livrés par correspondance. Gagnant en notoriété et en assurance, Netflix entre en bourse en 2002. Et prend un envol prometteur en 2007, lorsqu’elle lance son service de streaming de séries en ligne, sans interruption par des publicités. Sept ans plus tard, la firme compte plus de 40 millions d’abonnés dans 40 pays. Avec un répertoire de plus de 100 000 œuvres. Notamment grâce à ses contrats avec le groupe Disney possédant entre autres les studios Pixar, Marvel et LucasFilm.

Vous voulez savoir ce qui ne va pas à Hollywood ? Un réalisateur comme Martin Scorsese qui ne trouve personne, pendant huit ans, pour faire son film.

Des Marvels aux films tous registres confondus et One man show, Original Netflix séduit par la variété de ses contenus. Toutefois, si la firme s’insurge dans tous les foyers, sa démarche s’avère être des plus engagées. En effet, l’entreprise tente de répondre au mieux aux difficultés liées à la production. En permettant le financement de projets cinématographiques et leur diffusion sur sa plateforme. Un fort soutien dont bénéficierait actuellement Martin Scorsese, en préparation d’un prochain thriller pour 2019. « Vous voulez savoir ce qui ne va pas à Hollywood? Un réalisateur comme Martin Scorsese qui ne trouve personne, pendant huit ans, pour faire son film », déclara Ted Sarandos, directeur des contenus streaming de la plateforme. Netflix s’est également lancé dans la production dite locale, dans diverses régions. Sans grande surprise, l’entreprise atteint le palmarès de 86 films simplement pour cette même année 2018. « En ce moment, nous tournons dans plus de 17 pays. Et d'autres collaborations sont à venir dans de nouvelles régions: le tournage de notre première série arabe débute cette année », informa le fondateur de Netflix pour le Figaro.

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Est-ce donc si surprenant que Netflix décida d’envoyer balader le festival de Cannes 2018 ?
Il serait difficile de manquer leur accrochage médiatique, qui perdure depuis quelques mois. En résumé, le festival de Cannes décida de bannir les productions Netflix de ses compétitions. Car la firme américaine refuse d’honorer la nouvelle politique du festival, qui la contraint à faire sortir ses longs-métrage en salles, avant de les diffuser sur sa plateforme. « Avec la loi Française actuelle, si Netflix voulait participer à Cannes 2018, il lui aurait fallu proposer ses films au cinéma et attendre 36 mois pour en donner l’accès à ses abonnés », expliqua Thierry Frémaux, délégué général du festival de Cannes.

C'est la bénédiction de l'Eternel qui enrichit, Et il ne la fait suivre d'aucun chagrin. [Proverbes 10 v.22 la Bible]

Que devons-nous en tirer de cette Saga story sous un œil évangélique ? Garder la foi, serait le maître mot ! Si le monde regorge d’histoires de réussites, acquises à la sueur du front, certains succès sont attribués aux miracles, la bonne étoile diront d’autres ou encore les grades des pratiques occultes sataniques. Dans cette fin des temps certaine, il serait grand temps de considérer l’Éternel Dieu le créateur et sa main « pas trop courte pour agir » en notre faveur si nous le désirons. Qui d’autre que lui est l’initiateur du sentiment d’accomplissement et de réussite en l’Homme ? Lui-même étant le bâtisseur et le porteur de projets accomplis, par excellence. Et qui seul peut conduire l’Homme vers le succès dans ses entreprises, sans craindre des malheurs à venir ? Tel le confirme le proverbe. Et comme le cite si bien l’auteur Yannick Nila, « nous sommes les projets de Dieu ».

Tout comme le Père, aucun entrepreneur ne désire bâtir une œuvre inachevée. Cela semble évident, car étant sa créature, nous portons tous une part du divin, un trait de son caractère. Ce qui nous permet de penser, concevoir, créer et mener à exécution nos projets. Mais hélas, bien des Hommes ont rejetés Dieu. Dans leur ignorance, ils se privent de la gloire de Dieu, de cette part divine en eux censée les conduire à leur perfection. De ce fait, lorsque certains entrepreneurs ont un avantage financier conséquent, d’autres parmi nous débutent réellement au bas de l’échelle, sociale et financière.
C’est à ce stade de notre vie, que notre foi en Dieu est plus que déterminante. Sans la foi, bon nombre de projets peinent à voir le jour, à s’épanouir ou perdurer sans craindre la faillite. Selon la Bible, Christ Jésus est le chef et consommateur de notre foi, pour nous rendre capable d’accomplir de grandes œuvres au-delà de nos limites. En effet, il est le seul par qui tout fut accompli [Hébreux 12 v.2 La Bible], lors de sa mort et sa résurrection.

Oui chers lecteurs, l’Éternel Dieu ne fait acception de personne ! Toutefois, s’il se soucie de notre bonheur, il désire également que nos œuvres ne servent pas les intérêts du destructeur. Celui qui conduit les âmes à leur perdition. Ainsi, tels le blé et l’ivraie, nous bénéficions de sa grâce sous le soleil. Jusqu’à l’heure où l’ivraie sera retirée, puis jetée au feu [Matthieu 13 v.24-30 La Bible]. Pour conclure chers lecteurs, sachons qu’en alternative aux influences négatives dans les contenus Netflix, Pureflix son dérivé voit le jour en 2005. Notre rédaction consacra d’ailleurs deux articles à son sujet. En effet Pureflix propose des divertissements tout aussi intéressants, mais à une chose près ! Son contenu filmographique a pour objectif de défendre les valeurs évangéliques. De quoi renouer les liens avec les spectateurs ayant coupé les ponts avec le septième art ; pour fuir la violence et l’envoutement des messages subliminaux sataniques, infiltrés dans les grands scénarios de nos films préférés.

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Wissa KOLOLO

Artistes Press

Journaliste, 🎶 Chantre, Auteur, Maquilleuse, Styliste/Modéliste & Couturière, Conseillère en Image👗📸 ~ Entrepreneuse

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