C’est un nouveau drame familial qui vient saccager le moral. L’on n’en finit plus
d’apprendre les décès enchaînés d’enfants. Par punitions ou simplement par haine ou pure inconscience des parents.
Alors, ce 14 février, à Lunel dans l’Hérault, un nourrisson de 21 mois a été retrouvé
mort dans une chambre d’hôtel.
Le pauvre enfant, sans vie, aurait été abandonné par ses parents. Qui prirent tout de même la peine d’appeler les urgences avant de s’enfuir lâchement. Quel acte purement indigne. Sur place, les urgentistes découvrent le corps inanimé du bébé, qui présentait des traces de morsures et des hématomes, certains plus récents que d’autres. Coupables de ce traitement, les parents ! Bien sûr, retrouvés, la mère âgée de 19 ans et le père, 31 ans, furent placés en garde à vue. Afin de déterminer les causes du décès l’enquête ouverte fut confiée à la gendarmerie de Lunel.
Hélas, les mauvaises nouvelles de ce genre inondent à présent notre quotidien. L’on
ne compte plus les enfants victimes de la folie de leurs parents meurtriers. Ce début
d’année 2017, voire même auparavant fut marqué par ces drames infantiles. Des actes
irrépréhensibles incessants, qui poussent notre rédaction à réagir. Dénoncer par les mots.
En effet, ces crimes perpétrés par d’odieux parents ne seraient-ils pas fruit de sacrifices?
Cacheraient-ils des pratiques plus ténébreuses encore? Le sacrifice d’enfants s’apparentant
à des cérémonies occultes courantes. De quoi attirer notre attention.
Motifs de leurs actes? Ne voient-ils pas la fragilité de leurs enfants? Tant de
questions malheureusement sans réponse. Encore et toujours, l’Eternel Dieu est notre
seul recours face à la cruauté de l’Homme. Ensemble, levons nos yeux vers le ciel et
prions pour la protection de ces enfants, qui en nombre, grandissent dans des
environnements dramatiques. Et dans le silence et le secret le plus total.
Là encore, le rôle de l’Eglise est primordial. Porter une attention particulière au suivi
des familles, car bien souvent, les premières victimes d’une famille déchirée sont les
enfants. Or qu’elle est précieuse la vie d’un de ces petits.
N’oublions pas que de la stabilité des familles dépend la stabilité de la société, tout
comme celle de l’Eglise.
Alors pour tous ces enfants maltraités; “Père, Je ne te prie pas de les ôter du monde,
mais de les préserver du mal.” [Psaume 17 v.15]
La Rédaction
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